Depuis que j'ai 15 ans, j'ai toujours adoré le sexe des hommes. En fait, je ne suis pas spécialement homosexuel mais je suis particulièrement vicieux et je suis obsédé par les verges et les couilles. Je ne peux pas dire que j'aime les hommes, non j'aime le sexe masculin, j'aime le voir, en repos ou en érection, le toucher, le caresser et par-dessus tout, le lécher et le sucer jusqu'à un extraire son nectar. Je suis un fanatique de la fellation, c'est pour moi comme une drogue, dès que j'en ai l'occasion, je n'hésite pas à tailler une pipe. De plus, je trouve le goût du sperme très agréable, il faudrait plutôt dire des goûts car aucun foutre n'a le même goût et le même aspect. Il y en a des extrêmement gras et épais, d'autres complètement liquides presque transparents, les saveurs vont du liquide doux et légèrement salé au fort goût âpre qu'on garde dans la bouche plusieurs heures. Je ne vais pas vous raconter toutes les pipes que j'ai taillées depuis l'âge de 15 ans, il y en a des dizaines de milliers, mais juste une aventure qui m'est arrivée alors que je n'avais pas encore 30 ans.

À cette époque je faisais de nombreuses rencontres par minitel, au minimum une par soirée et une dizaine le week-end. Sans être un canon, j'étais alors plutôt mignon et mon côté passif, soumis vicieux, plaisait aussi beaucoup, surtout aux hommes mariés de 45 ans et plus. C'était par ailleurs ce type d'homme que je préférais, je n'aimais pas les jeunes hommes et je privilégiais ces rencontres car ils avaient tendance à faire avec moi ce qu'ils ne pouvaient pas faire avec leurs femmes et, contrairement aux putes, j'étais gratuit. De plus, se taper "un pédé" les sortaient de la routine.

Mes rencontres étaient pour la plupart sans lendemain et je préférais ça à une relation plus ou moins suivie, je ne suis pas un sentimental.

C'était le cas de Daniel. Ce soir de juillet, je le voyais pour la vingtième fois environ, il venait régulièrement le jeudi soir car sa femme, infirmière, était de garde à l'hôpital. Il avait 52 ans et était très vicieux. Il aimait me faire prendre des poses obscènes pour se faire sucer ou me sauter. Il me traitait avec délectation de pute, salope et autre chienne. Il était très dominateur et c'est avec plaisir que je subissais ses humiliations diverses. Bref, ce soir il me dit:

— Ça te dirait d'être tout un week-end à la disposition de plusieurs hommes pour les sucer?

Sans hésiter, je lui dis:

— Bien sûr mais je ne connais pas d'endroit ou ça peut se faire.

— J'achète de temps en temps (je ne me souviens plus du nom de la revue) et il y a des annonces de mecs qui proposent de mettre à disposition leurs esclaves durant quelques heures, une journée ou plus. J'ai répondu deux fois et je ne l'ai pas regretté!

Nous décidons de passer cette annonce (j'ai encore le brouillon):

"Maître de 52 ans propose séance de fellations par son esclave de 28 ans durant un week-end complet, région parisienne. Préférence à des hommes de 45 ans et plus, race et physique indifférents, vicieux bienvenus, lieu à me proposer, premier week-end de septembre."

À cette date, sa femme doit partir en vacances une semaine avant lui.

L'annonce passe au début de la semaine suivante et dans les jours qui suivent, Daniel reçoit les premières lettres de réponses. Il me les montre, il y en a 15 pour l'instant, les correspondants donnent leurs numéros de téléphone pour être tenus au courant de la suite des opérations.

Je n'aurais jamais imaginé ça mais la revue était très spécialisée dans ce type de rencontres plus ou moins sado-masochistes, bien que ce n'était pas exactement ce que nous recherchions.

Daniel retient donc le premier week-end de septembre, il a reçu 55 réponses! Ça promet mais je ne veux pas reculer et je ne le veux pas, et ce malgré un certain risque quand même; 55 inconnus ce n'est pas rien.

Plusieurs correspondants ont proposé des endroits et nous décidons de choisir une grange aménagée dans les environs d'Etampes. Elle appartient à un candidat et d'après lui, elle est suffisamment isolée pour rassurer les autres hommes sur la discrétion de leurs visites.

