Le blog de pourvouservir
La nuit a été difficile. Plusieurs érections douloureuses. C'est le matin. Il me libère pour la toilette et le rasage. Je bande. Impossible de retourner en cage. Je le supplie de me laisser jouir.
Il rit : « Sûrement pas ! Tu resteras debout devant moi jusqu'à ce que tu arrêtes de bander ». Il s'assit sur le canapé, devant son ordinateur. Je suis nu, en érection, à genou devant lui. C'est
long. Fatalement, l'érection retombe. Il me retend la cage, je l'enfile difficilement. Je me rapproche de lui, CLIC ! Il ferme le cadenas. « Tu mérites une punition, met-toi à quatre pattes ». Je
m'exécute. Il part quelques instants, et revient avec sa tige de bambou. J'ai les fesses en feu, je bande de nouveau. Mes couilles sont meurtries par la cage. « Ah ça te fais bander ? Je sais
comment te calmer ! ». Et j'ai eu le droit à un dimanche de ménage, nu et encagé. Aspirateur, éponge et détergent. Effectivement, ça calme.
Sam 9 jan 2010
1 commentaire
Encore une réflexion délicieuse ! Intéressante expérience sur comment déshumaniser quelqu'un et le réifier par le biais du non assouvissement des désirs. Les laissant prendre le dessus sur l'être,
tout en dominant l'être à ne pas pouvoir les assouvir, c'est royal !
Lapédale49. - le 05/06/2016 à 15h07