Quelle bonne idée d'avoir loué ce petit chalet tout près de ce magnifique lac dans les bois! Voici le récit palpitant d'une fin de semaine inoubliable dans les Laurentides. Maîtresse Nathalie, une bonne amie à moi, m'avait cordialement invitée à venir passer le week-end avec elle afin de se relaxer un peu de la vie montréalaise. Elle avait aussi demandée à une bonne connaissance à moi, Lady Wanda, de se joindre à nous.
Pour bien s'assurer de notre confort à tous, nous avions tous enmenés au moins un de nos esclave pour nous servir pendant ces petites vacances.
Le vendredi soir, nous sommes donc arrivés sur les lieux. Nathalie était bien contente de notre présence. De longues accolades s'ensuivirent entremêlés de rires et de
baisers.
Nos esclaves respectifs s'étaient mis à la tâche de nous préparer un festin. Ils eurent la permission d'en faire plus que nécessaire pour qu'ils puissent avoir assez de nos restes pour se
nourrir. Nous avions fait coucher ces derniers sur le sol près de nos lits au cas où nous pourrions avoir
besoin d'eux. La nuit fut paisible et reposante à souhait.
Le lendemain, après le petit déjeûner, je pris une marche le long des bois pour remarquer dans un coin isolé une vieille cabane en bois. À ma grande surprise, j'y découvris trois magnifiques
pousse-pousse de style oriental. Je fis part de ma découverte à Nathalie.
"Tiens, c'est vrai! Je n'avais plus aucun souvenir de ces vieilles reliques. Elles sont pourtant encore en bon état." me dit-elle.
Une idée surgit dans mon esprit. Pourquoi ne pas atteler nos esclaves et faire une course le long du sentier qui longe le lac? Ça pourrait être intéressant, non?
Je fis part de mon idée à Nathalie et à Lady Wanda. Toutes deux acceptèrent avec joie. Je savais que nous allions nous amuser.
De mon sac, je sortis mon fouet ainsi qu'un accoutrement qui servit d'attelage. Rien de bien élaboré mais cependant très efficace pour ce que j'aillais faire. Moins d'une heure après, nos
esclaves étaient prêts et en place. Ils savaient déjà ce que nous attendions d'eux.
Nous avions ainsi pris place sur les pousse-pousses et, comme avec des chevaux de courses, nos esclaves se mirent en position de départ. Wanda était à gauche, Nathalie au centre et moi à
droite.
Je savais d'avance que j'avais un avantage sur mes deux amies. En effet, mon esclave, leandro, un sud américain à peau foncée qui avait toujours rêver de servir un maître blanc, était en bonne
condition physique. L'esclave de Nathalie, lui, était plutôt mince de taille mais elle les avait toujours préférée ainsi. Elle disait avoir plus de plaisir à cogner sur les côtes de ses esclaves
quand il n'y avait pas de graisse autour. Celui de Lady Wanda était plutôt obèse. Je me demandais, malgré les coups de fouet qu'elle allait joyeusement lui administrer, si il allait même être
capable de terminer la course.
Sans se soucier davantage de qui allait remporter l'épreuve, nous savions tous les trois que le plaisir de jouer était tout ce qui importait.
Au signal de départ, trois coups de fouet se firent entendrent. À ma grande surprise, c'est Nathalie qui pris les devants. Je la suivait de près et Lady Wanda se montra vindicative envers son
chien qui n'avait pu me double au départ.
Le chemin était bien pratiquable pour nos sièges à roues. J'avais eu la bonne idée de faire porter des souliers de courses à mon esclave. Celui de Nathalie portait des bottes de construction pour
ce protèger des éventuelles souches et pierres qui longeaient le sentier. Sachant par où passer pendant la course, je savais que c'était là une précaution qui n'était pas nécessaire. Le sort
allait en décider.
Au premier tournant, Nathalie avait toujours l'avance sur moi et s'en réjouissait fortement. Cependant, je n'avais pas dit mon dernier mot. J'avais fait claquer mon fouet au dessus de la tête de
mon esclave pour le motiver et je dû reconnaitre mon erreur. Au lieu de cela, je me suis mis à lui fouetter le dos, les fesses ainsi que les bras. Je fus heureux de constater que son rendement
s'améliorait au fur et à mesure que je le menaçait du pire.
Au second tournant, je pris la chance de tenter de dépasser Nathalie mais elle avait prédit ma manoeuvre. Elle pu donc demeurer en première place. Ce n'était que partie
remise.
Au troisième tournant, un gros rocher bloquait partiellement le chemin et en conduisant serré, je pu me tailler une place à coté de Nathalie. Son esclave, pris de panique en voyant le chemin se
rétrécir devant lui, ralentit malgré les ordres de sa maîtresse. Voyant cela, leandro reçu un déluge de coups de ma part pour bien lui faire comprendre mes intentions de ne pas laisser passer
pareille occasion. C'est ainsi que mon initiative me permis de prendre la tête du peloton. Il restait encore un quart de tour à faire mais Nathalie ne put me rattraper à temps. Les bottes de son
esclave semblaient être trop lourdes pour lui et cela lui empêchait de prendre plus de vitesse. Encore quelques injures et coups de fouet sur leandro et je pu passer la ligne d'arrivée en
premier. J'étais vainqueur!
Lady Wanda arriva 30 secondes plus tard avec son esclave qui s'écroula de tout son long après avoir franchi la ligne d'arrivée. Nathalie me félicita de ma victoire bien méritée et je fis de même
pour elle qui m'avait offert une belle opposition. Je permis à leandro de se mettre à quatre pattes afin qu'il puisse reprendre son souffle. Le pauvre avait déjà assez souffert. Cependant, en
gagnant la course, j'avais fait preuve d'une grande magnanimité. Je m'assis sur son dos et lui caressa la tête comme on fait à un bon chien. Il savait qu'il ne serait pas puni comme le serait ses
frères de race inférieure. Nathalie n'y alla pas de main douce avec le sien. Lady Wanda permit à son esclave de se rafraîchir en lui attachant les chevilles ensemble et en le poussant tout nu
dans l'eau glacée du lac. Le pauvre suppliait pour de l'aide mais cela permit à sa maîtresse de se venger un peu de sa piètre performance. Il la supplia hardemment de lui donner la permission de
sortir du lac mais elle resta de marbre tout en se moquant de lui. Le spectacle était tout aussi amusant que touchant à voir. Il nous permit de rire tous ensemble.
Le soir même, après avoir enfermés nos esclaves dans la vieille cabane en bois, nous nous servirent un digestif bien mérité devant un bon feu de camp. Il était merveilleux de constater à quel
point il faisait bon de vivre si loin dans la nature, loin du regard indiscret des voisins et des étrangers. Nous savions que jamais nous n'aurions pu faire cette course dans un parc en
ville.
Je croyais bien que Nathalie avait digérée sa défaite mais quand elle me confia vouloir une revanche, je cru bon de lui faire plaisir en acceptant son offre. Lady Wanda se réjouit de cette
proposition. Elle savait qu'elle n'avait pas une chance de l'emporter avec un tel lourdeau d'esclave à supporter mais que cela ne tienne! L'important était bien de participer,non? Sans que nos
esclaves n'en furent informés, il était décidé qu'ils allaient courir de nouveau demain matin.
"Mais cette fois, c'est moi qui vais prendre la position de droite au départ!" me dit Nathalie avec un clin d'oeil coquin et amical.
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