histoire du net

Depuis combien de temps l’avait-il mis dans cette position ? Pouvait-il être plus à sa merci qu’ainsi, attaché, les yeux bandés, nu, écartelé? Pourquoi ne revenait-il pas ? Et quelle avait été cette allusion à des inconnus qui aimaient se repaître de soumis dépravés?


Mais quelle était donc cette chaleur qui envahissait son ventre? Sentait-il vraiment des gouttes lentement couler le long de ses cuisses?


Comment était-il vraiment arrivé à ce stade de la débauche? Grace à son Maitre, à cause de de son maître, ou à cause de lui-même?


Voulait-il vraiment que des inconnus, des hommes au sexe dressé, entrent dans cette pièce et le voient ainsi, totalement indécent, à leur merci, mais aussi qu’ils le voient pantelante, le sexe dégoulinant?
Voulait-il vraiment que ces images qui tournaient dans sa tête, de plus en plus vite, de plus en plus fort, images brouillonnes de mains sur son corps, de cheveux tirés, de doigts dans sa bouche, de gifles sur son corps, sur son visage, de fouet sur son dos, ses fesses, son ventre, ses pectoraux, ses tétons, de pénétrations multiples, d’orifices investis, de corps secoué par l’assaut de membres turgescents, deviennent réalité?
Et son Maître entra, et il fit entrer des hommes. Certains semblaient à leur aise et souriaient, d’autres étaient intimidés par la situation. Le Maître s’approcha de sa chose, le saisit par un téton avec une certaine brusquerie, il fit quelques remarques sur son corps, sur certaines parties qu’il aimait particulièrement, sur d’autres qui étaient aptes à donner du plaisir aux hommes. Tout en parlant, il le tenait toujours par ce téton, un peu comme il l’aurait tenu par une laisse, et il secouait et faisait lentement balancer son corps en un mouvement qui suivait le rythme de sa voix.


Et cela fit sourire certains, et en choqua d’autres, on pouvait le voir à leurs yeux agrandis. Puis il le gifla violemment en empoignant en même temps ses couilles pour empêcher son corps de tourbillonner pendant qu’il se remettait à le gifler. Puis il lâcha le petit sac a foutre de son soumis pour le laisser tourner d’un côté ou de l’autre au gré de ses claques qui résonnaient dans la salle.


Il demanda alors aux hommes de s’approcher et de profiter de ce corps qu’il leur offrait pour son plaisir à lui, pour le leur, et pour celui du batard aussi, affirmait-il. Des mains s’emparèrent de son corps, de plus en plus de mains, investissant chaque centimètre carré de peau.


Et l’on pouvait dire que, littéralement, son corps ne lui appartenait plus.


Puis il fut fouetté, surtout sur le dos et les fesses qui se couvrirent de marques rouges de plus en plus nombreuses, alors qu’il poussait de délicieux gémissements mêlés d’un soupir, presque à chaque coup. La tête se rejetait alors en arrière pour permettre au corps de se tendre, afin qu’il aide à la diffusion de la douleur.


Cela lui donnait une pose magnifique, absolument émouvante, expression de la détresse d’un corps maltraité, expression aussi d’une sensualité animale à l’état le plus pur.


Et les mains reprirent possession de ce corps maintenant rougi, elles investirent les chairs et s’invitèrent d’elles-mêmes dans les places les plus intimes.


Puis on joua sur les poulies et on descendit un peu le mécanisme afin d’ajuster la position du soumis. Les hommes se succédèrent en lui. Une bouche et un cul accueillant recevait tous les honneurs de ces hommes dont le seul besoin était de jouir sur lui. Son corps fut secoué, de coups de butoir, mais aussi de spasmes provenant d’une source encore plus profonde en lui, d’un endroit qu’il ne connaissait pas jusqu’alors mais qui irradiait de lames indéfinissables, d’ondes de plaisir, puisqu’il fallait bien les appeler comme cela.


