Zac le chien

Boby est en stage de formation. Il souhaite entrer au servie de Fred. Et c'est une lourde tache qui l'attend car Fred souhaite que son boy soit vraiment a son entiere dispostion vingt quatre heures sur vingt quatre et ans tous les domaines de la soumission et de la servitude.

Pour Fred, un bon esclave doit avoir des capacités et de l'endurance dans tout ce qui se rapporte au sexe et au sadomasochisme. Si mon maitre n'est pas sadique ce n'est pas le cas de Fred qui ne crache pas sur une petite seance de féssée ou de coup pour son bon plaisir. Mon maitre a plusieur fois eu l'occasion de laisser Fred se défouler sur moi. Si en tant normal il n'a jamais un geste deplacé à mon encontre et fait meme preuve de beaucou de respect, quand il a l'autorisation de mon maitre de se lacher, il ne s'en prive pas. A chaque fois je me suis retrouvé avec de gros bleus ou des marques de ceinturons sur le dos. Avec un fouet, un baton ou memê à la main, tout est bon pour frapper et laisser sur le corps de son soumis, la trace  de son passage.

Je ne voudrais pas être à la place de Boby. Je sais qu'il va souvent souffrir. Mais je sais aussi que si Boby accepte les coups c'est qu'il y trouve aussi une forme de plaisir. 

Heureusement pour moi , mon maitre est pas violent. Si il arrive parfois que je me prenne une féssée ou une claque, c'est que je l'ai mérité et que je n'ai pas bien agit. Il n'y a pas de violence gratuite. Je sais que je peux echapper aux punitons si je tiens bien mon rôle de chien.

Ce n'est malheureusement pas le cas de Boby qui quoi qu'il fasse aura des coups car cela fait parti du mode de fonctionnement du plaisir de Fred. 

Boby ne peut pas ne pas savoir qu'il va trinquer sous les coups de cravache de Fred. Se faire corriger pendant un premier stage de formation , c'est une chose mais savoir que des coups peuvent venir sans raison apparente en est une autre. Il faut une bonne dose de masochisme pour pouvoir l'accepter. Et apparemment c'est le cas de Boby. 

Le soir de notre rencontre et lors du diner en commun, Fred n'a jamais été violent avec Boby. Au contraire la soirée s'etait passée de facon tres agréable. Boby ne connaisant pas la villa , Fred avait été attentionné envers son protégé, pour lui montrer ce qu'il attendai de lui lors du service des repas. Lui expliquant bien ou était sa place, ce qu'il devait faire, comment se tenir.

Et la soirée s'etait terminé sur les transats autour de la piscine où Boby a présenté ses capacités sexuelles en sucant et en s'empallant successivement sur la queue de Fred et de mon maitre.    

 je ne sais pas ce qu'il s'est passé dans la villa mais le lendemain, j'ai pu remarquer qu'il y avait un peu de rougeur sur les fesses du stagiaire.  

 

 

 

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Les vacances en Provence ont bien commencé. Moi je me dore au soleil entre deux carreses de mes maîtres. Quand ils ne sont pas a se faire des calins au bord de la piscine jouent avec moi, il me font courrir apres une balle ou un baton. Je fais l'objet de beaucoup d'attention de leur part et c'est tres agréable. 

Quand je suis seul et si je ne suis pas en laisse ou équipé de mes protections en cuir, j'ai le droit d'aller dans la piscine quand je veux. Je peux circuler comme bon me semble dans le jarin et sur la terrasse et j'aprécie cette liberté. 

La seule chose qui m'est interdite c'est que je ne doit pas entrer dans la villa. Mais ce n'est pas grave car la température extérieure est très douce et même la nuit c'est facile d'être nu dans la niche du chien. 

Le troisieme jour de ce bonheur s'ecoule quand mes maitres viennent m'attacher au piquet de la niche en pleine après midi. Qu'ai je fais de mal? Pourquoi me priver de liberté? Je n'en sais rien et je sais que je ne peux pas poser de question. La parole m'est interdite depuis longtemps, alors je me resigne au fond de la niche en espérant que cet privation de liberté ne sera que de courte duré.

Mes maîtres sont de sortie? En tout cas ils partent tous les deux ensemble...  

L'apres midi semble long attaché sans pouvoir profiter de la piscine et de la terrasse. Seul dans ma niche je suis deja en manque de leur attention. La nuit tombe deja et dans l'obscurité j'attends une délivrance. 

Un vehicule entre sur la propriete. J'enttends des pas, des paroles. Je reconnais les voix de mes maitres. Ils parlent fort et semble donner des ordres... Que ce passe t'il? 

Mon maître et Fred font leur entré sur la terrasse en allumant toutes les lumières. Ils sont accompagné d'un jeune homme d'une vingtaine d'années. 

Pendant qe le jeune homme se deshabille les deux maîtres sortent une bouteille de champage et s'installent autour de la table.

Fred se lance dans les premiers ordres. le jeune homme dot se tenir debout les jambes écartés, les bras derrière le dos et une inspection minutieuse de ce corps est effectuée. Les deux maîtres carressent, tatent, testent les muscles et les organes du jeune.

"C'est bien. Physiquement tu es bon pour le service! Veux tu être un bon esclave ? " demande Fred  

"Oui maître." répond avec force le jeune soumis. 

'" Alors pour commencer, vas libérer Zac de sa niche au fond du jardin." ordonna mon Maître 

C'est ainsi que je vis venir vers moi ce jeune homme au physique impécable venir vers moi. Il tenait dans sa main la clé du cadenas qui me liait au pieux pres de la niche. Sans un mot il me détacha et tira sur la chaine.  Nous retournions vers les deux maîtres de la maison. 

Fred me présenta alors Boby. 

