De passage à Paris pour la première fois, j’avais entendu parler des
backrooms Parisien. Ma curiosité était trop forte pour ne pas y mettre les pieds. Vivant à Dijon et n’ayant jamais bougé de ma région, sauf une fois pour aller à Metz pour du boulot, je n’avais
donc jamais vu un backroom Parisien.
On m’en parlait souvent, alors j’y ai été et voici ce que j’y ai fait ce soir
là.
Je tournais en rond dans un backroom Parisien, je marchais en matant les mecs
qui me lorgnaient des yeux. J’étais bien beurré, j’avais bu plusieurs consommations au bar.
Mon Poppers « Jungle Juice » dans la poche, je me dirige vers une
pièce noire. A peine rentrée que je sentais des mains me tripoter la bite, les fesses… De suite, mon pantalon se retrouvait déboutonné et mon pantalon était baissé jusqu’aux
chevilles.
Je baladais mes mains un peu partout, je touchais les queues qui se
présentaient autour de moi, je tripotais les teubs… Il y en avait des petites, des moyennes… Jusqu’au moment où je tombe sur une bite hyper longue et pas trop épaisse mais pas fine non
plus.
Je me suis mis sur les genoux et j’ai rentré la bite du mec dans ma bouche,
je ne voyais pas son visage, je ne voyais rien autour de moi, c’était le noir total. J’ai commencé à faire un va et vient avec ma bouche sur cette bite, je la suçais tout en tournant ma langue
autour de son gland et je jouais avec son long prépuce.
Le mec me mettait une bouteille de Poppers sous les narines pendant que je
lui suçais la teub. J’ai sorti mon Poppers « Jungle Juice » car je préfère le Poppers « Jungle Juice » et j’ai reniflé cette bonne odeur de Poppers « Jungle Juice »
et j’ai senti l’effet du Poppers me monter à la tête lentement mais sûrement, car après avoir rebouché ma bouteille de Poppers « Jungle Juice », j’ai senti une excitation monter en
moi.
La bite du mec ne mesurait pas moins de 25 Cm voir 28 Cm. Comparé à moi, ma
queue mesure que 16 CM. Une grosse bite qui rentrait parfaitement dans ma bouche, la taille de sa queue était faite pour mon gosier. Le keum était mince et avait le torse imberbe, les couilles
rasées et très peu de poil sur le pubis. Les couilles étaient bien pendantes et lourdes de sperme…
Petit à petit, au fur et à mesure que je pompais sa longue queue, je rentrais
un peu plus de Cm de sa bite dans ma bouche à chaque va et vient. J’étais bien bourré et sous Poppers…
Je pouvais sentir de temps en temps la mouille qui suintait de son gland. Le
mec mouillait pas mal et je sentais le goût de sa mouille qui disparaissait quand j’avalais ma salive et ré-apparaissait peu de temps après.
Dès que le gland de la longue et grosse bite du mec avait dépassé ma glotte,
j’ai senti ses mains de chaque côté de ma tête, au niveau de mes oreilles. Le mec appuyait ma tête contre lui jusqu’à rentrer sa bite en entier dans ma bouche. Le gars pilotait lui-même les vas
et viens, il me baisait la bouche en fond de gorge à grandes cadences. J’avais de rare haut le cœur, sa bite était au bon diamètre pour ma gorge… La teub du mec rentrait comme une lettre à la
poste. Ma bouche était devenue en moins de deux un trou pour ce mec inconnu, il me pilonnait la tronche lentement sur toute la longueur de sa bite jusqu’au fond de ma gorge. Il faisait pivoter ma
tête de droite à gauche tout en me limant le fond de ma gorge, les gestes du mec étaient lents mais réguliers.
De temps en temps je re-sniffais un coup de Poppers et je remettais aussitôt
ma bouche à dispo de ce mec que je ne voyais pas… Je me laissais faire, j’étais dans un très bon trip. Je me masturbais doucement la bite en frottant légèrement le bout de mon gland mouillé par
l’excitation et je faisais gaffe de ne pas juter trop vite car je kiffais trop être l’objet sexuel de ce mec…
Je tenais dans l’une de mes mains ses grosses couilles douces et pleines, de
l’autre main, je me touchais la queue… Le mec n’arrêtait pas de me mettre sa bouteille de Poppers sous le nez et je reniflais à chaque fois, car ce mec le voulait et que cela le faisait kiffer.
