Un dimanche après midi ensoleillé. Le dimanche est toujours un jour spécial. C'est le seul jour où mon maître me lève en même temps que lui. c'est le seul jour de la semaine ou j'ai un moment pour utiliser le langage humain. C'est le seul jour de la semaine où mon maître me lave. Il y a beaucoup de bonne chose le dimanche, une intimité entre moi et mon maître que je ne retrouve pas les autres jours de la semaine.

Le soleil est là qui donne sur le devant de la maison. A genoux sur le palier, ce soleil du mois d'octobre réchauffe ma peau. il est quatorze heure et j'ai fini ma gamelle. je suis repus, bon pour la sieste. 
 
Je me serais bien allongé sur la pelouse. mais je suis tout propre, ce matin dans la baignoire mon maître m'a rasé de la tête aux pieds. Si je m'allonge sur l'herbe je risque d'avoir de la terre  et des feuilles mortes sur le corps encore sensible après le passage du rasoir.

C'était sans compter sur l'énergie de mon possesseur. La laisse à la main, je comprend qu'il a l'intention de profiter du soleil de cette arrière saison.

"Allez Zac, on bouge" dit-il.
Nous avons la chance de vivre aux milieu de la campagne. autour de notre maison, ne vie que la famille de mon maître, Ses parents, ses frères, ils ont tous une maison dans les cent mètres autour de notre maison. et le reste c'est des champs et des bois sur des kilomètres. Il n'y a aucun risque de tomber nez à nez avec des promeneurs.

Lors que mon maître passe la laisse autour de mon cou je lui fait remarquer en levant les mains qu'il ne m'a pas remis les protections aux mains et aux genoux. 

"Mais oui, mon Zac, tu n'es pas habillé. Pas bougé je vais chercher ton matériel"
L'ordre de ne pas bouger me rassure. Je me voyais mal faire des kilomètres sans mes gants, mes genouillères et mes chaussures.
Quand il revient, c'est avec tous les accessoires nécessaires. Et même plus, il n'a pas oublié ma queue. un plug de plus de cinq centimètres de de diamètre avec une queue qui frétille au bout. C'est mon plug préféré, il le sait, mais pas très pratique pour faire une longue balade dans la campagne.   

Une fois équipé traîné par la laisse, nous voilà sur les chemins de campagne. Moi nu derrière mon maître je marche à quatre pattes. Dans les champs les vaches nous regardent passé. Peut être qu'elle se disent que nous formons un drôle de couple. Elles se posent peu être la question de savoir quel genre d'animal je suis. Les bouts de bois qui sont lancés pour que j'ailles les chercher me fait passer dans la boue. Au revoir, la belle couleur de ma peau propre, c'est maculé de tache que nous finissons notre balade.

Même si cela fait maintenant plusieurs mois que je marche à quatre pattes tout le temps, cette promenade a fini de m'épuiser. la vue de mon panier me soulage déjà. Je m'affale dedans sans même attendre que l'on m'enlève mon plug ou les gant. Il doit être dix sept heure. C'est un dimanche après midi.       

         
Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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