"Zac Je te présente Boby. Il est en stage ici pour quelques jours. Nous allons tester ses capacités à devenir un bon slave. Si tout ce passe bien il entrera à mon service à la fin de notre séjour. Boby, je te présente Zac. Zac est le chien de Pierre. "

Boby me regarde alors avec un sourir Je ne saurai dire si ce sourir refletait une impression de pitié et d'amiration.

Pour conclure ses présentations mon maître ajouta en me regardant: 

"Ton niveau de soumission Zac est supérieur à celui de Boby. Tu dois obeir à Boby comme si c'etait un maître." 

Pour montrer mon acceptation de ce nouveau maitre, je m'approcha de la main de Boby pour commencer à lecher ses doigts. Il accpetacette gratification pendant quelques secondes avant de tapoter sur le haut de mon dos en signe de reconnaissance. 

Fred ajouta alors dans un grand eclas de voix. "Boby sert nous le champagne, il faut fêter ton arrivée." 

Deux verres de bulles ont été servis par le bel adonis qui s'est ensuite écarté pour se tenir debout à quelques metres de la table, les mains derrière le dos et les jambe ecartés attendant le prochain ordre.

Mon maitre m'a fait venir entre ses jambes et c'est le menton sur une de ses cuisses que nous avons commencé cette belle soirée de vacances.

 

 

 

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Aujourd'hui il m'appelle Zac. Cela vient de du fait qu'il trouvait Zac Effron très bandant. Pourtant je ne lui ressemble pas du tout.

Quand je l'ai rencontré j'avais déjà plus de trente ans. Je vivais alors seul dans le centre de Rennes. J'étais un mec plutôt classique, jeans, tee-shirt, basquettes. Pas très sportif, j'avais quelques rondeurs. Pour moi le sport, c'était une contrainte. Même si j'étais inscrit dans une salle de sport, je n'y allais pas très souvent.

Mon métier était commercial. Je vendais des imprimantes. Les marchés étaient souvent traité au restaurant et pour mon mètre soixante dix je faisais un petit quatre vingt kilo. Pas beau a voir...     

Ma vie sexuelle étais elle aussi pas très réjouissante Apres avoir été plusieurs années avec un même compagnon, cela faisait plus de six mois  que je n'avais pas eu de relation quand j'ai décidé de me reprendre en main. Mon inscription sur des sites de rencontre sur internet fut rapide. Evidemment que je baisais. Je pouvais même avoir plusieurs plans cul dans le week end.

Après ma solitude sexuelle je pouvais dire oui à tout le monde. En quelques semaines, il y avait eu des vieux, des moches, et même des handicapés mais dans le lot il y avait eu peu de mec bien. A fur et mesure des mes rencontres je me suis découvert très passif et très salope. J'aimais ça, le sexe. Un appel, et j'étais au rendez vous pas regardant sur la proposition du mec.
Je me mettais rapidement à genoux devant n'importe qui pour sucer et me faire enculer.  

Mon profil sur le net a vite été connu.

Un jour, un mec me laisse un message un peu étrange sur mon profil. il dit s'appeler Pierre, qu'il est éleveur de salope, qu'il a vu mon profil, qu'il a déjà entendu parler de moi, et qu'il pense que j'ai un gros potentiel. Il ajoute qu'il aimerait bien me rencontrer.

C'est quoi être éleveur de salope? Par l'intermédiaire du chat nous avons discuter quelques minutes mais pour tout m'expliquer il a souhaité que nous nous rencontrions.

Par curiosité et comme je ne refuse rien notre rendez vous à été fixé pour un samedi matin. Des que je l'ai vu j'ai su que je ne lui refuserais jamais rien. 


   

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Nous sommes arrivé cette nuit en vacances. Mon maître a rejoint Fred, un des ses "bon" amis, en Provence pour y passer quelques jours de repos. Apres une visite de notre villa, j'ai rapidement été attaché à la niche dans le jardin. 

La nuit a été difficile. Entre la frustration et les bruits de la nature, je n'ai pas pu fermer beaucoup les yeux. La faim, la soif se sont aussi fait sentir. 

Le jour se lève et doucement je sors de ma torpeur. Je suit des yeux, un écureuil qui s'amuse dans les pins. les oiseaux eux aussi se reveillent et viennent chanter au dessus de ma niche. Il y a trop de bruit et de lumière pour que je puisse esperer faire une grasse matinée.

Je sort de ma niche pour avoir une plus belle vu de mon espace. Devant moi, il y a la piscine entourée de pins et plus au loin des restanques où vignes et oliviers se melangent. Le paysage que je dommine de l'entrée de ma niche est magnfique. la Provence dans toute sa splendeur. La villa dommine une petite vallée et la vue est tres dégagée. C'est un bonheur intense que de contempler seul ce paysage. Un sentiment de privilège qui dommine surtout quand l'écureuil d'un bond, saute sur le toi de ma niche.  Je suis seul au monde à profiter de ce moment. Je n'ai plus envie de dormir du tout. Juste l'envie de savourer chaque instant et chacuns des bruits de la nature.  

Je suis bien ici. Je n'ai plus de sensations ni de faim ni de soif. je suis nourri par la beauté de cette nature. Le premier rayon de soleil vient frapper mon corps. Un soleil qui rechauffe immédiatement mon dos et qui me transmet un frisson de bonheur.

Mes maîtres peuvent attendre avant de venir le liberer, car j'ai l'impression d'avoir trouver le plus bel endroit au monde: Ma niche.  

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"Bienvenue à Barjols." voila les quelques mots d'acceuil de Fred.

"Ici il fait assez chaud pour que tu puisses rester dehors, mon Zac" poursuit il.

Ses quelques mots à mon intention ne font extremement plaisir, d'autant qu'une carresse sur le haut de ma tête vient s'ajouter à ces agréables retrouvailles.