Sa bite me plaisais beaucoup car elle était de taille vraiment géniale et en harmonie avec ma bouche de pompeur que je suis.
J’ai 24 ans et c’est la plus belle bite que je n'ai jamais vue et pourtant,
j’en ai pompé pas mal des bites… J’ai commencé à sucer des queues tout jeune, j’avais à peine 15 ans quand j’ai sucé une bite pour la première fois.
A un moment, tout en continuant à me baiser lentement la bouche sur toute la
longueur de sa bite, j’ai commencé à sentir dans ma bouche, un peu plus de liquide que sa mouille…
C’était presque rien, mais ce liquide n’avait presque pas de goût, c’était
chaud, plus chaud que le sperme et pas du tout visqueux comme peut l’être le foutre. J’ai avalé sur le coup, car pris par l’excitation et sous Poppers, je ne me suis pas posé de
question.
Je n’ai rien dis et le mec continuait à me pilonner lentement la bouche, son
gland était au fond de ma gorge à chaque va et vient. Sa bouteille de Poppers était continuellement sous mon nez, j’étais bien dosé au Poppers et par les Whiskys avalés une demi-heure
avant.
A peine 30 secondes plus tard, je ressentais ce même liquide dans ma bouche,
j’ai su qu’il me lâchait des jets de pisse dans ma bouche tout en me baisant la tronche… J’ai encore avalé…
Je n’avais jamais bu la pisse de quelqu’un d’autre avant lui. Les jets de
pisse qu’il me lâchait dans la bouche étaient si petits que je pouvais avaler, cela me donnais l’impression qu’il jutait dans ma bouche toutes les 30 secondes, c’était trop
excitant…
Je ne suis pas le mec qui avale le jus et la pisse de mes partenaires, c’est
vraiment la première fois que je faisais cela… Je me laissais emporter par l’excitation et les effets du Poppers…
Le mec voyant que j’avalais sa pisse sans bronché m’a lâché un jet de pisse
un peu plus volumineux que les premiers. Toutes les 30 secondes, je sentais la pisse couler et j’avalais tout en continuant à le sucer. Je déglutissais sa bite quand elle passait dans ma gorge et
quand la bite ressortait, c’était le moment où j’avalais sa pisse.
Ces jets d’urine qu’il me faisait boire était des petits jets de pisse en
petites quantités…
A un moment, il s’est arrêté de me baiser la bouche, il est resté fixe, sans
bouger tout en gardant sa queue au fond de ma gorge, sa bite en entier dans ma bouche. Ses mains tenaient ma tête contre son ventre, il appuyait fort ma tête contre lui pour m’empêcher de retirer
sa bite de ma bouche. Je sentais presque rien, mais je savais qu’il était en train de me pisser au fond de la gorge.
Je bandais si fort que j’étais à deux doigts de jouir, mais je lâchais ma
queue de temps en temps pour ne pas juter et j’attendais que le mec reprenne le va et vient dans ma bouche. Je n’avais pas besoin de déglutir car son gland était si loin dans ma gorge, que la
pisse du mec tombait directement dans mon estomac.
Il reprit les mouvements dans ma bouche, j’étais grave excité, j’étais devenu
une lope en moins de 10 minutes et le mec en profitait grave et se faisait vraiment plaisir. Je sentais vraiment que c’était son tripe et qu’il adorait ça… J’adore faire plaisir aux mecs, surtout
quand je prends du Poppers… Mais quand même pas jusque là… Mais bon, je n’avais soudainement plus aucun tabous. J’étais devenu sa chose, son jouet, son urinoir…
Le mec mouillait tellement du gland que j’avais la salive de plus en plus
gluante. J’ai voulu cracher par terre, mais dès le premier crachat sur le sol, le mec m’a dit :
« Non, ne crache pas, avales tout ce qui sort de mon
gland »
Je n’ai rien répondu et j’ai remis la bite du keum dans ma bouche. Il me
laissait de temps en temps faire les mouvements sur sa teub. Je suçais sa bite sur toute sa longueur et je jouais aussi avec son gland et son long prépuce. Il lâchait aussi des jets d’urine quand
je lui suçais le bout du gland. Je serrais mes lèvres bien autour de sa queue pour pas en avoir sur le pantalon, ainsi que sur mon tee-shirt.
