réflexions

Mes limites sont mes envie. Pour moi mon challenge est de repousser les siennes.
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Sensation de l’intrusion d’une chair inconnue, mais exploratrice, fouillante dans ma partie offerte, mon cul gluant de besoin, trempé par la chaleur qui s’accroît… il s’engouffre sans effort, dans cet endroit sensible. Il joue de plaisir… et de ma position si excitante, confortable et pourtant inconfortable, gênante.
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Un Branding : Vient du mot anglais brand (marque) issu lui-même du mot teuton brinnan (brûler).

Signifie originellement le marquage au fer rouge De nos jours le branding signifie plus le pouvoir de la marque que le marquage au fer rouge au sens propre. Néanmoins, il y a un lien: il s'agit d'attacher la marque à un produit afin de le faire remarquer au sens de se détacher des autres produits.

L'esclavage utilisa abondamment le marquage au fer rouge. La marque était utilisée pour désigner le propriétaire de l'esclave. L'esclave pouvait avoir autant de marques que de propriétaires consécutifs. Cette pratique consistait à abaisser l'être humain au rang de bétail. Il devenait ainsi un objet pouvant être acheté, vendu et utilisé à toutes fins (travaux pénibles, serviteur de maison, ou même comme jouet).

Le branding est maintenant très prisé dans le monde BDSM. Dans les rapports D/s, le soumis accepte d'être marqué pour signifier son appartenance et son engagement envers son maître. Mais il ne faut pas oublier que le Maître, le dominant par ce geste, reconnait sa propre dévotion et attachement à son soumis.

Il ne faut pas croire qu'un branding est fait à la légère, il doit être murement réfléchis et bien préparé, car ce geste plus que le marquage en lui-même aura une répercussion pour toujours pour un soumis.

Dans le futur, les Maîtres n'acceptent que peu les soumis déjà marqués et l'on conçoit mal des soumis "poly-pyro-ferrées" comme ces colis multi-timbrés...
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Le marquage d'un esclave peut avoir deux buts.

On marque d'abord son soumis par commodité, pour le reconnaître dans les endroits où il est exposé. Quand il est entretenu, (au héné par exemple) le marquage permet de rappeler sans cesse au soumis son statut.

L'autre type de marquage est punitif : le soumis est utilisée comme une vulgaire écritoire, où l'on expose ses fautes pour l'humilier. Il ne s'agit plus d'une immatriculation.
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Tu seras un esclave qui ne vivra qu'à travers les plaisirs de ton maître, qu'importe les souffrances et douleurs que cela engendrera. Tu ne pensera plus qu'à travers lui et il sera le maître totale de ton corps mais aussi de ton âme.
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La sanction de la faute est indispensable car le soumis avait connaissance de son acte. La sanction de l’erreur est intéressante à mettre en œuvre car elle met le soumis dans une situation de permanente attention l’obligeant à anticiper sur ce qu’il peut ou pas faire. Cela le rend donc proactif dans sa soumission.
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Nul progrès ne peut se faire sans contraintes. Ces contraintes permettent d’avancer. Elles n’ont pas pour but de punir pour punir, mais de punir pour remettre l’objet soumis dans le droit chemin.
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J'aime quand Il me traite comme sa chose. Je suis son chien, sa petite pétasse,sa salope. Je ne suis bon que pour répondre à ses moindres désirs. Mon corps lui appartient. Mon seul plaisir est de lu faire plaisir. Sa satisfaction est mon seul but
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Des hommes comme moi, ressentant une aspiration profonde à la soumission, retenue, comme je l'étais, par les mirages de la vie. Insatisfaits, ayant un sentiment de manque dans leurs vies dorées, ou désirant seulement connaître aussi les frissons généreux de la soumission.
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Il est possible de fouetter, faisant fi de la cérébralité, de la compréhension, voire de l'intelligence, pour ne devenir que “brutal, sadique, ou pervers”.
On peut marquer un corps à l'aide d'un fouet, d'une cravache, parfois jusqu'au sang. Mais pour prouver quoi sur le fond? Que l'on est le plus fort, le meilleur, “que l'on sait punir”, apportant ainsi “la preuve” de qui est le Maître?
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L'humiliation n'a pas de sens pour l'esclave car celui ci doit s'exécuter sans état d'âme. S'il y a humiliation, c'est que le soumis n'est pas assez soumis, qu'il est dans une phase de dépassement de ses limites. C'est un des volets les plus intéressants dans une relation de domination. L'humiliation est une ouverture vers un autre monde, le monde intérieur du soumis. C'est ce qui donne le plus d'émotions à cette relation.
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Du collier et la laisse, ce couple forme à lui seul l'emblêmatique dualité de la relation domination/soumission.

Le collier est l'acceptation, la reconnaissance de la partie soumise qui est dans tout homme. Partie indispensable de la relation.

Mais la laisse est surtout le cordon ombilicale de toute relation domination soumission. La laisse peut prendre toute sorte de forme mais il est indispensable qu'une partie de cette laisse soit purement et simplement matériel. Il n'existe pas de relation D/S virtuelle. Elle est avant tout charnelle et la laisse le rappelle à tout instant

Cette laisse est ainsi le lien qui court entre les deux être dans une communion sexuelle et avant tout sensuelle. Par cette laisse, des marées de sentiments traversent les deux partenaires et ancrent leur relation dans une sur-animalité céleste
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Il n’est plus que l’esclave gay de cet obsédé sexuel qui ne peut jouir qu’en soumettant, qu’en avilissant ses partenaires. Sans ménagement il lui défoncera l’anus, et les gémissements de douleur ne feront que l’exciter d’autant plus…
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"J'ai déjà humilié un homme de la sorte, pas pendant 7 ans, c'est sure, mais un rebelle qui me résistait, oui, je l'ai épuisé jusqu'a temps qu'il m'obeisse vraiment, pas parce qu'il le voulait mais parce que je le voulait...c'est une nuance importante dans la relation sm , enfin pour moi tout au moins, le moment ou tu sens que tu prends vraiment le pouvoir sur celui que tu domines et, que tu vas pouvoir progresser et le faire progresser lui aussi." 
 
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Etre un Ponyslave est une pratique de la soumission L'esclave doit prendre le rôle d'un animal inférieur La charge sexuelle est supérieur à l'utilisation des organes du plaisir. Le plus important est la soumission au Jockey. Dans cette relation poney-Jockey, les rôles doivent être bien définies, la rupture doit être fait grâce à la stratégie de récompenses et de punitions.

Le poney doit manger de l'herbe, paître dans la nature, transporter le matériel du Jockey, être monté à 2 et 4 pattes, et être capable de tirer une voiture ou un sulky.
Le Jockey doit traiter son poney comme il traiterait une bête.
Par pourvouservir - Publié dans : réflexions - Communauté : domination
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