Fred, je le connais depuis que je connais mon maître. c'est son ami, amant regulier. il passe regulierement les week end chez nous. Il n'est pas le seul a avoir des relations sexuelles avec mon maitre, mais je crois que c'est lui qu'il préfère. Les amants de mon maitre viennent tous passer les nuits à la maison, mais il a ses préférences.

C'est un grand plaisir de voir que nous allons passer nos vacances avec Fred. Même si pour lui je suis le chien de Pierre, il a toujours beaucoup de respect pour moi. Jamais un geste violent, ou de rejet. Ca lui parrait normal que se soit là.

Pour lui montrer ma reconnaissance de son sympatique acceuil, je lui leche la main et lui me laisse faire pendant quelques secondes.

Mon maitre est lui biensur acceuilli avec un long et tendre baisé. Pendant quelques secondes ils restent tous les deux enlacés se souriant les yeux dans les yeux. je me dis alors que mes maitres forment un joli couple et j'ai bien de la chance d'être à leur pieds.

Les valises sont sorti de la voiture, ma laisse est détachée et ensemble, tous les trois, nous rejoingnons la villa qui a été louée pour quelques jours. Fred nous fait la visite de cette charmante maison provencale. Une cigale vient rompre le silence de la nuit quand nous arrivons sur la térrasse de la maison. Mes yeux s'eccarquillent lorsque je vois la magnifique piscine qui prolonge cette superbe terrasse. Les vancances commencent bien et prommettent beaucoup de plaisir. 

Je n'ai qu'un seul désir c'est me jeter dans l'eau transparente de la piscine. Avec le voyage en cage dans le coffre de la berline et la chaleur ambiante, cela ferait un bien fou de pouvoir se détendre dans l'eau. Je ne porte que mon collier, mes gants et mes genouilleres. Cela ne prendrait pas beaucoup de temps d'etre completement nu. Mais je sais que si je saute dans l'eau avec mes affaires en cuir je risque de déclancher la colère de mon maître. Et c'est vraiment pas ce qu'il faudrait pour commencer notre séjour. 

Quand je vois mon Maitre et Fred faire demi tour et retourner dans la villa, je devine que le bain dans la piscine n'est pas au programme de cette nuit. Triste, et résigné je les suit. Un bon repas viendra t'il compenser cette frustration?

Alors que je passe le seuil de la porte, Fred se tourne vers moi et en se mettant acroupie devant moi me dit: 

" Pardon Zac, je t'oublie, nous n'avons pas visiter ta maison! " 

Je li repond avec un grand sourir, même si je crains d'etre décu par ce qu'il m'annonce. Si j'ai une maison spéciale pour moi, cela veut dire que je ne serais pas avec mes maîtres tout le temps. 

Et mes craintes ne sont pas discipés lorque mon Maitre attache la laisse à mon collier, que le cadenas est fixé pour que je ne puisse pas me détacher. Il tend alors l'extrémité de la laisse à Fred qui m'oblige à le suivre au bout de la terrassedans un coin sombre  ou je découvre une niche en bois. 

"Voila ta maison Zac." 

Attaché à un piquet près de la niche, c'est avec un "bonne nuit Zac"  que Fred m'abandonne dans la nuit.

Je rentre dans la niche... comme d'habitude je me pose dix milles questions sur ma condition. Pourquoi je supporte ces humiliations? Peut etre parce que même si mon maître a beaucoup d'amants c'est quand moi qui vie avec lui... Et qu'il est un excellent maître, amant, dominteur, mentor. les moments tendres que nous avons lui et moi quand nous sommes seul font oublier toutes les frustrations et douleurs qu'il peut m'infliger.

Il fait bon, nous sommes arrivé en vacances. je sais où est ma place et j'aime celle ci. Demain sera meilleur.     

 

 

 

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Ca fait bien longtemps que je ne suis pas sorti voir le monde exterieur. Mon univers est depuis que je suis aux pieds de mon maitre, sa maison, sa famille et les champs au allentour. Voici que ce matin, mon maitre m'a annoncé que nous partions ensemble en vacances. Mon coeur s'est emballé par la joie que m'a procurée cette nouvelle.  Les questions aussi lié à ce départ ne tardent pas à venir. Ou alons nous? Pourquoi suis je invité?  Lors de ses dernières vacances, mon maitre m'avait laissé dans mon local avec juste un de ses freres qui venait me nourir tous les jours. Peut etre a t il eu pitier de moi cette fois ci? J'en doute... il n'a pas cette délicatesse avec moi. Je suis sa chose et il me le fait bien comprendre tous les jours. 

Bref, mes affaies sont vites préparées à ce que je vois! Une cage de transport en plastique dans le coffre de la berline. Ma gamelle dans le fond de la cage. j'ai l'impression que pendant ces vacances je ne serais jamais considéré autrement que comme le chien. J'en ai l'habiude mais je me disais que peut etre pendant qiuelques jours je pourrais avoir un autre statut au coté de mon maitre que celui de son chien. 

Je suis quand meme équipé de mes genouillères, mes gants, mon collier et de mon plug queue de chien avant de rentrer dans la cage. Il est deja tard dans la journée et je ne sais pas ou nous allons. Serons nous arrivé avant la nuit? Le depart... la route... je suis un peu barbouillé par tant de virages et de route... je somnole... c'est long mais je suis patient. 

Cette route n'en fini pas.  j'ai du dormir, j'ouvre les yeux et il fait deja nuit.  A travers la porte grillagée de la cage je devinne les feux des voitures auour de nous. Nous devons surement être sur une autoroute. J'ai une envie de pisser. Que faut il que je fasses? Je fais un leger couinement comme une plainte sourde qui ne passe pas innapercu aupres de mon maitre. 