Nous arrivons sur les lieux, samedi matin vers 10 heures. Notre hôte nous accueille, il est accompagné par deux hommes, tous ont la cinquantaine, plus ou moins bedonnante, ils me saluent sans insister mais sont chaleureux envers Daniel. C'est clair, et bien que ça soit "un jeu", je suis l'esclave et n'ai droit à aucune considération, cette "mise en scène" me va très bien. Ils nous accompagnent derrière la bâtisse, il y a là un hangar fermé par une lourde porte en bois. Dedans, je découvre un lit de camp, sur le sol est étendue une grande toile. Le type dit à Daniel:

— C'est ici que nous faisons toutes nos séances, c'est bien caché de la route.

Daniel me dit alors:

— Pour commencer, tu te déshabilles!

J'obéis et ils me regardent avec un sourire narquois et quelque peu dédaigneux. Quand ils découvrent mon petit sexe glabre, c'est tout juste s'ils n'éclatent pas de rire pour m'humilier. L'hôte propose un verre et ils rejoignent la maison me laisser nu au milieu du hangar.

Heureusement, il fait encore chaud en ce début septembre. Il a été convenu, mais il semble que la plupart sont des habitués de ce type de réunions, que chacun amènerait à boire et à manger.

Je découvrais alors ce milieu bizarre.

J'entends les pneus des voitures qui crissent sur le gravier, ça commence à arriver. J'ai quand même le coeur qui bat plus vite que d'habitude et me demande comment j'ai pu accepter un truc pareil! J'ai déjà sucé des types à la chaîne, la nuit dans les bois ou aires de repos d'autoroutes, mais il n'y avait rien d'organisé et ça n'a que rarement dépassé la dizaine! J'ignore comment ça va se passer, viendront-ils tous ou les uns après les autres?

Je ne sais pas quelle heure il est, Daniel arrive:

— Ça commencera à midi et demi. Tu es en forme?

Il me tend ma pitance, pain, jambon, une pomme et de la bière.

— Voilà comment ça va se passer: nous viendrons dans un premier temps par deux ou trois, histoire de t'échauffer, disons jusqu'à six ou sept heures et après dîner, c'est l'orgie! J'ai une demi-heure pour déjeuner.

À l'heure dite, deux hommes se présentent. Ils laissent la grande porte ouverte, ils sont à poil. Deux gaillards très velus, l'un des deux a une bite énorme, je la regarde pendre entre ses cuisses, elle se balance doucement au rythme de ses pas et elle dégage une impressionnante sensation de puissance et de virilité; l'autre est plus "normalement membré". Ils arrivent à ma hauteur, je me suis déjà agenouillé et je commence par caresser les deux sexes. Mes doigts s'engouffrent entre les cuisses et tripote doucement les couilles mais ils veulent aller droit au but et n'ont pas l'intention de faire traîner la séance. Il est vrai qu'ils ne sont pas les seuls et sans doute leur a-t-on dit de ne pas trop prendre leur temps. Un type enfonce son gland dans ma bouche, c'est le plus petit des deux. Je commence alors à le sucer, il bande vite et mes lèvres vont et viennent maintenant régulièrement sur sa peau.

Je continue de branler son voisin et la queue commence à durcir entre mes doigts. Elle devient alors un gigantesque mandrin de plus de 25 centimètres couronné par un superbe gland avec un bel ourlet; il ressemble à un champignon, presque noir et très brillant. Je fais, maintenant une belle gorge profonde, c'est ma spécialité, je doute pouvoir en faire une avec l'autre! Après avoir repris mon souffle, j'attaque le gros morceau. Le volumineux gland remplit aussitôt ma bouche. Maintenant je suce les deux bites l'une après l'autre et le premier jouit dans ma bouche, un foutre très chaud et très liquide se répand alors dans ma bouche. Je l'avale jusqu'à la dernière goutte et l'homme se retire, aussitôt remplacé par un type qui attendait dans la pièce depuis quelques instants.

Les heures passent sans que je n'arrête une seule seconde de sucer. Les bites se relaient parfaitement dans ma bouche et j'en vois de toutes sortes: des blanches et des noires, des grosses, des moyennes et même de plus petites que la mienne, des blondes, des noires, des rasées. C'est extraordinaire et je suis parfaitement heureux de n'être plus qu'un aspirateur de sperme.

Il doit être sept heures car Daniel arrive et me dit:

— On arrête un moment. Tu es très bien et ils apprécient terriblement tes prestations!