A la fin, les hommes se retirèrent un à un, seul le Maître resta avec un ami fidèle qui délia les poignets et les chevilles du soumis alors que son Maître l’avait arrimé à lui en la serrant contre son corps avec fermeté mais aussi avec une infinie tendresse. Il lui glissait tout doucement des mots et des phrases dans ses oreilles, et il l’arrimait à son cœur aussi fermement qu’il le faisait à son corps. Il se sentit flotter dans l’espace, esprit à peine accroché à son corps rassasié, serpentant comme un dragon merveilleux et translucide dans d’étranges limbes au-delà du réel, au-delà du paradis ou de l’enfer...


Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Quelle bonne idée d'avoir loué ce petit chalet tout près de ce magnifique lac dans les bois! Voici le récit palpitant d'une fin de semaine inoubliable dans les Laurentides. Maîtresse Nathalie, une bonne amie à moi, m'avait cordialement invitée à venir passer le week-end avec elle afin de se relaxer un peu de la vie montréalaise. Elle avait aussi demandée à une bonne connaissance à moi, Lady Wanda, de se joindre à nous.

Pour bien s'assurer de notre confort à tous, nous avions tous enmenés au moins un de nos esclave pour nous servir pendant ces petites vacances.


Le vendredi soir, nous sommes donc arrivés sur les lieux. Nathalie était bien contente de notre présence. De longues accolades s'ensuivirent entremêlés de rires et de baisers.


Nos esclaves respectifs s'étaient mis à la tâche de nous préparer un festin. Ils eurent la permission d'en faire plus que nécessaire pour qu'ils puissent avoir assez de nos restes pour se nourrir. Nous avions fait coucher ces derniers sur le sol près de nos lits au cas où nous pourrions avoir

besoin d'eux. La nuit fut paisible et reposante à souhait.
Le lendemain, après le petit déjeûner, je pris une marche le long des bois pour remarquer dans un coin isolé une vieille cabane en bois. À ma grande surprise, j'y découvris trois magnifiques pousse-pousse de style oriental. Je fis part de ma découverte à Nathalie.


"Tiens, c'est vrai! Je n'avais plus aucun souvenir de ces vieilles reliques. Elles sont pourtant encore en bon état." me dit-elle.


Une idée surgit dans mon esprit. Pourquoi ne pas atteler nos esclaves et faire une course le long du sentier qui longe le lac? Ça pourrait être intéressant, non?


Je fis part de mon idée à Nathalie et à Lady Wanda. Toutes deux acceptèrent avec joie. Je savais que nous allions nous amuser.


De mon sac, je sortis mon fouet ainsi qu'un accoutrement qui servit d'attelage. Rien de bien élaboré mais cependant très efficace pour ce que j'aillais faire. Moins d'une heure après, nos esclaves étaient prêts et en place. Ils savaient déjà ce que nous attendions d'eux.


Nous avions ainsi pris place sur les pousse-pousses et, comme avec des chevaux de courses, nos esclaves se mirent en position de départ. Wanda était à gauche, Nathalie au centre et moi à droite.


Je savais d'avance que j'avais un avantage sur mes deux amies. En effet, mon esclave, leandro, un sud américain à peau foncée qui avait toujours rêver de servir un maître blanc, était en bonne condition physique. L'esclave de Nathalie, lui, était plutôt mince de taille mais elle les avait toujours préférée ainsi. Elle disait avoir plus de plaisir à cogner sur les côtes de ses esclaves quand il n'y avait pas de graisse autour. Celui de Lady Wanda était plutôt obèse. Je me demandais, malgré les coups de fouet qu'elle allait joyeusement lui administrer, si il allait même être capable de terminer la course.


Sans se soucier davantage de qui allait remporter l'épreuve, nous savions tous les trois que le plaisir de jouer était tout ce qui importait.


Au signal de départ, trois coups de fouet se firent entendrent. À ma grande surprise, c'est Nathalie qui pris les devants. Je la suivait de près et Lady Wanda se montra vindicative envers son chien qui n'avait pu me double au départ.