"Oui Zac, tu a envie de te degourdir les jambes? " 

un "Ouaf" en signe d'approbation sort de ma bouche.

" Nous allons nous arreter bientot, sois patient encore Zac. "

Je me rend compte qu'il ne m'a pas oublier dans le coffre de la voiture et que nous roulons en direction des vacances. Je peux encore attendre un peu avant de devoir me soulager. 

Quelques minutes plus tard, la voiture s'arrete. Sommes nous arrivés? Lorque que le coffre de la voiture s'ouvre, une resent sur toute la surface de ma peau la témpérature de l'air qui malgré le fait que nous soyons au milieu de la nuit est d'une douceur des plus agréable. Voici des vacances qui s'annoncent bien.  

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Voilà maintenant la lumière qui revient. Je sais que j'ai de la lumière que pendant quelques minutes. deux trois pas plus. Assez pour trouver le récipient en plastique qui me tient lieu de toilette. J'ai une forte envie de pisser. Ce grand seau est déjà bien rempli. Quand j'ouvre le couvercle l'odeur qui envahi ma cage rend l'air irrespirable.

Je suis là dans ce qui me sert de cage depuis peut être plusieurs jours. C'est a chaque fois pareil, quand mon maître par en week end, il m'enferme dans l'espace sous les escaliers de la cave. C'est un endroit très petit qui doit faire un mètre sur deux. J'ai de la place pour m'allonger mais le plafond, très bas, ne me permet pas de me tenir debout. Un robinet poussoir au dessus d'une gamelle permet d'avoir de l'eau à volonté et un grand sac de gâteau sec pour chien pour assouvir ma faim. 

Je suis nu. Uniquement vêtu d'un collier en cuir avec de gros anneau. Cela ne change pas beaucoup, cela fait déjà quelques semaines que je n'ai rien porté d'autre. Je suis son chien, son jouet, sa chose, j'ai accepté d'avoir ce rôle et j'en assume les conséquences.

Mon envie de pisser est vraiment là et je ne sais pas quand la lumière reviendra après qu'elle se sera encore éteinte. A genoux devant le seau, je laisse pendre mon sexe au dessus de l'immonde mélange. Je jet qui tombe dans le récipient accentue le mélange des matières et renforce l'odeur qui d'en dégage. Je fini très vite mon besoin pour refermer le seau. J'ai le temps de manger deux gâteaux en forme d''os, de laper un peu d'eau dans la gamelle, le noir revient. combien de temps suis je là? combien de temps vais je rester là?  Vivement que mon maître revienne.  
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Voila maintenat plusieurs semaines que Pierre vient regulierment me baiser. 

Quand je dis baiser c'est peut etre pas le mot qu'il faut car c'est véritablement l'amour qu'il me fait. Il sait être tendre quand il me prend le cul et la bouche. c'est avec délicatesse qu'il me penetre toujours. sa virilité n'a pas a s'exprimer quand nous sommes au lit. c'est un dieu. Belle bite, belle couilles et il sait merveilleusement bien s'en servir pour me faire grimper au ciel. Bref depuis que je le fois c'est le bonheur. 

Pourtant il a toujours ce coté dominateur. Un ordre est un ordre et je n'ai pas mon mot à dire. Quand il entre dans mon appartement, et qu'il me dit à poils je n'ai pas intérret a vouloir faire un signe de mecontentement. je sais que si je veux que cela dure il faut que je m'habitue à ses désirs. 

Il y a quelques jours, alors que je trainais sur le site internet sur lequel nous étions entré en contact,  il m'a laissé un message tres clair sur ce qu'il voullait de moi.

"Je ne veux plus que tu ais d'autres relations sexuelles avec d'autres mec ! "

veut'il une relation exclusive? me dis je.

Moi qui n'étais pas habitué à autant de jalousie, je ne me suis pas deconnecté de suite du site sur lequel j'étais. Erreur que je compris bien plus tard.

Le lendemain, Pierre débarque chez moi vers 18 h alors que je rentrais a peine de quelques courses. d'un air furieux il entre dans mon appartement.

Je me prend une claque sans même un mot echangé entre nous.

" Tu m'appartiens maintenant. Tu fais tout ce que je te dis!" hurla t'il.

La claque resonnai encore dans ma tete et je restais a le regarder d'un air interogateur, ne comprenant pas du tout pourquoi il me criait dessus.

Alors qu'il se calme et quand il me tourne enfin le dos pour se diriger vers mon canapé, je me risque à un pourquoi?

 Il ne repond pas à ma question et me demande de me deshabillé comme a chaque fois qu'il vient me voir. Je me glisse à quatre pas entre ses jambes et pose ma tete sur une de ses cuisses. 

En me carressant les cheuveux, je sens sa douceur refaire surface. Il commence alors à me parler sur un ton presque amoureux. 

" je ne veux plus que tu rencontre d'autre mec. c'st clair? Quand je t'es surpris hier sur ce site, cela m'a enervé au plus haut point. Tu m'appartient dorenanvant. Seul moi décide avec qui tu baises. D'ailleur je t'ais fais un cadeau."

Sortant de sa poche une petite boite, je ne peux que lui sourire ne sachant pas du tout ce que c'était. 

En ouvrant la boite je découvre avec étonnement une cage de chasteté... Non je ne veux pas etre encagé me dis je. 

Devant mon recul fasse a son cadeau, Pierre reprend ses yeux noirs et me dit que je n'ai pas le choix!

Il me repousse sur le sol et je me returve en rien de temps alongé sur le dos, avec Pierre assis sur mon torse pour m'immobilisé pendant qu'il m'installe ma cage de chasteté.

Difficile a supporté!

D'autant qu'une fois la cage en place, il m'a fait l'amour comme un dieu a nouveau .

