J'étais à mon bureau, faisant mon travail -- ou essayant de faire mon travail. Je pourrais à peine maintenir mes yeux ouverts. La linguistique me barbait à me faire dormir debout. Mais, naturellement, il faut en passer par là n'est ce pas ? Car j'étais un jeune étudiant.

Quelques mots à mon sujet. Je suis un étudiant de première année. Je vis sur le campus dans une résidence qui est principalement consacrée aux étudiants de première année, mixte, avec des étages différents pour les hommes et pour les femmes. Mon compagnon de chambrée, Marc, est un type gentil. Le premier mois nous étions de grands copains, mais maintenant il a une petite amie qui vit dans un appartement hors du campus, aussi il passe rarement la nuit dans notre chambre.

A part Marc, je n'ai vraiment aucun ami sur le dans cette résidence. La plupart des types sont, disons, des porcs. Ils déambulent dans les couloirs jurant et rotant et pour quelque raison mystérieuse ne sont pas capable d'avoir assez d'énergie pour tirer la chasse des toilettes communes de l'étage. Mais, d'un autre côté, ils ne m'ont causé aucun problème d'aucune sorte. Et s'ils ne sont pas particulièrement aimables, ils n'ont pas non plus été méprisants envers moi.

J'étais donc à mon bureau, il était environ une heure du matin, tournant en rond d'ennui, quand on a frappé à la porte. "Entrez," ai-je crié paresseusement, mais la porte ne s'est pas ouverte. "Entrez, " ai-je dit encore, jetant un coup d'oeil sur le bouton pour voir si j'avais involontairement fermé la porte à clef. Il était ouvert. "Entrez!" Enfin, je me suis levé de ma chaise et j'ai ouvert la porte.

Comme j'ai ouvert porte, j'ai vu Derek. Derek vit de l'autre côté du couloir. Je ne sais pas grand-chose à son sujet, autre que je ne l'ai jamais vu un seul jour passer sans entrer dans sa chambre avec une fille sur son bras. Derek ne m'avait jamais adressé la parole, se contentant d'incliner la tête de temps en temps quand nos chemins se croisaient dans le vestibule, mais jamais vraie conversation.

"Salut, Derek."
"Oh. Bonjour, " dit-il comme si il ne m'avait pas remarqué que j'avais ouvert la porte.
"Marc est là?"
"Non. Désolé," ai-je répondu, en remarquant le corps de Derek.

Derek se tenait incliné contre le cadre de la porte avec un bras. L'autre bras était sur son côté, la main disparaissant dans la taille de son short de sports. Je pouvais voir au bombement extrême que sa main était sur son sexe. Il était poitrine nue. Quel spécimen! Ses abdominaux étaient comme un mur de muscles, pas bien formés et indiquaient une force incroyable. Un de ses bras étant soulevé pour prendre appui contre le cadre de la porte, je pouvais clairement voir le buisson moite et bien fourni niché dans ses aisselles.

"Encore debout ?" demanda-t-il, me tirant brusquement de mes rêveries.
"Oui. Bien sur. En train d'étudier, " bégayais-je.
"Bien," dit-il, semblant désintéressé.
"Tout cela est très brabant. Je suis en train de faire une pause."
"Envie de compagnie ? demanda-t-il, tandis que j'espérait qu'il veuille bien de la mienne.

Je ne pus cacher le sourire qui éclaira mon visage.
"Bien sur. " Avant que je pusse lui faire signe d'entrer dans ma chambre, il s'avança vers moi et se laissa tomber lourdement sur mon lit. Je tournais ma chaise pour lui faire face. Il s'assit sur le lit, s'allongea et mis jambes sur le lit, largement ouverte en V, tout le paquet qu'il avait dans son short faisant une large et grosse bosse. Il resta ainsi, ses mains derrière la tête, exposant maintenant ses deux larges buissons noirs sous ses aisselles, tous les deux humides de transpiration. Je ne pouvais m'empêcher de le détailler de haut en bas.

"Rends moi une faveur, veux tu ? " demandat-il avec un léger sourire. "Je voudrais retirer mes chaussures mais je suis trop crevé pour le faire." Il s'arrêtât, comme pour attendre ma réponse, mais je savais ce qu'il désirait. Je me senti parfaitement idiot de faire cela, mais je m'agenouillais et je me mis à retirer ses baskets. "Chaussette, aussi," ajouta-t-il. Je me sentis ridicule, a genoux devant ce parfait étalon. Mais après tout j'étais juste en train de rendre service à un ami.

Tandis que je faisait coulisser la dernière chaussette, il émis un soupir d'aise. Je me figeait, n'étant pas sur s'il pouvait être excité par mon attitude - il pouvait ne pas être gay, avec toutes ces filles qui traînaient après lui et toutes les histoires que j'avait entendu sur lui. Aussi je fit comme si je n'avais rien entendu. Juste deux garçons entre eux.

"Mec, je suis crevé," soupira-t-il.
"Vous devriez vous mettre au lit." Pourquoi fis-je ce commentaire stupide ?
"Je ne peux pas," dit-il.
"Vous ne pouvez pas ?"
"Non." Il se redressa, et se courba en avant en posant ses mains sur ses cuisses. Il me regarda par en dessous, alors que j'était assis sur le sol en face de lui. "Vois-tu, j'ai un problème."
"Un problème ?"
"Oui. Je ... je ne peux trouver le sommeil sans, tu sais, me vider." dit-il. Sa main gauche gratta ses couilles.
"Vous n'avez qu'à vous masturber, Derek."
"Me masturber !" Il a sourit.

"Pourquoi me masturber quand je vous trouver quelque stupide pétasse pour vous sucer et avaler votre jus ? Je ne me suis pas couché sans une bonne pipe depuis 46 jours, mec... Et désormais je ne peux plus m'endormir sans cela. Je dois trouver une salope pour me sucer à fond, puis je la renverrai chez elle et je pourrais alors m'endormir comme un bébé. Le problème c'est que la salope que j'avais avec moi cette nuit n'a pas voulu me sucer. Aussi je suis sérieusement en manque et je bande comme un cerf, ne vois-tu pas ? " Il me regarda avec un sourire vicieux sur ses lèvres.

"Qu'allez vous faire ? " Mon sexe grossissait dans mon pantalon.


Source: Soumischaste.net


 

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
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