Pour vous servir...

Pour un soumis, les étapes du dressage visent dans les premiers temps à être dépossédé de lui même même afin d’en transférer la propriété au Maitre. Au premier rang de ce qui caractérise la personnalité de l’esclave git son désir. Certes le premier désir du soumis, comme tout un chacun, est son désir de vivre. Primordial et infiniment précieux comme pour chacun d’entre nous.

Vient ensuite les autres désirs plus ou moins conditionnés ou pré-conditionné par la culture, l’éducation et les expériences. Ces désirs servent généralement à permettre à l’être de satisfaire ses besoins plus ou moins réels selon le degré d’imprégnation de la société de consommation dont le discours normatif ne s’arrête jamais.

Un bon dressage éliminera ces désirs pour n'en retenir que les besoins. C'est l'unification du désir de servir et d’obéir à son désir de vivre. L’ensemble des désirs qui permettent au soumis de se maintenir en forme, beau et endurant sont reliés à son désir de servir, de vivre avec son maître. 

Une vraie pipe se termine par l'éjaculation en bouche, la bouche étant toujours en place sur le gland, la déglutition occasionnant le resserrement de tes lèvres sur l'ourlet, hummm... et quelques beaucoup plus legers et délicats coups de langue nettoyante sur le gland avant de décompresser en choyant buccalement et tout aussi subtilement les couilles au travers de leur scrotum chatouilleux....

Le soumis comprend tout de suite au doigt préparant l’étroit chemin de son anatomie qu’il va vivre son pire cauchemar: se faire enculer devant tout le monde. Dans l’intimité, il aurait adoré ça, mais là, présentement, la honte le submerge, son violeur ne le sait pas et s’il le savait n’en aurait que faire. Au contraire, pour « préserver » sa pudeur, il demande de l’aide, qu’on le force à cambrer les reins, qu’on lui écarte les fesses. Jamais au grand jamais, il n’aurait imaginé vivre un jour une telle avanie.

Au nom du S, du M, et de la sainte cravache, je serais soumis et offert à tout vos désir...Ainsi soit il.

Pour bien montrer qu'il y a un bâtard , mon Maître me fait pisser dehors à genoux dans le jardin et dans une allée où tous les mecs qui passent peuvent me mater. Il me fait aussi lécher ses pompes à 4 pattes... Plusieurs mecs se sont arrêtés et l'un d'eux, un vieux pervers, s'est arrêté et j'ai du le pompé sous le contrôle de mon Maître après qu'il lui ai dit que j'etais un bon tarba et qu'il pourrait me pisser dessus... Je me suis mis completement à poil, bien en vue, et le mec m'a arrosé de pisse, j'étais bien pisseux et à genoux dans une bonne mare de pisse...

Enfermez-moi dans une pièce.
Bandez-moi les yeux avec des cravates de cuir, noue-les bien, superpose-les jusqu’au noir total, que je ne voie plus aucun rai de lumière, ne laisse pas même d’espace pour les ombres (trop de fantômes qui ont trop de visages…).
Allez vous  cacher au milieu des autres dans une rue affolée de samedi après-midi, faîtes vous le plus neutre qui soit.
Je marcherai droit jusqu’à Toi, guidé par Ton parfum.

Le Shibari est aujourd'hui une spécialité érotique nippone, consistant à attacher des personnes avec art et raffinement.

Cette pratique remonte très loin dans les siècles passés. C'était au départ, une technique guerrière où les prisonniers étaient attachés de façon rituelle.

A chaque nature de crime était associé une technique particulière de faire les noeuds qui tenait compte également du rang social du prisonnier.

A l'époque, Tokugawa (XV et XVIème siècle), le Code Pénal prévoyait 4 types de "punition" à l'encontre des prisonniers, dont la suspension avec des cordes, baptisée Kinbaku, était la plus grave puisqu'elle pouvait aller jusqu'à la mort.

Pendant la période Edo (1603-1869), le "Hojojutsu", signifiant littéralement "l'art d'attacher avec de la corde", était considéré comme un art martial, dont les règles étaient:

- ne pas permettre au prisonnier de se glisser hors de ses liens,

- ne pas causer de séquelles physiques ou mentales,

- ne pas divulguer les techniques utilisées,

- faire en sorte que le résultat soit agréable à regarder.

C'est bien sûr le dernier point qui a permis de donner naissance à ce que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de Shibari.

LES CODES COULEURS EN BONDAGE ET SM

LES BANDANAS PORTES POCHE GAUCHE SONT POUR LES MASTERS ET DOMI ET A DROITE POUR LES SOUMIS

ORANGE / tout et quand tu veux à gauche comme à droite
GRIS / je bonde, je ligote - je me fais bonder, ligoter
NOIR / je suis sado - je suis maso
BLEU MARINE / j'encule - je me fais enculer
BLEU CLAIR / je me fais sucer - je suce
BLEU NUIT / je maltraite le paquet - je me fais torturer le paquet
DAMIER NOIR & BLANC / je pratique le safer sex à gauche comme à droite
JAUNE / je suis uro donneur - je suis uro receveur
JAUNE PALE / je crache en bouche - je cherche cracheur
MAGENTA / cherche lècheur d'aisselles - je lèche les aisselles
ROUGE / je fiste - je me fais fister
ROUGE ECARLATE / je fais double fiste - je me fais du double fiste
BORDEAUX / je suis circoncis -je cherche circoncis
ROSE CLAIR / je travaille le Q au gode - je me fais travailler le Q au gode
ROSE FONCE / je travaille les seins - je me fais travaillé les seins
ABRICOT / je cherche un "gros" passif - je cherche un " gros" actif
FUSCHIA / je donne fessées - je me fais fesser
VERT OLIVE OU TREILLIS / army officier ~domi - army recrue ~soumis
VERT PALE / je paie - je suis gigolo
BEIGE / je cherche un bouffe Q - je bouffe le Q
MARRON / scato donneur - scato receveur
VIOLET / cherche mec percés - je suis percé