L'intrephone qui résonnait avec son long et strident bruit me fis sortir de la torpeure dans laquelle je suis depuis le début de la soirée devant la télévision à regarder une série américaine, FBI de je ne sais où, déja vu ou resemblant à telement d'aurtre série. Bref de mon fauteuille où j'étais presque endormi, je me precipite vers cet interphone dont l'utilisateur exterieur ne detache pas le doigt et provoquant un bruit continu dans mon appartement. 

Qui cela pouvait il bien être ? 

"C'est moi ouvre" m'ordonnait mon visiteur. 

Je ne reconnais pas la voix grave et sensuelle. Mais j'ouvri tout de même pour faire au moins cesser la sonnerie de l'interphone. Un amant, un ami, qu'importe. la porte de mon appartememnt comme ma petite porte arrière leurs sont ouvert et ils le savent tous . C'est peut être quelqu'un qui a juste envie de se vider les couilles?

Sur le pas de la porte j'attend mon visiteur que j'entend monter les escaliers rapidement. 

Surprise! C'est Pierre... 

Voila plus d'un mois depuis sa premiere visite que je n'avais pas eu de nouvelles. Cette première visite s'étant faite d'une façon étrange, je n'avais pas oser le relancer. Mon corps et mon ame l'auraient pourtant bien voulu tant il emmanait de lui une force, une virilité et un sex appeal. Il était magnifique et j'avais été véxé de ne pas avoir eu de relations sexuelles avec lui. Il s'était contenté de me caresser le corps, de me doigter furtivemement le cul puis était parti sans presque un mot.

Mais le voila a nouveau devant moi. Je n'ai pas le temps de le saluer qu'il est déja entrer dans mon appartement et va directememnt s'installer dans mon canapé. Avant meme de me regarder, il coupe la télévision et enleve ses chaussures pour étaler ses jambes sur la table basse devant lui. 

Je reste interloqué et cela commence a m'ennerver. 

Que fais tu là? lui demandais je. 

Son regard croisa alors le mien. Est ce de la surprise ou du dédain que je lis dans ses yeux? J'eu l'impression qu'il était étonné que je puisse lui poser une question. 

Apres peut être un temps d'attente de plusieurs secondes, qui me parrurent une étarnité, il me regarda à nouveau et m'ordonna, sans répondre à ma question, de me mettre à poil.

Aurai-je enfin ma baise avec cet étalon? Pensais je.  

Je ne voulais pas faire le garcon facile! je commancais donc a vouloir lui resister en lui disant qu'il ne pouvait pas arriver comme ca chez moi et faire ce qu'il voulait. Mais j'avais a peine commencer à formuler mon refus d'obeir qu'il s'était, d'un bon, redressé du canapé, et avait empoigné mon T-shirt pour me souveler, et mon visage face qu sien, m'avait hurler un "A poils" qui ne permetai aucune possibilité de refus.

Sur mes jambes tramblantes, me souvenant de la claque que j'avais recu lors de notre premiere rencontre, je me mis nu rapidement en n'oubliant pas d'enlever mon slip. La derniere fois il avait du me l'arracher et n'avait pas été heureux d'avoir a le faire.

Nu comme un vers, devant cet homme qui a repris sa place dans mon canapé, je restai immobile, ne sachant que faire.

Au bout de quelques instants interminables, il me demanda de m'approcher de lui et de me mettre à genoux au sol et entre ses jambes.

Je sentis toute la force qu'il y avait dans ses membres quand il se redressa, m'encadrant de ses genoux le haut du corps et m'embrassant avec fougue et désir sur la bouche.

En quelques secondes j'étais au paradis. Ma bite s'en souvient encore de la magnifique erection que cela m'a procurer. C'était le début d'une grande passion.

Il me caressait les fesses, le corps la tête...Il me convrait de bisous. Tant d'attentions, j'avais l'impression d'être le centre du monde. De son monde. Le bonheur... 

Apres plusieurs dixaines de minutes de calins, embrassage fougueux et caresses en tout genre, il me dit que nous serions mieux dans la chambre. Il se leva alors me laissant toujours à genoux sur le sol.

"Viens dans la chambre, mais reste à quatre pattes" me dit il d'une voix qui à nouveau se faisait autoritaire.

Sans me poser de questions je le suivai donc mais à genoux, oubliant la honte de cette position de soumission. Mais n'étais je pas deja son prisonnier? 

Lentement dans la chambre il se dehabilla en prenant soin de plier ses vêtements sur une chaise et s'atala sur le lit. Tois petites tapes sur le duvet me fit comprendre où était ma place. je montais sur le it pour m'étaler le long de son corps qui comme sa silouette la laissait penser, était, tout bonnement magnifique.

Au lit, pour répondre aux caresses et bisous, que je recevais, je lui pratiquai une félaton toute en douceur, qu'il avait l'air d'appécier. Puis c'est alongé sur le ventre et le supportant alongé sur moi de tout son poids sur moi que je lui ai ouvert mes fesses pour le laisser me pénétré.

Il m'avait fait l'amour avec un grand A. Ce n'etait pas une baise. Je n'étais pas un morceau de viande, ou uniquement un trou à remplir, non c'etait du sexe comme je n'en n'avais jamais eu.

J'étais amoureux. Ce mec parfait physiquement, viril et autoritaire, allais me transformer en sa chose. et déjà j'aimai ça.          

 

Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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