Pourquoi est ce que je ne lui en veux pas? Je l'aime c'est tout...

 

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A quatre pattes sur son lit et secoué par les élans généreux et très virils de mon maître, je finissais par gémir langoureusement. Mon âme chienne mise à nu par le manquement de jouissance qui m'était imposé par la cage de chasteté que je portais depuis plusieurs jours.

Une fois l'affaire conclue, dans un rale dont seul mon maître avait le savoir et qui m'annoncait que j'avais su lui donner du plaisir,  mon Maître m'éjectait de son lit.

A genoux sur le sol, je suivais des yeux sa bite encore luisante de son jet qui doucement se retrecissait. En se mettant assis sur le lit et en ecartant les jambes je savais que j'avais en charge de le nettoyer. Je me rapprochais à 4 pattes pour me positionner, gueule ouverte et langue pendante, entre ses cuisses, à l'affut du moindre geste qui m'aurait signifié son accord pour que je lui prodigue ce nettoyage bucal.

Sa bite, qui n'avait plus rien de d'exitée et qui pendait molement entre ses jambes ressorti de ma bouche propre et net. D'un geste brusque il me repoussa pour lui dégager son passage . Là dans sa chambre a coucher je me suis allonger sur le tapis devant son lit.   

A son retour d'une douche qui lui avait permis de finir de se détendre , mon maitre me relevait la tête et m'enroulait une chaîne autour du cou. Il la cadenassait, fixant l'autre bout de cette laisse indestructible à un pied du lit.

Ensuite il se recouchait avec la certitude de passer une excellente nuit, me laissant gisant sur le sol de la pièce, un chien épuisé qu'il savait malgré tout totalement dévoué.

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Depuis ma cage, j'entend mon maitre qui discute avec d'autres hommes. Ils sont apparemment au moins trois. Ca rigole, ça parle fort, et les bruits de fourchettes et de verres qui trinquent me font penser que mon maitre fait une soirée.

Je ne m'étais pas douté que mon maître recevait car dans l'apres midi il n'avait rien fait pour me faire comprendre qu'il avait des hotes.  

Lors des soirées de mon maître, si je suis autorisé à être présent, bien souvent dans l'apres midi qui précéde, mon maître me douche et me rase. Et si je doit participer de façon active (ou plutot passive) il me fait aussi un netoyage en profondeur.

Je crois connnaitre tous les amis et toute la famille de mon maitre. Ce qui fait que c'est rare que je sois enfermé. Tous ont toujours une caresse ou une petite tape sur la tête pour me faire comprendre que je participe aussi et qu'ils comprennent ma situation de chien . 

Aujourd'hui rien! 

Je patiente dans cette chambre noir au fond de ma cage en attendant leur bon vouloir. Aurai je des restes de leur repas? 

Et ca continu, musique et chants. Quelqu'un à sorti une guitare. D'autres amis arrivent. Les verres s'entrechoquent toujours plus. Et moi je suis seul.  

Je ne sais pas combien ils sont maintenant. ni depuis combien de temps ils font tous la fete juste à coté de moi. Ce dont je suis sur à présent c'est que je ne suis pas invité. Mon maître me laissera seul toute la nuit.

J'ai envie de pleurer, je me sens triste et abandonné. De petits couinements sortent de ma bouche pour me soulager de ma solitude.

Je me met a 4 pates devant la porte, la queue liée au plug que je porte continuellement, bien en l'air pour pouvoir montrer ma joie si quelqu'un venait à ouvrir la porte, en remuant mon posterieur.  

j'attendrais longtemps avant que le sommeil ne vienne me prendre. Non personne ne vint me saluer.

je me dis alors que c'était une sale soirée, et que demain matin il ne faudra pas laisser voir que j'ai été malheureux ce soir.  

c'est aussi ça la dure vie d'un clebard. 

 

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L'intrephone qui résonnait avec son long et strident bruit me fis sortir de la torpeure dans laquelle je suis depuis le début de la soirée devant la télévision à regarder une série américaine, FBI de je ne sais où, déja vu ou resemblant à telement d'aurtre série. Bref de mon fauteuille où j'étais presque endormi, je me precipite vers cet interphone dont l'utilisateur exterieur ne detache pas le doigt et provoquant un bruit continu dans mon appartement. 

Qui cela pouvait il bien être ? 

"C'est moi ouvre" m'ordonnait mon visiteur. 

Je ne reconnais pas la voix grave et sensuelle. Mais j'ouvri tout de même pour faire au moins cesser la sonnerie de l'interphone. Un amant, un ami, qu'importe. la porte de mon appartememnt comme ma petite porte arrière leurs sont ouvert et ils le savent tous . C'est peut être quelqu'un qui a juste envie de se vider les couilles?

Sur le pas de la porte j'attend mon visiteur que j'entend monter les escaliers rapidement. 

Surprise! C'est Pierre... 

Voila plus d'un mois depuis sa premiere visite que je n'avais pas eu de nouvelles. Cette première visite s'étant faite d'une façon étrange, je n'avais pas oser le relancer. Mon corps et mon ame l'auraient pourtant bien voulu tant il emmanait de lui une force, une virilité et un sex appeal. Il était magnifique et j'avais été véxé de ne pas avoir eu de relations sexuelles avec lui. Il s'était contenté de me caresser le corps, de me doigter furtivemement le cul puis était parti sans presque un mot.

Mais le voila a nouveau devant moi. Je n'ai pas le temps de le saluer qu'il est déja entrer dans mon appartement et va directememnt s'installer dans mon canapé. Avant meme de me regarder, il coupe la télévision et enleve ses chaussures pour étaler ses jambes sur la table basse devant lui. 

Je reste interloqué et cela commence a m'ennerver. 

Que fais tu là? lui demandais je. 