Le gars m’a retenu la tête encore une fois entre ses mains pour m’empêcher de
bouger, il a rentré la moitié de sa queue dans ma bouche, j’ai su de suite ce qu’il comptait faire, alors, j’ai serré mes lèvres sur sa bite et j’ai immédiatement senti le jet d’urine taper sur
ma langue. J’ai avalé une gorgé, mais comme il se lâchait complètement dans ma bouche, j’ai avalé progressivement sa pisse par plusieurs gorgés…
Le keum avait la vessie très pleine, j’avais le ventre rempli, comme après
avoir bu une bouteille d’eau en entier.
Une fois que le mec ait fini de se vider la vessie dans ma bouche, j’ai
repris mon activité en pompant sa queue tout en serrant et en malaxant ses couilles dans mes mains, je ne pouvais plus me toucher la queue car j’étais vraiment à deux doigts de juter sans me
toucher la bite tellement j’étais trop excité…
Je kiffais grave sa queue, elle était douce, son gland était si doux et si
bon, la mouille qui sortait de sa teub quasiment en continue était si sucré que ma salive était vraiment gluante, j’avais presque du mal à avaler… Mais j’avalais sans broncher tout ce qui sortait
de sa queue comme il me l’avait demandé… J’étais complètement soumis à ce mec que je n’ai pas encore vu et dont je ne connais strictement rien de lui… Je sais juste qu’il est mince, imberbe et
bien teubé, mais c’est tout…
Je suçais sa bite de toute sa longueur et en tournant ma langue sur le gland
quand sa queue était quasiment hors de ma bouche. Il me frottait les cheveux pendant que je lui astiquais le chibre. Je lui faisais quelques gorges profondes de temps en temps, j’adorais sentir
son gland défoncer ma glotte en fond de gorge. J’aspirais doucement le bout de son gland pour extraire le maximum de mouille et une fois la bouche rempli, j’avalais le mélange de sa mouille avec
ma salive.
Je vénérais sa bite, je la pompais avec amour, je me délectais de la mouille
qui sortait de son gland. Une fois la bouche pleine, j’avalais ma salive mélangée à la semence du mec. Il me tirait les cheveux et se cramponnait à mes oreilles en tirant dessus pour faire aller
ma tête d’avant en arrière pour mimer les mouvements de va et vient.
D’autres mecs autour de nous dans le noir, me touchaient la bite, j’étais
obligé de les repousser car la pression de ma teub était trop forte, je pouvais juter d’un moment à l’autre et je ne voulais pas jouir avant la queue que je suçais. Je ne voulais pas que cela
s’arrête alors je n’astiquais pas trop vite la bite du mec, j’y allais doucement, je lui faisais du bien, mais je ne voulais pas qu’il jute de suite, je voulais faire durer le
plaisir…
Toujours en continuant à me tenir par les oreilles, le mec fait rentrer sa
queue en entier jusqu’au fond de ma gorge et la ressort de ma bouche en entier et la replonge jusqu’au fond de ma gorge et tout ça, lentement et en douceur.
A genoux, je redresse ma tête vers le haut au maximum pour laisser rentrer
plus facilement la queue du mec sur son entier dans ma bouche. Le keum pénètre ma bouche comme s’il baisait un cul, ma gorge est l’orifice de ses plaisirs les plus vicieux.
Le gars accélère progressivement ses mouvements dans ma bouche. Son gland
défonce la glotte de ma gorge et ressort de ma bouche, sa mouille sort peu à peu et augmente aux accélérations du mec. J’ai le gosier tellement tendu que le filet de mouille coule en continu au
fond de ma gorge quand sa queue s’y plonge en entier dans mon gosier.