Le chemin était bien pratiquable pour nos sièges à roues. J'avais eu la bonne idée de faire porter des souliers de courses à mon esclave. Celui de Nathalie portait des bottes de construction pour ce protèger des éventuelles souches et pierres qui longeaient le sentier. Sachant par où passer pendant la course, je savais que c'était là une précaution qui n'était pas nécessaire. Le sort allait en décider.


Au premier tournant, Nathalie avait toujours l'avance sur moi et s'en réjouissait fortement. Cependant, je n'avais pas dit mon dernier mot. J'avais fait claquer mon fouet au dessus de la tête de mon esclave pour le motiver et je dû reconnaitre mon erreur. Au lieu de cela, je me suis mis à lui fouetter le dos, les fesses ainsi que les bras. Je fus heureux de constater que son rendement s'améliorait au fur et à mesure que je le menaçait du pire.


Au second tournant, je pris la chance de tenter de dépasser Nathalie mais elle avait prédit ma manoeuvre. Elle pu donc demeurer en première place. Ce n'était que partie remise.


Au troisième tournant, un gros rocher bloquait partiellement le chemin et en conduisant serré, je pu me tailler une place à coté de Nathalie. Son esclave, pris de panique en voyant le chemin se rétrécir devant lui, ralentit malgré les ordres de sa maîtresse. Voyant cela, leandro reçu un déluge de coups de ma part pour bien lui faire comprendre mes intentions de ne pas laisser passer pareille occasion. C'est ainsi que mon initiative me permis de prendre la tête du peloton. Il restait encore un quart de tour à faire mais Nathalie ne put me rattraper à temps. Les bottes de son esclave semblaient être trop lourdes pour lui et cela lui empêchait de prendre plus de vitesse. Encore quelques injures et coups de fouet sur leandro et je pu passer la ligne d'arrivée en premier. J'étais vainqueur!


Lady Wanda arriva 30 secondes plus tard avec son esclave qui s'écroula de tout son long après avoir franchi la ligne d'arrivée. Nathalie me félicita de ma victoire bien méritée et je fis de même pour elle qui m'avait offert une belle opposition. Je permis à leandro de se mettre à quatre pattes afin qu'il puisse reprendre son souffle. Le pauvre avait déjà assez souffert. Cependant, en gagnant la course, j'avais fait preuve d'une grande magnanimité. Je m'assis sur son dos et lui caressa la tête comme on fait à un bon chien. Il savait qu'il ne serait pas puni comme le serait ses frères de race inférieure. Nathalie n'y alla pas de main douce avec le sien. Lady Wanda permit à son esclave de se rafraîchir en lui attachant les chevilles ensemble et en le poussant tout nu dans l'eau glacée du lac. Le pauvre suppliait pour de l'aide mais cela permit à sa maîtresse de se venger un peu de sa piètre performance. Il la supplia hardemment de lui donner la permission de sortir du lac mais elle resta de marbre tout en se moquant de lui. Le spectacle était tout aussi amusant que touchant à voir. Il nous permit de rire tous ensemble.


Le soir même, après avoir enfermés nos esclaves dans la vieille cabane en bois, nous nous servirent un digestif bien mérité devant un bon feu de camp. Il était merveilleux de constater à quel point il faisait bon de vivre si loin dans la nature, loin du regard indiscret des voisins et des étrangers. Nous savions que jamais nous n'aurions pu faire cette course dans un parc en ville.


Je croyais bien que Nathalie avait digérée sa défaite mais quand elle me confia vouloir une revanche, je cru bon de lui faire plaisir en acceptant son offre. Lady Wanda se réjouit de cette proposition. Elle savait qu'elle n'avait pas une chance de l'emporter avec un tel lourdeau d'esclave à supporter mais que cela ne tienne! L'important était bien de participer,non? Sans que nos esclaves n'en furent informés, il était décidé qu'ils allaient courir de nouveau demain matin.

