La descente aux enfers du plaisir

Je me réveille, je suis toujours dans ma cage et une forte odeur d’excréments et de pisse me prend le nez. Je suis toujours brinqueballé, ce qui signifie que nous roulons toujours. Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi. Je reprends mes esprits, je sens mon cul endolori et mon corps courbaturé. Il me revient en tête que mon Maître m’a dit de me reposer car je devais bosser ce soir. Ça y est, je suis bien réveillé et tout me revient à l esprit. Je retombe dans mon état de larve et de sac à jus, sans même que mon Maître n’ait eu à intervenir. Je me souviens de ma nuit et autant excité qu’inquiet, je me demande ce qui m’attend, ce que comprenait mon Maître en me disant: «Ce soir, tu bosses!»

Ça fait une heure que je suis éveillé quand la camionnette stoppe. C’est le calme plat, je n'entends rien autour de moi, il y a peu de lumière. Au bout d’un long moment, la porte s’ouvre:

— Voilà votre pute, je vous l’ai fait préparé la nuit dernière.

— Ok, résistant? Obéissant?

— Aucun soucis, il est bien dans son rôle. Si il essaie d’en sortir, je vous laisse carte blanche pour le remettre en place, je serai là de toute façon.

— Ok, on va le foutre avec sa cage dans le monte charge et on descend au deuxième sous-sol. On a deux bonnes heures avant que la nuit commence et que les mecs arrivent...

D’un coup sec, on tire la cage dans laquelle je suis installé. Elle s'écrase au sol, je suis à moitié sonné par le choc. Mon Maître sort le chien, il sort du sac la cagoule et à travers les barreaux, me la met sans même me dire un mot. La cage est traînée, je sens le mouvement de l'ascenseur; c'est rapide. La porte s'ouvre, je sens de suite une odeur totalement nauséabonde. La cage est à nouveau traînée, j'entends des bruits de chaînes et rapidement, la cage se détache du sol, elle bouge dans tous les sens et s'immobilise.

— On va te nettoyer, connard, pour mieux te crader et que tu profites bien de ce que nous allons tous te donner cette nuit. Ça été du taf que d’organiser cette soirée, t'as intérêt à bien bosser sinon tu le paieras plus cher que tu ne peux même l'imaginer!

Je ne connais pas cette voix qui a un très fort accent rebeu, mais pas jeune de banlieue. Non, à l'ouie, le mek doit bien avoir la quarantaine au minimum.

— Ton Maître t'offre à nous, tu vas bouffer, subir, avaler, te faire élargir, doser, plomber par un bon cheptel de bons meks bien calibrés, aux couilles pleines. Prépare-toi chiottard...

J'entends un bruit d'eau et d'un seul coup, un jet puissant d’eau glaciale, on est en train de me laver au karcher. J’hurle tellement l'eau est froide et le jet douloureux. Mon Maître intervient:

— Qui t'a autorisé à parler connard? Foutez lui le jet dans le cul, ça va le calmer!

Moins de deux secondes après, je sens le jet puissant me nettoyer le cul en profondeur. Je n'ose plus dire le moindre mot. Au bout de quelques minutes, plus un bruit. Je tremble de froid après ma douche mais je dois avouer que je me sens mieux qu’avec ce cataplasme de merde, de foutre et de dégueulis qui me servait de seconde peau depuis ce matin!

La porte de la cage s'ouvre, je sens une main qui m’attrape le crâne pour me faire sortir et me traîne sans ménagement. On me retire ma cagoule et je me retrouve face à trois meks, tenue de chantier intégrale avec casque et à la place de l'outillage, des godes, des chaînes, etc, accrochés à la ceinture. Leurs visages sont cachés par un simple masque en plastique blanc. Un des mecs me tend un sac et me dit:

— Habille toi, pétasse!

Je sors du sac des sous-vêtements féminins rouges en fausse dentelle, des bas noirs, un corset rouge en faux cuir, une perruque blonde, des pompes avec des talons d’au moins 15 cm, de longs gants noirs. Je m'exécute et me look en pute comme on m'en a donné l'ordre. Ces fringues ont déjà servis, vu leur état! J'avoue que la situation m'excite, je m'imagine dans quelles circonstances ils ont été cradés!

— À genoux!

Je viens me mettre à genoux devant mes lopeurs. On me met un collier, des bracelets cuir aux poignets et aux chevilles. Je sens que ça y est, leur fameuse «soirée» commence.

— Tu vas nous montrer de quoi t'es capable avant que les potes arrivent. Ouvre bien la gueule!

Les trois meks sortent leur queues et se mettent face à moi.

