Les problèmes n'arrivent jamais immédiatement. Mais ils arrivent. Marc était
toujours avec sa petite amie, aussi Jack et Derek étaient tranquilles. Bien sûr, des fois, Marc pouvait rentrer très tard dans la nuit, ou bien très tôt le matin, par exemple deux heures avant
que j'étais supposé me lever pour aller en cours, et alors je me réveillai avec une bite en face de mon visage. Mais quel tort cela pouvait il faire à Derek ? Je lui appartenais. Marc avait dit
que c'était à lui que j'appartiendrai (et certainement il pensait cela), mais en pratique, s'était Derek qui avait pris l'habitude de prendre ma bouche.
Et c'est sûr il utilisait souvent ma bouche.
Derek se réveillait à 10 h 15 les matins pour pouvoir aller en cours à 11 heures. C'était mon rôle d'être à genoux en bas de son lit à 10 h 10. Moi-même j'avais cours de neuf heures à 10 heures,
et je pouvais habituellement sécher et rester tard dans sa chambre avec lui. Aussi au début je partais de plus en plus tard. Après être arrivé en retard trois fois, Derek m'a demandé de sauter ce
cours. Il dit que je devais penser d'abord à mes priorités.
Je devais donc rester à genoux à côté de son lit et attendre que son réveil sonne. Une fois qu'il avait sonné, je devais l'éteindre à fin qu'il ne gêne pas Jack, qui n'avait jamais classe le
matin. Puis je devais descendre les couvertures, révélant le corps de Derek. Il dormait nu. Son sexe érigé. Dressé toujours en l'air vers le plafond. À ce moment il commençait à remuer. Alors je
devais grimper dans le lit et lover ma bouche dans autour de la tête de son membre en pompant tout doucement. Je devais rester ainsi juste en tenant son gland dans la bouche pendant quelques
minutes. Puis je sentais la poigne familière de ses mains sur la tête. Alors cela commençait.
Sa pisse matinale. Tellement acide et piquant que n'importe qu'elle autre pisse à n'importe quel moment de la journée. Sa pisse matinale sortait en jet puissant de son sexe bandé et arrosait le
fond de ma bouche. Je devais avaler rapidement, déglutissant de larges gorgées. Cela prenait généralement un peu moins d'une minute. Quand le jet cessait, je devais commencer à monter et
descendre ma tête sur sa hampe, en le pompant gentiment. Il restait la plupart du temps allongé sur le dos dans sa torpeur matinale. La pipe était supposée le réveiller. Il ne voyait jamais ce
que je faisais car il restait simplement allongé, immobile, se laissant sucer la bite, et ce jusqu'à ce qu'il soit sur le point de cracher son sperme dans ma gorge accueillante.
Alors il s'assoit soudainement et prend ma tête avec force. Et il claque de manière répétée mon visage avec son bassin. Il aime contrôler le rythme jusqu'à ce qu'il jouisse. Il enfonce alors
complètement son membre dans ma gorge jusqu'à ce que je puisse sentir sa transpiration nocturne sur le buisson poilu de son pubis. Et alors sans autre avertissement, il crache ce qui me semble
être des litres de sperme chaud directement au fond de ma gorge. Lorsqu'il gicle, il aime sentir que le pompe à fond, comme si ma vie en dépendait. Quand ses couilles sont bien drainées, alors il
sort sa bite de ma bouche en faisant une sorte de " pop " et me dit "bonjour pédale," puis se lève brusquement pour s'habiller afin d'aller en classe.
C'était justement un de ces matins où j'étais assis sur le lit de Derek, après avoir servi sa bite pendant 20 minutes. Je regardais vers Jack, qui était toujours en train de dormir nu, mis à part
son boxer. Il a, à voir une nuit très chaude car il dormait sur son traversin. Son sexe faisait une énorme bosse à son boxeur. Je me léchais les lèvres, en pensant que je pourrais sucer cette
belle bite plus tard dans la journée.
Les yeux de Jack s'ouvrirent. Il me regarda un moment puis se mit à sourire.
"Bonjour, pédale."
"Bonjour, Jack."
Et il enfonça une main dans son boxer et en sorti sa bite. " Je parie que je peux deviner ce que tu regardais et à quoi tu étais en train de penser, sale lopette." Je ne répondis pas. Je me
contentai de baisser la tête. "Encore en train de reluquer ma bite ? Comme si tu n'en avais pas eu assez ?"