"Mais cette fois, c'est moi qui vais prendre la position de droite au départ!" me dit Nathalie avec un clin d'oeil coquin et amical.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Depuis que j'ai 15 ans, j'ai toujours adoré le sexe des hommes. En fait, je ne suis pas spécialement homosexuel mais je suis particulièrement vicieux et je suis obsédé par les verges et les couilles. Je ne peux pas dire que j'aime les hommes, non j'aime le sexe masculin, j'aime le voir, en repos ou en érection, le toucher, le caresser et par-dessus tout, le lécher et le sucer jusqu'à un extraire son nectar. Je suis un fanatique de la fellation, c'est pour moi comme une drogue, dès que j'en ai l'occasion, je n'hésite pas à tailler une pipe. De plus, je trouve le goût du sperme très agréable, il faudrait plutôt dire des goûts car aucun foutre n'a le même goût et le même aspect. Il y en a des extrêmement gras et épais, d'autres complètement liquides presque transparents, les saveurs vont du liquide doux et légèrement salé au fort goût âpre qu'on garde dans la bouche plusieurs heures. Je ne vais pas vous raconter toutes les pipes que j'ai taillées depuis l'âge de 15 ans, il y en a des dizaines de milliers, mais juste une aventure qui m'est arrivée alors que je n'avais pas encore 30 ans.

À cette époque je faisais de nombreuses rencontres par minitel, au minimum une par soirée et une dizaine le week-end. Sans être un canon, j'étais alors plutôt mignon et mon côté passif, soumis vicieux, plaisait aussi beaucoup, surtout aux hommes mariés de 45 ans et plus. C'était par ailleurs ce type d'homme que je préférais, je n'aimais pas les jeunes hommes et je privilégiais ces rencontres car ils avaient tendance à faire avec moi ce qu'ils ne pouvaient pas faire avec leurs femmes et, contrairement aux putes, j'étais gratuit. De plus, se taper "un pédé" les sortaient de la routine.

Mes rencontres étaient pour la plupart sans lendemain et je préférais ça à une relation plus ou moins suivie, je ne suis pas un sentimental.

C'était le cas de Daniel. Ce soir de juillet, je le voyais pour la vingtième fois environ, il venait régulièrement le jeudi soir car sa femme, infirmière, était de garde à l'hôpital. Il avait 52 ans et était très vicieux. Il aimait me faire prendre des poses obscènes pour se faire sucer ou me sauter. Il me traitait avec délectation de pute, salope et autre chienne. Il était très dominateur et c'est avec plaisir que je subissais ses humiliations diverses. Bref, ce soir il me dit:

— Ça te dirait d'être tout un week-end à la disposition de plusieurs hommes pour les sucer?

Sans hésiter, je lui dis:

— Bien sûr mais je ne connais pas d'endroit ou ça peut se faire.

— J'achète de temps en temps (je ne me souviens plus du nom de la revue) et il y a des annonces de mecs qui proposent de mettre à disposition leurs esclaves durant quelques heures, une journée ou plus. J'ai répondu deux fois et je ne l'ai pas regretté!

Nous décidons de passer cette annonce (j'ai encore le brouillon):

"Maître de 52 ans propose séance de fellations par son esclave de 28 ans durant un week-end complet, région parisienne. Préférence à des hommes de 45 ans et plus, race et physique indifférents, vicieux bienvenus, lieu à me proposer, premier week-end de septembre."

À cette date, sa femme doit partir en vacances une semaine avant lui.

L'annonce passe au début de la semaine suivante et dans les jours qui suivent, Daniel reçoit les premières lettres de réponses. Il me les montre, il y en a 15 pour l'instant, les correspondants donnent leurs numéros de téléphone pour être tenus au courant de la suite des opérations.

Je n'aurais jamais imaginé ça mais la revue était très spécialisée dans ce type de rencontres plus ou moins sado-masochistes, bien que ce n'était pas exactement ce que nous recherchions.

Daniel retient donc le premier week-end de septembre, il a reçu 55 réponses! Ça promet mais je ne veux pas reculer et je ne le veux pas, et ce malgré un certain risque quand même; 55 inconnus ce n'est pas rien.

Plusieurs correspondants ont proposé des endroits et nous décidons de choisir une grange aménagée dans les environs d'Etampes. Elle appartient à un candidat et d'après lui, elle est suffisamment isolée pour rassurer les autres hommes sur la discrétion de leurs visites.