— On va bien se vider et on veut rien au sol, chiottard!

Et les meks commencent direct à pisser en visant ma gueule. J'essaie au maximum de boire ce qu’on me donne mais les trois jets s’entrecroisent et naturellement, la moitié de leur pisse coule sur moi et sur mes vêtements.

— On t'a dit de tout boire, espèce de dégueulasse! Nettoie le sol!

Et un mec m’écrase d’un seul coup de pompe sur le dos pour me foutre à plat-ventre et lécher le sol. L’un d’eux termine de se vider sur mon dos.

On m'attache une chaîne à mon collier, l’autre bout est accroché à un anneau fixé dans le sol. J’ai un rayon de 60 centimètres pour bouger. Il y a un matelas posé au sol, un vieux fauteuil, une table et une vieille baignoire. Mon Maître vient devant moi, me retourne un aller-retour dans la gueule avant de me donner un coup de genoux dans le ventre.

— Ça fait pas deux heures que t'es là que les meks se plaignent déjà de toi. T'es même pas capable de boire leur pisse! Si il y a la moindre plainte ce soir, c'est moi qui interviendrai et crois-moi, tu le regretteras. Fous-toi à genoux!

À moitié tordu de douleur, je m'exécute. Il me fout sa bite dans la gueule et se vide la vessie en jets puissants; j’ai à peine le temps de déglutir mais je sais que je ne dois en aucun cas laisser la moindre goutte couler. Quand il a terminé, il me retourne et m’encule d’un coup sec. Je sens son gland me déchirer le cul et me limer violement. J’ai envie de gueuler mais je me retiens. Très rapidement, il se vide en moi, se retire et me présente sa bite à nettoyer. La forte odeur de pisse et de jus m’excite plus encore que du poppers et je me délecte des restes de sperme sur le gland de mon Maître.

— Je vous l’ai lubrifié, il est à vous!

— Tu vas ouvrir les portes la haut, Momo?

— J’y vais et je passe au foyer prévenir tout le monde.

J’entends les portes claquer, un courant d'air frais, à la fois une sorte de calme et une sorte d’anxiété d’avant «je-ne-sais-quoi».

— Montre nous ton trou!

— Fous-toi à genoux et écarte bien ta boite à jus!

À peine en position qu’un des rebeu s’approche, me fout un doigt, puis deux. Il les remue, les écarte, les enfonce, les ressort et me les met dans la gueule.

— Elle est déjà bien lubrifié la pute, j’vais lui en rajouter. Ça sera pas de trop avant ce qu’elle va se prendre!

Il se fout derrière moi et me défonce d’un coup sec. L’autre rebeu vient me foutre sa bite dans la gueule et je vois mon Maître plus loin dans un canapé en train de mater tout en picolant une bière. Même gavé dans le cul et la gueule, l’ambiance me paraît faussement calme. Bizarrement, ce calme m’inquiète! Alors que les mouvements de va-et-vient se multiplient violemment dans ma gueule et mon cul, j’entends tout d’un coup une espèce de brouhaha. Je ne vois pas ce qui arrive mais j'entends le rebeu qui était allé ouvrir les portes.

— Voilà votre trou pour la nuit les mecs, elle fera tout ce que vous voulez. Vous pouvez la baiser, l'utiliser en chiotte, en slave, ne vous retenez pas et amusez vous! On l'a jusqu’à demain midi. Y'a un tél à votre dispo si vous voulez faire venir d’autres potes...

J’ai compris que je suis mis à l’abattage; je m'y attendais. Je ne vois toujours rien et suis toujours pris par les deux trous. Le rebeu qui me défonce le cul est de plus en plus violent dans ses mouvements, il râle, je sens qu’il va venir. Un mek s'approche, me saisit un téton qu’il tire violemment. Je veux hurler, ma gueule s'ouvre sur la bite que j’ai en bouche. Le mek en profite pour s’introduire totalement au fond de ma gorge et d’un coup, je me sens rempli en fond de gorge et au fond de mon cul. Les bites se suivent, toutes les formes, toutes les longueurs. La plupart que je prends en gueule ont un goût de de macération infernal, je sens le fromton sur le gland et les mecs me baisent la gueule, me remplissent de pisse et de jus sans s'interrompre. Mon cul en prend tout autant! Je suis quasi en totale roue libre quand je suis rappelé à l'ordre par une douleur infernale aux couilles. Une main énorme vient de me les empoignées et les écrase en tirant sur les bourses comme s’il voulait les arracher!

— C'est quoi cette femelle? À quoi ça lui ser?

— À rien, répond une autre voix. Arrache-lui ça!