J'étais très embarrassé. "Je suis vraiment désolé, Jack. Cela n'arrivera plus."
Il me regarda à nouveau. "Viens ici, suceuse de bites. J'ai envie d'essayer quelque chose."
Je me levai du lit de Derek et je m'agenouillai à côté du lit de Jack. Il fit pivoter ses jambes de façon à ce que je sois agenouillé juste entre elles. Son bassin était à quelques centimètres de
mon visage. Son énorme bite sortait de son boxer. Il ri doucement. " Et bien pédale, j'ai envie d'une pipe matinale."
Je me penchais en avant et je pris sa bite dans ma bouche. Je l'enfonçais jusqu'à ce que le membre entier soit dans ma gorge. Puis je me retirais jusqu'à ce que seul le gland reste entre mes
lèvres. Alors je le pompais puis reprenaient tout le membre en entier. Je répétais ces mouvements pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'il saisisse ma tête et, comme Dereck, limait toute la
langueur de sa bite en moi de plus en plus rapidement. Il branla sa queue dedans et dehors pendant encore 30 secondes, puis il se vida dans mon estomac. Sa bite était si enfoncée dans ma gorge
que je ne pouvais même pas sentir le goût de son sperme. Il sortit sa queue et l'essuya sur tout mon visage.
Il rit. "Maintenant ouvre grand." Alors il vida sa pisse matinale droit au fond de ma gorge. J'avalai tant bien que mal. Quand il eut terminé il me regarda.
"Derek lui commence par pisser, n'est-ce pas branle bite ?"
Je fis oui de la tête.
"Je lui dirai combien c'est bon de se vider de son sperme, puis de pisser dans la gorge de la lope."
Cela devint une routine. Sucer la bite de Derek et avaler sa pisse matinale devint ma principale activité. Souvent je devais prendre le jus de Jack dans ma gorge. Récemment, Jack avait découvert
qu'il aimait beaucoup me gifler violemment avec son sexe en érection. Il aimait m'observer en train de tenter désespérément d'enrouler mes lèvres autour du gland qui s'échappait toujours. Il
garda ce nouveau truc secret pour lui, mais Derek en entendit finalement parler. Alors il se mêla à l'action. Tous les deux claquaient leurs membres dressés contre mon visage et riaient
énormément. Je leur appartenais complètement désormais.
Jusqu'à ce que Marc rompe avec sa petite amie.
J'ai déjà dit pourquoi Marc pensait que j'étais sa propriété exclusive, du fait que j'étais son compagnon de chambre. Cela avait un sens après tout, mais cela ne plaisait pas à Derek et Jack.
Pourquoi ne pourraient-t-il pas me partager entre eux trois, je ne le comprenais pas.
Cela commença un matin quand Derek se réveilla en espérant sa pipe matinale et s'aperçu que sa suceuse de bites était introuvable. En effet, Marc avait pris une cuite et était particulièrement
affamé ce matin. Sa petite amie l'avait laissé tomber la nuit d'avant et il avait passé le reste de la journée au bar. Maintenant il était saoul, excité, et irrité.
Je me réveillais tandis que Marc me secouait violemment. Sa ceinture était défaite et sa braguette était ouverte. "Sort cette bite, pédale. Tu as une queue à sucer." Bien sûr, j'étais fatigué et
surpris de voir Marc dans cet état. Mais j'aimais vraiment beaucoup sa bite. Peut-être était-ce à cause du fait que je la suçais moins souvent que celle de Derek ou de Jack, mais j'avais toujours
été très excité de suçoter son bout. Marc n'avait pas à me le demander deux fois. Je fus rapidement à genoux, en train de sortir sa bite érigée de son boxer.
"Cette putain de chienne croit qu'elle peut vivre sans cette bite," marmonna-t-il tant qu'il me tenait ma tête de chaque côté avec ses mains puissantes. Puis il là serra dans une poigne de fer et
enfonça toute la longueur de son membre dans ma gorge. "Goûte-moi cette grosse bite, salope. Obéis, sale tapette."
