Effectivement, à peine dix secondes après cette affirmation, Henri cogna à la porte et entra. Il jeta un regard interrogateur à mon maître qui lui répondit simplement: — Pat en premier. Je te ferai signe pour Sam. Henri sorti et entra de nouveau quelque secondes plus tard tenant en laisse le beau gars de l'autre cage, qui souriait largement. Mon maître se leva et alla à leur rencontre, et serra Pat dans ses bras. 

— Allô mon beau Pat ! J'ai un nouvel ami pour toi !

C'est drôle. J'ai ressenti un élan de jalousie à voir le garçon serrer un autre dans ses bras. Il détacha Pat de sa laisse, et Henri ressorti nous laissant seuls.

Pat s'approcha de moi et alla droit vers mon cul et s'y enfonça le nez. J'ai été un peu surpris -- il joue vraiment le jeu, lui. J'emboitai le pas et allai voir sa rosette de près. Son cul était presque aussi beau que celui de mon maître, et c'était excitant d'agir en ne tenant compte que des instincts. Mon -- notre maître nous regardait avec un regard amusé, nous laissant aller.

— Il est à toi, Pat. Vas-y.

Je n'ai pas trop compris ce qu'il voulait dire, mais Pat a réagi sans hésitation. Son nez a été remplacé par sa langue, et celle-ci fit preuve d'une agilité que je n'avais jamais ressentie. Il salivait abondamment et léchait ma rosette à m'en rendre fou, puis enfonçait sa langue et la ressortait avec frénésie. Je m'étais posé sur les coudes, le cul bien haut, et écartais mes jambes pour lui donner meilleur accès.

Sans avertissement, il sauta simplement sur mon dos

et enfonça sa queue dans mon trou d'un seul coup. Je ne m'y attendais pas, mais je n'ai pu avoir d'autre réaction que de me pousser le cul contre lui, l'enfoncer plus creux. Sa salive était un excellent lubrifiant, et le plug que j'ai porté m'avait bien préparé à sa queue.

Pat me pistonnait maintenant avec vigueur, sans retenue et j'en voulais encore plus. Je haletais, gémissais, je ne pensais pas. Notre maître s'est agenouillé devant moi, sa queue raide devant mon nez. Elle était superbe, longue d'une vingtaine de centimètres, ni trop épaisse ni trop longue, et toute droite.

— Suce, Rex.

Il ne m'en fallait pas plus. J'espérais qu'il me donnerait cette commande. J'engloutis sa queue avec appétit et l'enfonçait dans ma bouche, fermant les yeux, bougeant au rythme de Pat qui me fourrait sans retenue. Le goût de sa queue était incroyable.

Mon maître me prit par la tête pour retenir mon rythme alors que Pat explosait dans mon cul.

J'étais déçu, mon cul en redemandait. La queue dans ma bouche, que je ne pouvais maintenant sucer que tout doucement, ne m'avait pas encore nourri. Sans relâcher ma tête, mon maître appela:

— Henri, amène Sam!

J'entendis la porte ouvrir, et le bruit d'une chaîne. Mon maître relâcha une main de ma tête pour donner une petite tape sur mon dos.

— Sam ! Vas-y ! Pat ! Suce. Doucement.

J'ai profité de l'occasion pour jeter un rapide regard au nouvel arrivé et j'ai failli m'étrangler sur la queue de mon maître. Sam, c'était un autre voisin de chenil, le berger allemand. Sans se faire prier, il se rendit à mon cul et se mit à le lécher lui aussi. Je fus saisi d'un mouvement de panique, mais mon maître avait recommencé à baiser ma bouche de sa queue, et Pat se glissa sous moi et engloutit ma queue dans sa bouche chaude.

J'avais déjà oublié ma panique. J'étais au paradis, une langue léchant habilement mon cul, une bouche experte me poussait au bord de l'extase sans me laisser y entrer, et la superbe queue de mon maître entrant et sortant de ma bouche. Je ne me suis presque pas apperçu que Sam avait maintenant grimpé sur mon dos, et frappait mes fesses de sa queue.

J'avais peur qu'il me fourre à son tour, mais je n'ai pas été capable de m'empêcher de lever encore plus mon cul et de m'écarter les fesses autant que je le pouvais. J'avais besoin de me faire prendre, de confirmer définitivement mon statut, de me baiser. Le sexe était la seule chose qui existait.

Soudainement, Sam trouva son but et s'enfonça à la garde. J'étais fou de passion. Sam n'attendit pas, il avait ce qu'il voulait, mon cul. UN cul. Il me sauta comme une bête, comme la bête que j'étais. Son pieu était énorme, mais ne pouvait me suffire. Je sentais une énorme boule me pénétrer et gonfler en moi, poussant contre ma prostate avec chaque coup violent que le chien donnait pour me sauter, me monter.

Je sentais la queue de mon maître se raidir dans ma bouche, et la queue de Sam me remplir, réarranger mes entrailles, me combler.

Quand j'ai senti Sam donner un dernier grand coup et sa queue faire des spasmes régulièrement, sa semence chaude me remplir et déborder de mon cul et couler entre mes fesses, j'ai explosé dans la bouche à Pat, hurlant presque malgré la queue de mon maître, qui avait elle-même commencé à déverser ses flots dans ma bouche sans que je m'en rende compte.

Finalement, Sam cessa de bouger, serrant toujours mes flancs de ses pattes. Pat se retira de sous moi, et mon maître se retira également. Je me suis simplement effondré, visage sur le sol, cul bien haut toujours empalé sur la queue de Sam. Mon maître me serra dans ses bras.

— Bon chien, Rex. Bon chien.


Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
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