Son regard croisa alors le mien. Est ce de la surprise ou du dédain que je lis dans ses yeux? J'eu l'impression qu'il était étonné que je puisse lui poser une question. 

Apres peut être un temps d'attente de plusieurs secondes, qui me parrurent une étarnité, il me regarda à nouveau et m'ordonna, sans répondre à ma question, de me mettre à poil.

Aurai-je enfin ma baise avec cet étalon? Pensais je.  

Je ne voulais pas faire le garcon facile! je commancais donc a vouloir lui resister en lui disant qu'il ne pouvait pas arriver comme ca chez moi et faire ce qu'il voulait. Mais j'avais a peine commencer à formuler mon refus d'obeir qu'il s'était, d'un bon, redressé du canapé, et avait empoigné mon T-shirt pour me souveler, et mon visage face qu sien, m'avait hurler un "A poils" qui ne permetai aucune possibilité de refus.

Sur mes jambes tramblantes, me souvenant de la claque que j'avais recu lors de notre premiere rencontre, je me mis nu rapidement en n'oubliant pas d'enlever mon slip. La derniere fois il avait du me l'arracher et n'avait pas été heureux d'avoir a le faire.

Nu comme un vers, devant cet homme qui a repris sa place dans mon canapé, je restai immobile, ne sachant que faire.

Au bout de quelques instants interminables, il me demanda de m'approcher de lui et de me mettre à genoux au sol et entre ses jambes.

Je sentis toute la force qu'il y avait dans ses membres quand il se redressa, m'encadrant de ses genoux le haut du corps et m'embrassant avec fougue et désir sur la bouche.

En quelques secondes j'étais au paradis. Ma bite s'en souvient encore de la magnifique erection que cela m'a procurer. C'était le début d'une grande passion.

Il me caressait les fesses, le corps la tête...Il me convrait de bisous. Tant d'attentions, j'avais l'impression d'être le centre du monde. De son monde. Le bonheur... 

Apres plusieurs dixaines de minutes de calins, embrassage fougueux et caresses en tout genre, il me dit que nous serions mieux dans la chambre. Il se leva alors me laissant toujours à genoux sur le sol.

"Viens dans la chambre, mais reste à quatre pattes" me dit il d'une voix qui à nouveau se faisait autoritaire.

Sans me poser de questions je le suivai donc mais à genoux, oubliant la honte de cette position de soumission. Mais n'étais je pas deja son prisonnier? 

Lentement dans la chambre il se dehabilla en prenant soin de plier ses vêtements sur une chaise et s'atala sur le lit. Tois petites tapes sur le duvet me fit comprendre où était ma place. je montais sur le it pour m'étaler le long de son corps qui comme sa silouette la laissait penser, était, tout bonnement magnifique.

Au lit, pour répondre aux caresses et bisous, que je recevais, je lui pratiquai une félaton toute en douceur, qu'il avait l'air d'appécier. Puis c'est alongé sur le ventre et le supportant alongé sur moi de tout son poids sur moi que je lui ai ouvert mes fesses pour le laisser me pénétré.

Il m'avait fait l'amour avec un grand A. Ce n'etait pas une baise. Je n'étais pas un morceau de viande, ou uniquement un trou à remplir, non c'etait du sexe comme je n'en n'avais jamais eu.

J'étais amoureux. Ce mec parfait physiquement, viril et autoritaire, allais me transformer en sa chose. et déjà j'aimai ça.          

 

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Pierre c'est le prénom de mon maitre. Il y a quelques mois, nous nous sommes rencontré par l'intermédiaire d'un site de cul. Ce site n'etait pas a priori orienté hard, mais je m'y étais fait une petite réputation de mec facile et soumis. Mon profil s'echangait facilement entre les mec vicieux et dominateur. 

Un jour Pierre me contacte. tres direct, il souhaite une rencontre rapide. Comme je n'étais pas très regardant sur le physique ou l'age des mecs avec qui je baisais à l'époque j'ai tout de suite accepter sans même l'avoir vu en photo. Je invitais a venir chez moi. 

Le jour de notre rencontre, quand je l'ai vu sortir de son 4x4 noir, vitres tintées, et gros pare-buffle, avec son sourir carnacié et son physique de rugbyman, j'ai su qu'il pouvait tout me demander. C'était oui d'avance.

Un verre, puis deux, on discute... moi je suis fou de désir pour lui, il le ressent bien et me fait patienter en me posant toute sorte de question sur moi, sur ma vie, sur mes proches, sur mon boulot. Bref un mec aussi canon qui s'interesse à moi, c'est du rêve!

Dans un Élan de désir je me raproche de lui et tente de l'embrasser... Quelle erreur!

Alors que j'approche mes lèvres de sa tête, il m'assène une claque si forte que je suis deséquilibré et fini le cul par terre, l'air intérrogateur. 

Que voulais tu faire me demanda'il alors. 

Je bredouille un "je voulais vous enbrasser" avec un air qui le fait éclaté de rire. 

C'est a ce moment la que j'ai compris qu'il n'était pas la que pour mon cul. 

- Je n'ai pas envie de te baiser de suite. deshabille-toi! 

L'ordre est cinglant et apres la claque que je me suis déja pris je me dit qu'il vaut mieux obeir. 

Doucemement je commence par enlever mes chaussures. Cela n'a pas l'air de lui plaire car toujOurs sur le même ton dur et impassible, il me crie de le faire plus vite. 

 Je jete mes chaussures, chaussettes, t-shirt et pantalon aussi vite que possible pour me retrouver devant lui en slip. 

Tout en me disant qu'il avait demander à poil et pas en slip il pris dans le tissus et me l'arracha en le déchirant en deux. La force était tel qu'il me parru que ce lip pourtant de bonne qualité et de grande marque était aussi facile à déchiré qu'une simple feuille de papier. 