Je gémissais sur sa bite tandis qu'il claquait son bas ventre en se branlant dans ma bouche gourmande. Ses couilles poilues cognaient contre mon menton. Je pouvais sentir la transpiration et
l'odeur de musc et de ses couilles lorsqu'elles se frottaient contre mon visage. Il continuait à se faire pomper, en me baisant littéralement la bouche. Lors d'un aller-retour particulièrement
vigoureux, sa bite sortit de ma bouche en faisant un gros bruit, le gland tout gluant de salive. Il grogna de frustration. Alors il repoussa violemment ma tête et se laissa tomber sur le bord de
son lit.
Marc baissa son jean et son boxeur sur ses chevilles et plaça ses pieds sur le bord du lit, exposant sa raie poilue. "Tu aimes mon cul, lopette. Lèche donc mon cul odorant." Je me rapprochait au
plus près et inhalais profondément. Je ne sentais pas vraiment la merde, mais je sentais quelque chose d'autre très fort. Son cul était trempé de transpiration. "Qu'est-ce que tu attends ?
Enfonce ta langue. Maintenant."
Je n'avais pas besoin d'une meilleure invitation. Je pouvais apercevoir les bords plissés de son trou du cul. Ma salive de ce mélangea avec sa transpiration tandis que je faisais la toilette de
son trou. Je léchais toute la longueur de sa raie poilue.
"Ne t'arrête pas, sale bouffeur de cul." Et en disant cela il émis un pet. Il rit. "Ne t'inquiète pas," dit-il, "je n'ai pas oublié que tu aimais les pets bien puants." Et alors il péta à
nouveau. L'odeur épouvantable m'indiqua qu'il était sur le point de chier. Je me reculais. Cela était trop pour moi.
"Je ne chierai pas dans ta belle bouche, lopette."
Je soupirai de soulagement.
"Viens avec moi," m'ordonna-t-il, prenant ma main et marchant vers la porte de la chambre qui donnait sur le couloir. Son pantalon était sur ses chevilles, son sexe érigé se balançant de droite à
gauche.
"Je ne peux aller dans le couloir !"
Tu ira où ma bite ira, espèce de pauvre sous merde. Je veux une pipe, mais je dois chier. Aussi tu vas me servir pour que je puisse faire les deux en même temps. Il tira d'un coup sec sur ma main
et me traîna de force dans le couloir, se dirigeant vers les toilettes. C'était les toilettes publiques, puisqu'il n'y en avait pas dans les chambres, qui étaient partagées par tous les gars de
l'étage. J'avais honte. Je ne pouvais croire que rien de fâcheux ne m'arriverait dans le couloir quand on me verrai tenu par la main par Marc, et tiré vers les toilettes, avec son érection énorme
bien visible.
Une fois dans les toilettes, il ouvrit en grand la porte du premier wc et s'assit sur la cuvette. Il appuya sur mes épaules jusqu'à ce que je sois à genoux en face de lui. Avec nous deux à
l'intérieur, l'étroit réduit ne pouvait être clos, la porte ne pouvant se ferme complètement. Aussi il la laissa grande ouverte.
"Je ne peux faire cela, marc. Je peux vous sucer tant que vous le voulez, mais ici des gens peuvent nous voir."
"Ferme là sale traînée. Je vais chier un bon coup, alors mets ta bouche autour de ma bite." Il me tira par les cheveux et m'empala sur sa bite alors que j'entendis un énorme pet résonner en écho
dans la cuvette. Il se mit à respirer bruyamment.
"Le meilleur de tout ! Une pédale suce ma bite pendant que je suis en train de chier ! " Il se mit à rire et à hurler ? J'étais sur qu'il pouvait être entendu de tout le monde dans le couloir.
L'odeur de pets et de merde était très forte, épouvantable, et l'odeur se combinait avec celle de sa bite mal lavée pour former un cocktail puissant. Je sentais d'autant plus son bas ventre que
j'avais toute la longueur de sa hampe dans ma gorge. Il se servait de ma tête comme de celle d'une poupée gonflable. Il restait lui, parfaitement assis sans bouger, montant et descendant ma tête
enserrée dans es mains puissantes sur sa bite.
Sa poigne était comme un étau au niveau de mes oreilles. C'est pour cela que je n'entendis pas Dereck se déchaîner de colère parce que sa suceuse de bite était en retard.
FIN
source: soumischaste.net
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