J’ai 32 ans. Je suis drog trainer depuis cinq ou six ans. J’ai découvert cette passion qui pimente le sexe. J’ai actuellement deux dogslaves dont je m’occupe: deux mecs de 22-23 ans que je dresse avec patience et conviction. Ils progressent de jour en jour et j’en suis très fier. Je ne fantasme pas sur une soumission à temps plein et mes dogs aux pieds 24h sur 24. Non! Ce qui me branche – nous, devrais-je dire! – ce sont des plans ponctuels et bien menés. Si mes deux dogs me donnent entière satisfaction, comme beaucoup de gays, j’aime aller voir ailleurs et rencontrer d’autres mecs qui partagent mes goûts. Ça ne manque pas! De temps en temps, branché sur des sites d’annonces, je fais des rencontres très intéressantes et je ne dédaigne donc pas de petits suppléments - même lorsqu’il ne s’agit pas de dressage à proprement parler mais plutôt de «jeux». Le mois passé, je suis entré en contact avec «Rex», un dog du 15ème arrondissement. Après une assez longue conversation sur un chat, je l’ai trouvé intéressant et lui ai proposé un plan directement. Il était partant... très chaud d’ailleurs.


Minuit. La porte du rez-de-chaussée grince. Il est entré. Je lui avais donné l’ordre de se mettre en tenue dans le hall (nu, cockring et collier). C’est tout. Le laisser mijoter cinq minutes. Je savais évidemment que cette nuit-là il était peu probable qu’un des locataires de l’immeuble traverse le hall. Je l'ai appelé du troisième et lui ai donné l’ordre de prendre les escaliers. Quatre étages à gravir dans sa tenue de lope.


La porte était entrebâillée lorsque le dog est arrivé. Il est entré à quatre pattes, poussant de sa truffe un sac rempli d’accessoires que j’avais exigés. Dans mon living, le cul bien cambré, il a attendu. Je suis arrivé et le dog ne voyait que mes bottes. La queue du dog était raide comme un bâton. J’en ai fait deux fois le tour et j’ai inspecté ce qu’il m’offrait. Beau corps bien sec et entretenu, belle allure et une attitude soumise. Ce dog avait de l’expérience, c’est certain. La queue raide, pourtant, ne me plaisait pas et j’ai donné un coup de botte dessus... Il a gémi mais ne s’est pas plaint. Il assurait. De son sexe tendu coulait du précum. J’ai ouvert son sac et j’ai sorti tous les jouets qu’il m’apportait. J’étais assez content du matos qu’il proposait et j’ai flashé sur deux énormes godes réalistiques dont l’un était la bite de Stryker. J’ai commencé par lui caresser la croupe, les reins, le dos et j’ai soupesé ses couilles, sa bite. Un frisson a parcouru son corps.


— Je vais te travailler le cul avec ce gode! lui ai-je dit. Avant, tu vas bien le lécher pour le lubrifier. Tu n’auras droit à aucun autre lubrifiant. À toi de t’activer...


Il a saisi le gode entre ses deux pattes avant et s’est mis à l’ouvrage avec sa langue. Je me suis assis pour le regarder faire. En trois minutes, il était parvenu à le lubrifier du haut en bas et l’engin était dégoulinant de sa salive.


— Tu vas te l’enfoncer toi même bien à fond! Les grosses couilles doivent toucher tes fesses.


À nouveau, la tête basse et sans hésiter, il l'a enfoncé très vite au plus profond de son cul, gémissant comme un chien en rut. Ses petits cris – presque des jappements de chiot – étaient très excitants. J’ai vu le gode entrer, coulisser vers sa destination finale. Ça n’a pas été tout seul car le gode ne devait pas mesurer loin de 28 centimètres. J’observais sa ténacité avec bonheur et satisfaction. Je bandais sous ma tenue de master.


— Maintenant, marche à travers la pièce sans laisser échapper le gode.


Il s’est déplacé de six au sept mètres – je voyais la base du gode s’agiter à l’extérieur de son trou bien ouvert - et puis il a laissé échapper le dildo dans un plop excitant. Je l’ai réprimandé pour cette négligence et ai un peu baffé sa petite gueule de dog.


— Alors... on ne sait pas écouter les ordres? Quand je dis quelque chose, on l’écoute... Ce gode, c’est dans le trou du cul de mon chien que je le veux... Bien au fond...


En bon dog, il n’a rien dit... juste gémit. Je serrais son collier très fort, réduisant sa mobilité au maximum. Il attendait une autre punition mais j’avais envie d’être clément et patient. Le plus souvent, à quatre pattes, tête baissée, il ne m’avait pas laissé le loisir de découvrir sa gueule. J’ai soulevé son menton pour enfin la découvrir. Une gueule de vrai beau mec, la trentaine. Tout ce que j’adore... Un régal! Je bandais très fort.


— Montre-moi tes autres joujoux, chienne!


Il a cherché dans le sac avec sa bouche et a sorti, très fier, un autre dildo noir et énorme.


— Tu vas l’entrer dans ta fente déjà bien ouverte. Cette fois, tu n’as plus droit au lubrifiant! Vas-y!