Tout en continuant ses vas et viens dans son orifice d’un soir, il sait mit à
diminuer les mouvements de pine dans ma bouche, il baisait ma tronche un peu comme un lapin mais beaucoup moins rapidement. Il pénétrait lentement ma gorge en faisant des courts vas et viens au
fond de ma bouche. Son gland ne quittait plus le fond de ma gorge, je me soumettais au maximum à lui et je relevais ma tête comme il fallait pour que la bite pénètre bien le fond de mon gosier
sans me faire vomir.
Je laissais aller ma tête aux rythmes des mouvements du mec, je me laissais
manier comme un pantin et me donnais entièrement à lui. Il prenait son pied dans ma bouche en douceur même si c’était lui le dominant dans ce plan cul.
J’ai sucé ce mec au moins pendant 45 min, voir presque 1 heure… Ma gorge
s’était habituée au coups de pine de ce keum, sa teub rentrait et sortait vraiment très facilement et je n’ai pas eu des hauts le cœur.
J’ai été surpris, car les mouvements de vas et viens du mec dans ma gorge
sont restés régulier et j’ai senti une grosse pression de foutre au fond de ma gorge, le gars continuait toujours sur un rythme régulier à me baiser la bouche, mais laissait gicler son jus sur ma
langue et me baisait la bouche en même temps… J’avalais son sperme à chaque fois qu’un jet de son jus sortait de sa queue…
Je ne pensais pas qu’il allait juter maintenant, car d’habitude, on a plutôt
tendance à accélérer les vas et viens quand on sent le jus monter, mais là, le mec est resté régulier et je n’ai pas eu le temps de réfléchir, je suis resté dans le trip avec lui et j’ai
entièrement avaler tout le contenu de ce que pouvait sortir sa queue, le mec à grave pris son pied et moi j’ai grave kiffé !
Ma queue à lâchée son jus sans que je n’ai besoin de me toucher la bite. J’ai
craché plusieurs jets qui ont certainement du atterrir sur pantalon du mec que je venais de vider les couilles et à qui j’avais servi d’urinoir. Il a dû se retenir de pisser un maximum de temps
avant notre rencontre, il ne devait plus tenir, sa vessie était trop pleine, car ce mec n’a pas arrêté de pisser. Je n’ai jamais vu ça… Une vraie citerne de plusieurs
litres.
J’ai ensuite nettoyé sa queue avec ma langue pour retirer entièrement le jus
qu’il y avait encore dessus, avec ce que je venais de faire, je n’étais plus à ça près…
Son sperme avait un goût plutôt sucré et non amer comme j’ai déjà pu le
constater une fois ou deux, en gouttant celui des potes quand j’étais ados…
Dès que la bite du mec était propre, je me suis relevé, j’avais mal au
genoux…
Pendant que l’on se rhabillait dans le noir, je voyais que l’ombre de son
visage, il avait les cheveux court, c’est tout ce que j’en ai vu. C’était le noir quasi total dans ce backroom Parisien.
Il m’a demandé :
« C’est quoi ton prénom ? »
« Hervé, et toi ? »
Je ne me souvient plus exactement du prénom du mec, il s’appelait
« Christophe » ou « Christian » je ne sais plus. En tout cas, ça commence par « Christ » quelque chose…
Il m’a demandé quelques secondes plus tard avant de sortir du backroom
Parisien :
« T’as quel âge P’tite lope ? »
Surpris par mon nouveau surnom, j’ai hésité avant de lui
répondre :
« Heuuu… 24 ans… Et toi ? »
« 48, allez bye bogoss ! »
Je me suis demandé comment il pouvait juger si je suis bogoss ou pas, on ne
voyait rien ! En tout cas, je ne sais pas à quoi il ressemble, mais il a une queue magnifique.
Depuis, je n’ai connu aucune expérience comme celle-là. Je n’ai plus joué
avec la pisse ou le jus… Mais j’en garde un super souvenir…
Derniers Commentaires