J’hurle un non à réveiller un mort! J'essaie de m'extirper de ce merdier. D’un seul coup, je me sens être redevenu moi-même. Les drogues, le jus, la pisse, la merde avalée sont oubliées. Je ne pense plus qu’à mon intégrité. Mon Maître arrive devant moi, je me prends un super coup de poing dans la gueule. Je tombe au sol, il me fout un coup de boots en plein dans les couilles, j’hurle.

— Faites le taire!

Un gros mec vient me foutre sa main sur la gueule, je peux à peine respirer!

— Apportez une corde et descendez la moto!

Mon maître me lève en me tenant les couilles puis me fait mettre à quatre pattes.

— Venez vous laver les mains dans son cul!

Il m'enfonce un tuyau dans le cul, je sens l'eau glaciale couler et de suite, une main entrer d un coup, puis une deuxième!

— Allez-y, c'est un lavabo!

Et il éclate de rire!

— J’veux que vous ayez les mains propres pour le latter!

Et les mains se suivent. Je peux à peine respirer, mon Maître me maintient la gueule sur sa cuisse. J’entends du bruit, ce doit être les mecs qui arrivent avec la moto. Alors que j’ai deux mains dans le cul, mon Maître me relève d’un coup. Je me tiens aussi droit que possible. Il attache la corde à mes couilles et ma bite, en faisant plusieurs tours et des nœuds bien serrés. Il file l’autre extrémité de la corde au mec près de la moto.

— Encore une connerie, la moto t'arrache les couilles!

Le moteur est mis en marche! On m'attrape les mains, on y passe une chaîne et on m’accroche au plafond.

— Vous avez envie de vous détendre? Alors allez-y, lattez aussi fort que vous souhaitez! Une fois que vous l'aurez bien attendri, vous pourrez vraiment en faire ce que vous voulez sans qu’elle vous fasse chier.

Et les coups pleuvent, je me mords la langue pour ne pas hurler. Les mecs frappent n’importe ou, n’importe comment, je sens des poings, des chaussures, des ceintures, j'en reçois dans la gueule, les couilles. Au bout d’un moment qui me paraît interminable, je perds pieds et ne suis même plus capable de me retenir à mes menottes. Je tombe uniquement retenues par celles-ci qui par la chute sont au bord de m'arracher les mains. Les coups se calment, on me détache, mais une fois au sol, le balai des bites reprends. Je suis pris de toute part, je sens qu’on me pisse à nouveau dessus.

— On l'a peut être trop attendri ta femelle. Elle réagit à peine, elle fait chier!

La phrase n'est pas terminée que je suis ramené à la réalité par mes couilles. La moto s'est mise en marche et m'a fait faire au moins 3m d’un coup!

— Elle est réveillée. Allez-y…

C'est la voix de mon Maître.

— Allez cherchez vos clebs, ça va la réveiller!

Et c'est le défilé des mecs et de leurs clebs, chacun me baisant la gueule pendant que leur chien me monte, ou me tassant le jus que leur cleb vient de me larguer au fond du trou! Je sens autant leur bites que leurs pattes qui m’arrachent la peau. Puis ça se calme tout d'un coup. Les mecs partent les uns après les autres. Au bout d'un moment, il ne reste que mon Maître et les deux arabes qui nous ont accueillis.

— Tiens, voilà la caisse! dit l'un des arabes.

— Ok comme promis, vous aurez 30%, 35 payants, plus nous, les maîtres-chiens, on les a invité.

Et puis silence, ça compte!

— Pas mal! dit l'arabe.

— Merdique tu veux dire! Si elle avait fait son boulot, y'aurait eu le triple. C'est qu’une bonne à rien, juste capable de se plaindre. Tenez voilà votre part. Je vais dormir qques heures. J’vous le laisse, payez-vous en nature, j’veux pas savoir ce que vous lui faites. Foutez-le moi dans la camionnette pour 9h. Bye!

— Merci mec! À tout à l’heure.

J’entends le bruit de la porte. Je suis seul avec les deux reubeus, toujours allongé au sol, à moitié prostré. Les deux reubeus s'approchent.

— Ça va la pute?

— Oui Maître!

— Parfait alors. Tu nettoies tout, tu finiras par nos bites!

— Oui Maître!

Et me voilà à faire le ménage alors que je tiens à peine debout! Une fois terminé, les mecs me remplissent une dernière fois la gueule de leur jus et me remontent, me foutent dans le camion. Je suis total crade et ne suis plus qu’une douleur, mais la fatigue l'emporte et je m'endors, malgré tout heureux de ma condition...

source: gaie-eros.org

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
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