Il a dû recommencer le même cirque: enfoncer jusqu’au bout (celui-là n’avait pas de couilles) et marcher sans le perdre. Il s’est concentré au maximum, serrant les muscles de son petit cul et à réussi l’exploit de tourner trois fois autour du living sans le laisser échapper. J’étais content et je lui ai flatté l’échine et la croupe. Il a gémi en ondulant du cul. Il l'a encore tenu pendant un long moment alors que je lui plaçais des pinces aux tétons. J’ai remarqué qu’il jouissait légèrement: de petites gouttes de sperme s’échappaient en filet de sa bite d’animal désobéissant. Je suis alors passé à la vitesse supérieure.


— Sale bête! ai-je crié. Vilaine chienne! Tu ne sais pas qu’un bon dog ne peut pas jouir sur la moquette... surtout sans permission.


Je le baffais, l’injuriais et le menaçais des pires outrages. Il gardait la tête basse. J'ai continué à le traiter comme une saloperie de chienne en chaleur toute la première partie de la nuit. Il n’a jamais morflé. Je voyais bien qu’il lorgnait la bosse derrière ma braguette. Il passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres.


— Inutile d’y penser! Tu ne suceras pas la queue du Maître... Tu ne le mérites pas! Demain peut-être...


Vers trois heures, je lui ai fourré un dogtail (une fausse queue) achetée sur catalogue, l’ai mis en laisse et l’ai descendu dans la cave. Quatre étages qu’il a dû descendre à quatre pattes jusqu’au sous-sol où j’ai installé une cage. C’est là qu’il a passé le reste de la nuit. Nous nous étions préalablement mis d’accord sur la durée de ce premier plan. Il était libre jusqu’à midi. Il est entré sans difficulté dans la cage et s’est mis en position d’attente. Il a gémi d’aise. Je lui ai rempli une écuelle d’eau fraîche, j’ai dit qu’il devait dormir et j’ai éteint. Il a encore gémi.


Je me suis couché en ayant soin de régler mon réveil sur sept heures. Ça me laisserait un bon quart d’heure pour le remonter (par l’ascenseur cette fois) en évitant l’affluence des couloirs de l’immeuble. Lorsque j’ai ouvert la porte de la cave, il s’est mis à geindre et à agiter son postérieur de joie. Sa queue rebondissait allègrement sur ses fesses. Je l’ai sorti de sa cage et lui ai fait faire son besoin sur la bonde de la cave. Il a levé la patte et fait pipi.


— Bon chien... t’es un bon toutou...


Il bandouillait de satisfaction. Il était prêt pour une journée de «jeux». À sept heures vingt, il était de retour dans mon appart. Je l’ai installé à mes pieds pendant que je prenais mon petit déjeuner. Le dog avait l’air reposé et je l’ai récompensé en lui permettant de me lécher les pieds. Il était très doué et il s’est enhardi à monter jusqu’à ma queue pour la sucer. J’étais décidé à le laisser faire un peu puis à le réprimander car il n’en avait pas reçu l’ordre. Je me suis levé et l’ai tiré avec sa laisse jusqu’au living où j'ai dû lui donner une fessée avec mes mains. Il fallait lui rappeler la discipline, le respect des ordres du Maître qu’il ne faut pas surpasser.


Dans la salle de bains, j’ai voulu faire sa toilette et il a d’abord pris ma pisse. Je lui ai expliqué que ce serait sa récompense chaque fois qu’il serait un bon chien. À quatre pattes dans la baignoire, il a apprécié que je lui pisse partout. Je n’ai pas trouvé à redire qu’il ose lever la tête pour ouvrir la bouche et recevoir mon offrande. Après une bonne douche et un rasage de son trou, il est revenu se sécher sur la terrasse arrière. Grâce à plusieurs plantes et un paravent de bambou, il pouvait se mettre à l’abri des regards.


– Allez, viens ici, on va reprendre nos petits jeux.


Vers onze heures, le chien a pris les deux dildos comme la nuit précédente. J’ai regardé un bon film en DVD pendant qu’il me suçait. Très habile pour cela, il a varié ses mouvements de langue et m’a tiré le jus en douceur. Il devait avoir beaucoup de savoir-faire et d’expérience car il a tenu tout le film. Sur le générique, j’ai lâché mon sperme sur sa gueule extatique. De grands filets blanchâtres lui sillonnaient le nez, les yeux, le menton et les joues.


Il agitait le cul de satisfaction et était capable d’être très affectueux. J’adorais voir cette fausse queue bouger au rythme de ses mouvements de cul. Plusieurs fois, il a frotté sa tête contre mon bas-ventre pour sentir ma virilité bien dure. C’était lui qui me mettait dans cet état et il voulait me le rappeler.


Ce jour-là, je recevais un de mes dogs réguliers et je me suis occupé des deux en même temps. J’aurais aimé les accoupler. J’ai donc téléphoné pour prendre un rendez-vous chez un ami vétérinaire qui partage mes goûts. Je voulais – comme mes autres dogs - le faire inspecter correctement, à la maison du vétérinaire. Ensuite, s’il était en bonne santé, je lui ferais saillir mes jeunes dogs...


Mon ami vétérinaire le trouva en très bonne santé et me proposa de le faire saillir par un de ses protégés, un berger malinois. J’ai accepté tout de suite. C’était superbe de le voir à quatre pattes avec le berger sur le dos. La longue et fine tige de l’animal rentra facilement et le lima durant près de quinze minutes. Mon dog gémissait et tortillait son cul bien fourré. Lorsque le chien jouit dans son cul, je ne pus moi-même me retenir de juter. Le berger resta encore fixé dans son cul cinq bonnes minutes puis il se retira laissant échapper le jus.

source: gai-eros.org

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
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