Il me tend un repas froid et il disparaît sans rien ajouter. J'entends le brouhaha qu'ils font en discutant et en riant. La nuit commence à tomber, je suis légèrement fatigué mais ça va bien. La bouche encore maculée de sperme, je commence à manger, des filaments de foutre sont encore glissés entre mes dents. Je n'en ai pas perdu une seule goutte, même quand les deux bites déchargeaient en même temps. Je n'ai pas compté combien de pipes j'ai réalisé mais je pense qu'en plus de six heures, j'ai fait le tour des participants. J'ai appris plus tard qu'en réalité, ils étaient 62 car par moment, ça ne durait guère plus de cinq minutes. Ils ne prenaient pas la peine de se retenir.

Ils arrivent par petits groupes en riant, certains ont un verre à la main ou une canette de bière, ils ont l'air d'avoir bien mangé et bien bu surtout...

C'est reparti mais maintenant ça va-et-vient dans ma bouche sans ménagement. En fait, c'est à peine si je suce, à peine ai-je commencé une fellation qu'on m'oblige à lâcher le morceau pour me décharger dans la bouche, j'avale et reprends ma bite sur une autre queue qui s'impose. Certains n'ont même pas envie d'attendre, ils déchargent leur purée sur mon visage, mes cheveux ou mes épaules.

Il fait nuit noire, le hangar est éclairé par des projecteurs puissants. Maintenant je suis dans un état second, j'ai l'impression d'être drogué. Je n'entends qu'un vague brouhaha et ne perçoit plus un mot. Je vois les hommes nus autour de moi, des queues plus ou moins dressées, je suis bousculé dans tous les sens tel un pantin, je sens le sperme couler sur mon visage. Par moment, je m'écroule tellement je suis bousculé. Vers la fin, je suis couché sur le dos et ils viennent se masturber au-dessus de ma bouche par deux ou par trois...

Je ne me suis pas aperçu quand je me suis endormi.

Il fait grand jour quand je me réveille. Je suis toujours couché sur le sol. Dans ma bouche pâteuse, comme si j'avais bu de l'alcool toute la nuit j'ai un goût terrible de vieux sperme séché. Je n'ai pas idée de la quantité de liquide que j'ai pu avaler depuis samedi midi, j'ai appris plus tard que la séance s'est terminée à 5 heures du matin; 15 heures environ... Daniel apparaît avec du café et du pain beurré, il sourit:

— Sacrée nuit! Ils n'en reviennent pas, jamais ils n'ont connu un vorace comme toi. Tu dois avoir l'estomac rempli de sperme. Pour ma part, j'y suis revenu six fois et je ne suis pas un champion! Il est 11 heures, on remet ça à midi jusqu'à minuit environ, avec une petite pause, et après c'est le départ!

L'après-midi et le soir, c'est encore une nouvelle organisation. Maintenant je les suce l'un après l'autre, il fait très beau et c'est dans le jardin que nous nous installons. Il est parfaitement protégé des regards indiscrets. C'est donc plus calme et plus reposant. Un poste de télévision a été installé et tout en le regardant ou en lisant un journal ou un livre, ils attendent ma visite.

Maintenant au moins, je peux faire une pipe comme j'aime les faire, bien avaler progressivement la queue de plus en plus profond, quelques gorges profondes, caresser et bouffer les couilles à mon idée, bref, faire comme chez moi; à la différence que je n'ai que 12 heures pour en faire 62 à l'affilée! Je peux enfin à mon aise me délecter à chaque fois de ce sperme que j'aime tant, en comparer les goûts, les saveurs et les onctuosités.

Ils me caressent et me titillent le trou du cul mais ça ne va pas plus loin, ils sont tous calmes et décontractés, ils attendent gentiment leur tour. Une fois la chose faite, certains doivent partir et petit à petit, le groupe diminue d'effectif et il est un peu plus de minuit quand je termine ma 62è et dernière pipe.

En un peu plus d’un an, ils m'ont organisé deux autres séances du même type, toujours entre 60 et 80 participants, dont une avec un autre suceur, Philippe, un jeune garçon de 20 ans, mais il ne pouvait faire la moitié de ce que j'osais réaliser.

Après, j'ai été muté en Franche-Comté et je n'ai jamais plus revu personne.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
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