Nous arrivons sur les lieux, samedi matin vers 10 heures. Notre hôte nous accueille, il est accompagné par deux hommes, tous ont la cinquantaine, plus ou moins bedonnante, ils me saluent sans insister mais sont chaleureux envers Daniel. C'est clair, et bien que ça soit "un jeu", je suis l'esclave et n'ai droit à aucune considération, cette "mise en scène" me va très bien. Ils nous accompagnent derrière la bâtisse, il y a là un hangar fermé par une lourde porte en bois. Dedans, je découvre un lit de camp, sur le sol est étendue une grande toile. Le type dit à Daniel:

— C'est ici que nous faisons toutes nos séances, c'est bien caché de la route.

Daniel me dit alors:

— Pour commencer, tu te déshabilles!

J'obéis et ils me regardent avec un sourire narquois et quelque peu dédaigneux. Quand ils découvrent mon petit sexe glabre, c'est tout juste s'ils n'éclatent pas de rire pour m'humilier. L'hôte propose un verre et ils rejoignent la maison me laisser nu au milieu du hangar.

Heureusement, il fait encore chaud en ce début septembre. Il a été convenu, mais il semble que la plupart sont des habitués de ce type de réunions, que chacun amènerait à boire et à manger.

Je découvrais alors ce milieu bizarre.

J'entends les pneus des voitures qui crissent sur le gravier, ça commence à arriver. J'ai quand même le coeur qui bat plus vite que d'habitude et me demande comment j'ai pu accepter un truc pareil! J'ai déjà sucé des types à la chaîne, la nuit dans les bois ou aires de repos d'autoroutes, mais il n'y avait rien d'organisé et ça n'a que rarement dépassé la dizaine! J'ignore comment ça va se passer, viendront-ils tous ou les uns après les autres?

Je ne sais pas quelle heure il est, Daniel arrive:

— Ça commencera à midi et demi. Tu es en forme?

Il me tend ma pitance, pain, jambon, une pomme et de la bière.

— Voilà comment ça va se passer: nous viendrons dans un premier temps par deux ou trois, histoire de t'échauffer, disons jusqu'à six ou sept heures et après dîner, c'est l'orgie! J'ai une demi-heure pour déjeuner.

À l'heure dite, deux hommes se présentent. Ils laissent la grande porte ouverte, ils sont à poil. Deux gaillards très velus, l'un des deux a une bite énorme, je la regarde pendre entre ses cuisses, elle se balance doucement au rythme de ses pas et elle dégage une impressionnante sensation de puissance et de virilité; l'autre est plus "normalement membré". Ils arrivent à ma hauteur, je me suis déjà agenouillé et je commence par caresser les deux sexes. Mes doigts s'engouffrent entre les cuisses et tripote doucement les couilles mais ils veulent aller droit au but et n'ont pas l'intention de faire traîner la séance. Il est vrai qu'ils ne sont pas les seuls et sans doute leur a-t-on dit de ne pas trop prendre leur temps. Un type enfonce son gland dans ma bouche, c'est le plus petit des deux. Je commence alors à le sucer, il bande vite et mes lèvres vont et viennent maintenant régulièrement sur sa peau.

Je continue de branler son voisin et la queue commence à durcir entre mes doigts. Elle devient alors un gigantesque mandrin de plus de 25 centimètres couronné par un superbe gland avec un bel ourlet; il ressemble à un champignon, presque noir et très brillant. Je fais, maintenant une belle gorge profonde, c'est ma spécialité, je doute pouvoir en faire une avec l'autre! Après avoir repris mon souffle, j'attaque le gros morceau. Le volumineux gland remplit aussitôt ma bouche. Maintenant je suce les deux bites l'une après l'autre et le premier jouit dans ma bouche, un foutre très chaud et très liquide se répand alors dans ma bouche. Je l'avale jusqu'à la dernière goutte et l'homme se retire, aussitôt remplacé par un type qui attendait dans la pièce depuis quelques instants.

