J’ai 32 ans et je travaille dans une étude notariale. Je mène une double vie:
d’un côté je suis un petit mec bien rangé et de l’autre une petite chienne soumise à un seul Maître.
Mon Maître m’a appelé hier soir pour me signifier qu’après son absence (longue de trois mois), les vacances étaient finies et que je reprenais mon poste à plein temps chez lui. Il m’a commandé de
faire des achats car il souhaite passer à une autre forme de soumission.
Je suis donc allé acheter une laisse et un collier gravé à mon nouveau nom.
Dans un sex-shop, j’ai fait l’acquisition de vêtements en cuir et latex. Mon Maître a été très précis sur le genre de chose qu’il me serait permis de porter.
Le lendemain, un vendredi vers 18h, je me suis donc rendu chez mon Maître avec tous mes achats.
— À poil, esclave!
Très vite, j’ai enlevé tous mes vêtements et je les lui ai confiés.
— Tu n’en n’auras plus besoin jusqu’à lundi! Je vais les garder sous clé.
Je me retrouvais donc nu dans le hall d’entrée attendant le retour du Maître. Il ne fut guère long. Il passa en revue tous mes achats d’un air gourmand. Il m’ordonna de me mettre à quatre pattes
sur un petit meuble de «présentation» et, là, il me fourra un plug destiné à bien préparer mon trou de chienne. Au bout de ce plug dépassait une tige souple ressemblant à s’y méprendre à une
queue de chien que mes mouvements faisaient bouger.
Il m’attacha ensuite le collier et une chaîne qui allait avec.
— Enfile ça!
Il s’agissait de chaussures dont la base imitait des pattes de labrador. Mes pieds devaient s’y recroqueviller.
— Demain, on viendra te mettre tes quatre piercings! Je veux que tu sois parfaite, ma petite chienne.
Quatre piercings! Je me mis à frissonner...
— Tu garderas tout le temps le collier et la laisse, même lorsque tu sortiras pour aller travailler. Je suis certain que tu trouveras le moyen de les camoufler sous tes beaux vêtements d’humain.
Ici, tu n’es plus autorisée à parler. Lorsque je te pose une question, pour y répondre, tu peux juste aboyer et remuer la queue. Tu dois faire le beau dès que tu es en attente de quelque chose et
tu es obligé de marcher à quatre pattes sauf lorsque tu cuisines et que tu fais le service. Tu fais pipi à quatre patte contre les arbres du jardin et tu te nettoies en te léchant. Tes repas sont
servis dans l’écuelle, que tu nettoieras avec la langue. Le mot lit n’a plus aucune signification pour toi: tu dormiras dans ta niche. J’en ai acheté une belle que j’ai installée dans le jardin.
Tu seras ainsi en vue de tous les passants. Tous les matins, je te ferai faire une ballade dans la parc à cinq minutes d’ici et on jouera à la balle pendant une demi-heure. Nous y rencontrerons
parfois des copains toutous qui voudront te prendre pour s’amuser un peu. Ça va être chouette!
Les choses étaient pour le moins nettes. Je savais maintenant à quoi m’en tenir.
— Pour le moment, ton plug est de taille réduite. Celle-ci augmentera toute les semaines afin de rendre ton cul aussi disponible que possible pour nos petits jeux. D’ici un mois, le vétérinaire
viendra pour te tatouer.
Ce que vous lisez là doit vous sembler fou. Ça l’est bien sûr! Pour moi, ce que mon Maître me proposait là comblait mes rêves les plus fous. Je savais déjà que si je voulais me soustraire à l’un
de ses conditions, il me faudrait le quitter à jamais. Il se trouverait une chienne plus docile.
— As-tu une objection? C’est ta dernière occasion de parler!
Je n’avais donc aucune objection et afin de montrer mon acquiescement je me suis mis à quatre pattes et je suis allé lécher ses bottes tout en faisant remuant ma queue de chien. Il devait être
satisfait car il m’a gratté le dos et derrière les oreilles.
— Viens t’aérer!
Je l’ai suivi pour une petite promenade derrière sa propriété car, dans un premier temps, il voulait me conserver à l’abri des regards indiscrets. Il me fit courir à quatre pattes dans tous les
sens et me fit jouer avec son chien, un splendide labrador.
— Regarde, petite chienne... regarde la taille de son gros sexe! Je te promets que tes deux trous en feront prochainement la connaissance.
J’ai aboyé.
Ma vie de chienne allait me convenir tout à fait.
source: gai-eros.org
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