Et bien. Tout le monde dit que tu es une pédale, Steve." Je me figeais. Mon
expression devait avoir changé car il le remarqua. "Je n'ai jamais pensé cela, mec. Mais tout le monde dit à l'étage, 'Steve est une pédale. Il prends dans le cul.' Aussi je me suis dit que cela
devait être un peu vrai. Je n'ai pas d'autres possibilités. Aussi qu'en dis-tu ? Prêt à me sucer ou non ?
Mon regard se fixa sur son bas ventre, qu'il était en train de frictionner à travers son short. Il remarqua mon regard furtif. "Tu es une vraie pédale." Il rit. Soudainement il tendit la main et
je senti sa poigne sur ma nuque. Il tira ma tête jusqu'à lui, la maintenant fermement contre son entre jambe. Je pouvais sentir son érection à travers le tissu. "Est-ce que tu veux cette bite,
lopette ?" J'opinais de la tête, en léchant mes lèvres. "Et bien, au boulot. J'ai besoin de me vider les couilles."
En disant cela, il baissa son short et son boxer, révélant sa queue en érection. Elle faisait environ 20 cm de long et était très large. Ses couilles étaient très grosses et poilues. Lentement,
je me penchais en avant, empoignant la tige, et commençant à donner de légers coups de langue sur le gland.
"Mieux que ça suceur de bites, avale tout."
Je n'avais pas besoin de plus d'encouragement. Je pris une profonde respiration et je commençais à prendre en bouche la bite de Derek, jusqu'à ce que j'en ai avalé tous les 20 cm et que mon nez
soit enterré dans abondant buisson noir. L'odeur était enivrante. Des senteurs de sueur, d'urine et de virilité pure emplirent mes narines. Je faisais de ma gorge un fourreau pour sa bite.
J'enfonçais sa bite jusque dans ma gorge, en coulissant de haut en bas, tout en sentant toujours la pression de ses mains sur le dos ma tête.
Soudain, il empoigna mes cheveux, me forçant à me retirer de son énorme bite, et criant "Mes couilles. Suce mes couilles, sale pédé."
J'ajustait immédiatement ma position afin d'avoir un meilleur accès à ses grosses couilles. J'enfonçais ma tête entre ses cuisses ouvertes, prenant un testicule dans ma bouche et faisant rouler
ma langue autour. De ma nouvelle position, je pouvais sentir une odeur différente, plus musquée, plus sale aussi. Il semblait ne pas avoir essuyé son cul depuis des semaines. Je léchais son
scrotum, avançant irrésistiblement vers son anus. Et alors, sans aucun avertissement, il lâchât un énorme pet. Le volume énorme de ce pet me choqua et je tentais de me retirer. Mais la poigne de
Derek était forte. Il força ma face à se positionner directement en face de la ligne de feu, en ricanant, tandis qu'il lâchait un nouveau pet, plus petit.
"Sent ça, pédale. Je veux t'entendre respirer. Profites-en." Je respirais profondément, savourant cette odeur de male. "Tu aimes cela tapette. Lèche mon trou. Allez. Lèche le." J'avançais ma
langue jusqu'à son anus moite de transpiration, goûtant les restes de merde et de sueur. Je commençait d'abord par faire lentement le tour de son anus, et commençait à le laper comme une chienne,
dardant ma langue dans et hors de son trou du cul tandis qu'il me raillait et me mettait en son pouvoir.
"C'est la meilleure pipe que j'ai eu depuis des semaines, sale petite pédale. Ouvre grand." En disant cela, il péta encore une fois, avec force et grand bruit, une bourrasque de vent entra dans
ma bouche, faisant gonfler mes joues. Je n'en lapais pas moins plus vigoureusement son trou. Tu aimes la puanteur de mes pets, tapette. A ma bite ! A ma bite ! " Je remontait rapidement ma tête
et pris sa queue dans ma bouche, l'enfonçant profondément jusqu'à ce qu'elle bute au fond de ma gorge. Je crispais et décrispais ma gorge, sentant son outil au plus profond de moi. Je sentais ses
couilles se frotter contre ma poitrine. Il commença à éjaculer, remplissant ma gorge d'abord et ensuite se retira en partie jusqu'à ce que seul le gland reste dans ma bouche, qu'il remplis avec
sa semence. J'avalais avec enthousiasme, à cours de respiration, et adorant tout cela.
Lorsque son érection eu déclinée, je voulu retirer sa queue de ma bouche, mais ses mains m'en empêchèrent en me maintenant fermement. Il rit. "Qu'il y a-t-il d'urgent pédé ? Tu aimes la bite.
Prends ton temps. Laisse moi m'asseoir maintenant. Oui. Comme cela." Il tirait gentiment mes cheveux tandis que je m'agenouillais devant lui, la tête de son gland flaccide posé sur ma langue. Il
plissa les yeux et se concentra. Je le regardais droit dans les yeux.
"Tu sais ce qu'il y a de meilleur après une bonne pipe et avant d'aller au lit ?" Je secouais ma tête de droite à gauche pour signaler que je ne savais pas. "Et bien, après que la pétasse bien
avalée mon sperme et qu'elle dégage. Je vais pisser pour bien me vider la vessie." Je le regardais en levant les yeux. "Oui. " Dit-il. En appuyant sa main sur ma gorge. "Mais avec une pédale
comme toi, je n'ai plus besoin de me lever pour aller aux toilettes, n'est ce pas ? Tu vas tout boire comme une bonne petite lopette. Tu vas apprécier pédé !"
Je sentis le premier jet d'urine entrer dans ma bouche, acide, piquant. J'avalais rapidement, sachant que la force du jet allait augmenter, ce qui arriva. J'avalais toute la pisse que je pouvais
pendant environ clinquantes secondes tandis qu'il tiraillait mes cheveux. Quand il eu fini, il retira son sexe flaccide de ma bouche et le secoua, ce qui fit jaillir quelques gouttelettes d'urine
qui s'écrasèrent sur mon visage.
"Tu es une bonne suceuse de bite, pédale. As-tu apprécié ?" J'opinais de la tête. "Quoi ? Dis le à haute voix, putasse." "Oui j'ai apprécié. J'ai aimé vous sucer la bite. " Il grimaça. "C'est une
bonne chose. Je te reverrai demain soir."
source:soumischaste.net
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