Les heures passent sans que je n'arrête une seule seconde de sucer. Les bites se relaient parfaitement dans ma bouche et j'en vois de toutes sortes: des blanches et des noires, des grosses, des moyennes et même de plus petites que la mienne, des blondes, des noires, des rasées. C'est extraordinaire et je suis parfaitement heureux de n'être plus qu'un aspirateur de sperme.

Il doit être sept heures car Daniel arrive et me dit:

— On arrête un moment. Tu es très bien et ils apprécient terriblement tes prestations!

Il me tend un repas froid et il disparaît sans rien ajouter. J'entends le brouhaha qu'ils font en discutant et en riant. La nuit commence à tomber, je suis légèrement fatigué mais ça va bien. La bouche encore maculée de sperme, je commence à manger, des filaments de foutre sont encore glissés entre mes dents. Je n'en ai pas perdu une seule goutte, même quand les deux bites déchargeaient en même temps. Je n'ai pas compté combien de pipes j'ai réalisé mais je pense qu'en plus de six heures, j'ai fait le tour des participants. J'ai appris plus tard qu'en réalité, ils étaient 62 car par moment, ça ne durait guère plus de cinq minutes. Ils ne prenaient pas la peine de se retenir.

Ils arrivent par petits groupes en riant, certains ont un verre à la main ou une canette de bière, ils ont l'air d'avoir bien mangé et bien bu surtout...

C'est reparti mais maintenant ça va-et-vient dans ma bouche sans ménagement. En fait, c'est à peine si je suce, à peine ai-je commencé une fellation qu'on m'oblige à lâcher le morceau pour me décharger dans la bouche, j'avale et reprends ma bite sur une autre queue qui s'impose. Certains n'ont même pas envie d'attendre, ils déchargent leur purée sur mon visage, mes cheveux ou mes épaules.

Il fait nuit noire, le hangar est éclairé par des projecteurs puissants. Maintenant je suis dans un état second, j'ai l'impression d'être drogué. Je n'entends qu'un vague brouhaha et ne perçoit plus un mot. Je vois les hommes nus autour de moi, des queues plus ou moins dressées, je suis bousculé dans tous les sens tel un pantin, je sens le sperme couler sur mon visage. Par moment, je m'écroule tellement je suis bousculé. Vers la fin, je suis couché sur le dos et ils viennent se masturber au-dessus de ma bouche par deux ou par trois...

Je ne me suis pas aperçu quand je me suis endormi.

Il fait grand jour quand je me réveille. Je suis toujours couché sur le sol. Dans ma bouche pâteuse, comme si j'avais bu de l'alcool toute la nuit j'ai un goût terrible de vieux sperme séché. Je n'ai pas idée de la quantité de liquide que j'ai pu avaler depuis samedi midi, j'ai appris plus tard que la séance s'est terminée à 5 heures du matin; 15 heures environ... Daniel apparaît avec du café et du pain beurré, il sourit:

— Sacrée nuit! Ils n'en reviennent pas, jamais ils n'ont connu un vorace comme toi. Tu dois avoir l'estomac rempli de sperme. Pour ma part, j'y suis revenu six fois et je ne suis pas un champion! Il est 11 heures, on remet ça à midi jusqu'à minuit environ, avec une petite pause, et après c'est le départ!

L'après-midi et le soir, c'est encore une nouvelle organisation. Maintenant je les suce l'un après l'autre, il fait très beau et c'est dans le jardin que nous nous installons. Il est parfaitement protégé des regards indiscrets. C'est donc plus calme et plus reposant. Un poste de télévision a été installé et tout en le regardant ou en lisant un journal ou un livre, ils attendent ma visite.

Maintenant au moins, je peux faire une pipe comme j'aime les faire, bien avaler progressivement la queue de plus en plus profond, quelques gorges profondes, caresser et bouffer les couilles à mon idée, bref, faire comme chez moi; à la différence que je n'ai que 12 heures pour en faire 62 à l'affilée! Je peux enfin à mon aise me délecter à chaque fois de ce sperme que j'aime tant, en comparer les goûts, les saveurs et les onctuosités.