Je restais interrogateur sur les volontés de ce mec. Que me voulait il?

Une main sur la nuque il me fait avancer jusqu'une table. Il sert suffisemment pour me faire comprendre que je n'ai pas le choix que de le suivre. Et toujours sans un mot me soulève pour me mettre à 4 pattes sur cette table .

-Bouge pas. se résigne t'il a me dire .

Moi à 4 pattes sur la table il commenca son inspection. 

Ses mains carressèrent mon corps. Bien qu'assez interloqué par l'attitude de ce mec, je commencais rapidement à bander.

Une fois toute la peau inspéctée, c'est mon sexe qui fut l'objet de son attention. Decalotage, etirement de couille, leger branlage. maintenat c'est a bloc que je bande.

-Petite bourse, petite queue. dit il sans me regarder.

Je me senti vraiment humillier et des rougeurs colorèrent mes joues.  Je n'avais jamais eu honte de mon anatomie. Avec toutes les bites que j'ai vu et sucé, je suis concient de ne pas être un étalon, mais j'en ai vu des tellement plus petite... Cette remarque me toucha quand même venant d'un des plus beau mec que j'avais jamais et qui me traitait avec autant de dédain. 

Apres les couilles c'est autour de ma bouche d'être inspectée. Un doigt, puis deux et trois, c'est bientot toute sa gigantesque main qu'il essai de faire entrer dans ma bouche qui ne peut supporter autant. Mais elle est vraiment trop grande et malgres mes efforts je n'arrivais pas a prendre en bouche plus de 4 doigts.

J'avais  ses doigts qui chatouillaient le fond de ma bouche et qui titillaient dèja la glotte, me manquant d'étoufer à plusieur reprise. Habltué aux gorges profondes je n'ais pas à ma première pénétration de gorge, mais le fait qu'il laissait longuement sa main a demi dans ma bouche me faisait avoir des hauts le coeurs et presque envie de vomir .

Quand il sorti sa main de ma bouche elle était pleine de salive et directement il étala celle ci dans la raie de mon cul en prenant bien soin de lubrifer ma rondelle. Cette derniere ne dut pas attendre bien longtemps de toute facon pour recevoir son premier doigt. 

Je m'étais fait un netoyage interne avant d'aller à sa rencontre donc je n'avais pas de crainte sur l'état dont il allait ressortir son doigt. 

Un petit crachat sur mon anus, et c'estdeja trois doigts qui me fouillaient. Voulait il faire comme avec ma bouche essayer de faire entrer toute sa main? 

"S'il vous plait, ne m'exploser pas le cul. je ne me suis jamais fait fisté!" implorais je. 

-T'inquiete pas. Tais toi et laisse toi faire!  a été ma seul réponse . 

Il trouva alors ma prostate, qu'il fit rouler entre ses doigts et qui m'arracha un peit cris de plaisir. 

Soudain il ressorti ses doigts de mon cul. se dirigea vers la salle de bain ou il savonna ses mains et revint vers moi toujours à 4 pattes sur la table. 

-Tu est une bonne chienne toi. Ca va te plare de faire la chienne!

Sans attendre une réponse de ma part, il se retourne et sort de mon appartement... 

Toujours a 4 pattes  et le cul en l'air sur la table je me disais qu'il allait revenir tout de suite, qu'il était peut etre parti chercher quelque chose à sa voiture? que si je bougais je risquais d'en prendre pour mon grade. Au bout de quleques minutes sans un bruits je me risque jusqu'a la fenetre pour voir que sa voiture était parti. 

Je n'ai pas compris sur le moment qu'il m'avait fait passer un exemen pour savoir si je lui serais une bon chienne. En tout cas j'aivais bien bandé mais pas jouis Ce fut chose faitre quelques minutes plus tard quand en repensant à cet homme qui m'avait fouillé les trou et était reparti sans rien dire je me suis branlé.  

 

 

Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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Il règne une certaine tension dans la maison ce matin. Mon maître s'est énervé au téléphone avec un de ses associés. Il a besoin d'air. Je veux lui proposer une balade en forêt pour le détendre. Pour cela je vais chercher ma laisse. Elle est souvent posée sur un petit meuble proche de la porte d'entrée. Je prend la chaîne entre mes dents car je sais que si j'utise mes mains, je risque de l'énerver un peu plus encore. Je me tiens á genoux dériere lui en essayant d'attirer son attention par de très léger couinenement. Enfin quand il me remarque et qu'il se retourne je découvre son regard furieux. Je n'ai pas choisi la bonne façon pour le détendre. Une claque monumentale acompagnée d'un " Ta gueule" me fait vaciller. Je m'écroule sur le carrelage de tout mon poids, surpris par la force de ce coup. " tu veux que je m'occupe de toi? Et bien tu va voir." ajoute t-il. "Je voulais attendre le weekend prochain pour essayer mon nouvel achat mais là, j'ai besoin de me defouller". Il me prend alors par le collier sans même me laisser le temps de me relever et me traine jusqu'à la porte d'entrée. "bouge pas" ordonne t-il. J'ai a peine le temps de me relever qu'il revient déjà avec un gros carton. "J'ai fait faire cela specialement pour toi." il sort alors de la boite une cagoule en acier. Elle a la forme d'un œuf. Elle a trou a sa base sûrement pour y passer le cou et s'ouvre avec une charnière sur le dessus. Deux crochets de chaque coté pour la cadenasser. Quelques petits trous ponctuent le dessus. C'est pour respirer me dit le maître. Replongeant sa main dans le carton, le maître, ressorti avec une autre boule d'acier. "Celle la est pour protéger ton sexe" ajoute t-il . Pendant qu'il m'installe les deux boules d'acier, je repense a ses derniers mots. Pourquoi me protéger? Et protéger de quoi? Dans la cagoule qui pèse un âne mort, je ne vois rien. Je suis dans le noir complets. Ma laisse est rattachée et je me sent tirer vers l'exerieur de la demeure. Après quelques minutes de marche je sens qu'il me détache et l'herbe que je sens sous moi m'indique que nous sommes dans un champs. "Tu voulais courir! Alors cours!" m'ordonne mon maître. Désorienté, je commence a marcher. Je ne sais pas ou je vais mais il m'hurle d'aller plus vite. Je m'execute en forçant le rithme. Une détonation retenti en même temps que je sentais ma fesse droite exploser. Une violente douleur me fit comprendre qu'il était en train de me tirer dessus a la carabine. Je m'ecroulais dans l'herbe. "Aller cours!" Entendais je crier. Je me relève pour reprendre ma course. Je pose tout de même la main sur ma fesse endolorie pour vérifier qu'elle était entière. Une fois rassurer, je reprenais ma course. Elle fut aussitôt stopper par une nouvelle déflagration et une douleur immédiate en haut du bras gauche. "cours!" et le petit jeu du maître recommença comme cela. Dix fois je reçu une balle, dix fois je m'ecroulais. Le poids de la caloule et chaque impacts douleureux m'avaient epuisé. Un onzième ou douzième impact coup de fusil était tirer quand je senti toute ma tête vibrer. Le cri de joie de mon maître me fit comprendre que toucher la cagoule en acier était son but. Pour moi j'avais la tête comme dans une cloche. Le bruit avait été infernal. Et je restais alonger dans l'herbe incapable de faire plus de mouvement. Une main agrippa mon collier pour me soulever. Je sentais que l'on me delivrait de ma cage en acier. Éblouis par la Lumière je ne vis pas de suite toutes les taches de peinture qui maculaient mon corps. Je venais d'être la cible d'une bonne séance de paint ball qui avait bien fait décompresser mon maître. Au moins voilà une bonne chose de faite. Nous rentrons vers la maison doucement. Le maître sait que je ne peux pas marcher vite a quatre pâtes après tous les coups de fusils que j'ai reçu. "la prochaine fois se seront tes couilles qu'il faudra toucher. Me dit il en ouvrant la porte de mon local. J'ai invité quelques copains pour une nouvelle séance de tir le week end prochain. Vas te laver!" Sous une douche bien chaude, je masse mes membres marqués d'impact. C'est sur je vais etre couvert de bleu. Je n'ai pas hâte aux prochaines fêtes que mon maître organisera. Je suis sur que je vais encore beaucoup souffrir.
Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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Je suis nu, à genoux, les cuisses largement écartées. Mes épaules sont posées sur le sol glacé du carrelage. Mes mains rejoignent mes chevilles en passant entre mes jambes. Je suis offert comme me l’a imposé mon maître.

Celafait longtemps que je suis dans cette position Je n’ai plus la notion du temps et mon angoisse monte progressivement.

J’entends le bruit de ses bottes sur le carrelage. Il vient vers ma cage. C’est lui. Bien que je ne le vois pas, je le sens dans la pièce. La situation m’inquiète…mais l’excitation me gagne. Mon maître me fait sortir de la cage et me pose un bandeau sur les yeux et, afin de maintenir mes cuisses écartées « comme une bonne petite chienne » dit-il, elle me fixe une barre d’écartement au niveau des genoux.Il me lie ensuite les poignets aux chevilles.

C’est ainsi exhibé avec impudeur que je dois attendre ses prochains tourments. Mon maître saisit alors mes testicules à leur base et les tire vers le haut. Cette manipulation m’oblige une cambrure plus prononcée. Je sens ensuite un objet métallique qui emprisonne puis se verrouille sur mes bourses. Celui-ci doit être relié à ma barre d’écartement car je sens mes parties intimes étirées vers l’arrière. Le bondage n’est pas douloureux mais très inconfortable et humiliant.

Soudain je sens la morsure que je connais tant. Les lanières du martinet s’abattent sur mes fesses ouvertes. Les brins s’enroulent autour de mes cuisses écartées, cinglent mes testicules vulnérables, enflamment mon anus découvert. La punition est longue et mon corps finit par réagir malgré moi.

Le moindre mouvement agit sur l’étirement de mes membres. Mon fessier me brûle et un plaisir étrange s’empare de moi. Je dois remercier mon bourreau en lui baisant tendrement les pieds. Il me détache les mains puis s’en va sans dire un mot. Je découvre alors que mon maître a emprisonné mes testicules et mon sexe avec des menottes. Je devrais attendre encore longtemps pour être enfin libéré.

Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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Début de mise en place du plug samedi 14h30. Pas trop lubrifié mon cul accepte non sans douleur l'entrée du ce morceau de caoutchouc que mon maître m'offre pour un long moment.

Je pensais que ma nuit serais un calvaire mais j'ai trouver le sommeil vers 1h pour me réveiller vers 8h30 et j'ai toujours mon plug dans le cul au réveil. J'ai passer une nuit calme sans trop d'agitation certainement la peur de réveiller en moi ce tube de 13cm par 4.5 de large. soit 20h de plug. Certes mon plug ne fait pas 6cm de large, mais j apprecie vraiment de pouvoir le garder aussi longtemps sans quasisment aucune douleur.

Je pense avoir franchit un cap dans la soumission depuis ces quelques heures,dormir pluger a été pour moi normal compte tenue des attentes de mon maître.

Encore une nuit. Voilà maintenant 40 heures que je suis plugé. C'est une délivrance que me fait mon Maître lorsqu'il libère mon trou. Je suis fière d'avoir tenu pour lui, pour le temps qu'il consent à mon éducation de chienne, pour son plaisir. 

Deviendrais-je une lope??

Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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