Ils me caressent et me titillent le trou du cul mais ça ne va pas plus loin, ils sont tous calmes et décontractés, ils attendent gentiment leur tour. Une fois la chose faite, certains doivent partir et petit à petit, le groupe diminue d'effectif et il est un peu plus de minuit quand je termine ma 62è et dernière pipe.

En un peu plus d’un an, ils m'ont organisé deux autres séances du même type, toujours entre 60 et 80 participants, dont une avec un autre suceur, Philippe, un jeune garçon de 20 ans, mais il ne pouvait faire la moitié de ce que j'osais réaliser.

Après, j'ai été muté en Franche-Comté et je n'ai jamais plus revu personne.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

J'ai pris un rendez-vous avec Todd pour le jour suivant. Il n'avait pas beaucoup de travail et sa nouvelle jeune mariée était baisée toute la journée par des étudiants à leur appartement. Je voulais juste garder son con occupé et ainsi j'ai augmenté le nombre de types qu'elle devait baiser à cinq par jour. Elle se transforme en une putain enceinte vraiment mignonne.

Elle et Todd parlaient beaucoup entre eux. Je suspecte que leur relation était sur le point de se briser. De sorte que cela laisser Todd totalement pour moi et c'est ce que je veux. Todd est devenu très docile et silencieux. Il est si mignon quand il me regarde avec ces grands yeux à travers ses verres. Comme un Harry Potter adulte.

Il m'a dit que qu'il avait peur de prendre des risques à son travail glissait ce si pendant qu'il travaillait à la librairie il se faisait baisé par moi tellement souvent.

Je lui ai dit que si les choses devenaient trop difficiles pour lui, il pourrait toujours laisser tomber l'université. Naturellement ce n'était pas la réponse il aurait voulu. Car avec sa jeune mariée à l'université, les frais et tout, j'avaient suggéré que peut-être il ne devrait plus suivre des cours, mais devrait se concentrer à la place sur ses cours de fellation.

Je veux qu'il soit vraiment un super suceur de bites, aussi j'amènerais souvent des copains pour lui pour qu'il ait plus de pratique. Bien, pas vraiment des copains, mais des types que je vous rencontre. Vous savez... aux bars et dans les rues. Et sur la rue. Je sens que Todd devrait finir par connaître un bon nombre de bites de différentes tailles et odeurs et goût.

Mais l'autre jour, j'ai eu une vraie rencontre agréable avec lui. Je l'ai pris dés le matin tandis que son épouse avait sa première baise du jour d'un jeune étudiant allumé de première année qui était si mignon, je l'aurais presque baisé moi-même. Todd portait un tee shirt blanc serré tellement léger que le brun de ses mamelons se voyait facilement à travers le tissu. Il portait de vieux jeans très, très serrés avec la baguette délavée et des chaussure de tennis blanches. Aucune ceinture, pas de lacets. C'était comme je l'aimais pour le baiser pendant nos rendez-vous.

"Où allons nous?" a-t-il demandé, avec cet air timide, presque effrayé et humble qui lui allait si bien. J'ai mis mon bras autour de son cou. Il détestait quand je montrais mon affection envers lui en public... C'est un comportement stupide, vieux reste de ses jours hétéros avant que je l'aie baisé. Aussi pour l'en guérir, je veille à l'embrasser beaucoup et jouer avec ses seins tandis que nous marchons. Je l'oblige ainsi à garder ses mamelons bien durs sous son tee-shirt et ils pointent vraiment sous le fin tissu.

Je l'ai amené dans un magasin porno gai. Je l'ai entendu soupirer de crainte et de soumission. Il détestait ce genre d'endroit. Il est toujours, après toutes ces fois, aussi timide et nerveux, et prudent.

"Nous allons nager un peu, mais d'abord nous devons vous trouver une tenue de bain."

"Pourquoi vous ne me l'avez pas dit, j'aurais pu apporté mon maillot de la maison."

Je l'ai. "Parce que je vous aimes et que je veux vous acheter un nouveau beau costume de bain."

Nous sommes entrés dans le magasin.

Le type très efféminé du magasin est venu vers nous et a commencé à manger immédiatement Todd de ses yeux.

"Mes garçons... qu'est ce que je peut faire pour vous aujourd'hui?"

J'ai souri. "J'amène mon nouveau petit ami nager et je veux un costume de bain pour lui qui mette bien en valeur ses meilleures caractéristiques."

Todd a regardé le plancher rempli de honte.

"Bien, je suis sûr que nous avons quelque chose. Sûrement pas de ces horribles boxers....."

Boxeurs? Je sais que la plupart des hommes maintenant portent des boxeurs, mais vous ne pensez pas que Todd ici aurait un meilleur look dans quelque chose d'un peu plus... sensuel? Todd, enlevez votre tee shirt et montrent au gentil Monsieur votre corps."

Todd m'a regardé avec un de ces regards de chien suppliant bien à lui, mais il n'a pas protesté. Il savait ce qu'il lui en coûtait de refuser un ordre en public ou en privé.

Le commis a presque joui dans son pantalon quand il a vu le torse nu de Todd.

"Oh mon... oh oui... c'est un garçon splendide comme je n'en ai jamais vu. De petites bretelles souligneront ses mignons pectoraux et les mettrons en valeur, sans parler de son paquet."

Tandis qu'il parlait, le commis a autorisé ses mains à voyager sur les seins de Todd. Le commis m'a regardé pour avoir ma permission et quand j'ai incliné la tête, il a souri et a commencé à pincer les mamelons de Todd. J'ai crus que le pauvre Todd allait mourir de honte.

"Nous avons quelques tenues bien découvertes au fond du magasin dans des couleurs d'arc-en-ciel."

Il a réellement tiré Todd par ses seins vers l'arrière du magasin. Il pouvait voir que Todd était docile, et cela réveille toujours le désir de tous les pédés. D'autres types dans le magasin observaient maintenant, et Todd a regardé le sol comme s'il voulait se fondre dans le plancher.

"En fait... à la place d'un Speedo... je plutôt davantage à un style très découpé."

Todd a secoué sa tête, ses yeux remplis de larmes.

Le commis a mâché sa lèvre inférieure.

Oh mon... un string... oui. Je pense qu'il serait merveilleux dans un string. J'ai pensé que vous parliez de faire de la natation en public."

"C'est bien ce dont je parlais." "Et vous voulez qu'il porte....une tenue comme cela......"

"Comme je l'ai dit, je veux le mettre au mieux en valeur. Avez-vous maintenant quelque chose qu'il pourrait essayer... pour la taille?"

Maintenant le commis le regardait comme s'il allait s'évanouir.

"Oh Jésus, oui... dans ce style." Il a choisi un string blanc avec des lanières minces pour passer autour de la taille et dans la fente de son cul.

"Ouais, cela lui irait bien, mais il avez-vous quelque chose dans le rose? Rose vif?"

Huit ou neuf types s'étaient maintenant réunis pour observer l'achat du costume du bain de Todd.

"Bon. J'ai celui-ci qui est tout d'un rose étincelant... mais il n'est pas vraiment pour l'eau. Il est plus pour s'exhiber ou quelque chose de ce genre."

C'était le même string couvert de paillettes roses.

"C'est très bien. Y a il un endroit où Todd pourrait aller l'essayer. Il est terriblement timide."

"Oh oui, il y a une salle d'essayage dans le fond, à côté des cabines de film porno."

J'ai remis à Todd le string rose.

"Aller, Todd, vous allez essayer ceci par dessus et ressortir pour nous montrer."

"SVP, monsieur. SVP ne m'obligez pas à faire ceci... "

Todd a presque chuchoté sa prière. Il ne savait pas quoi faire de mieux que de s'opposer à un ordre avec discrétion.

"Soyez un bon garçon Todd, et faites ce que je vous ai demandé. Vous ne voulez pas me fâcher. Pas ici."

Le visage de Todd a viré au rouge et il est retourné vers la cabine.

"Je suis heureux de voir que vous êtes sévère avec lui. Les garçons son âge ont besoin de discipline,"

Un type plus âgé avec des cheveux argentés m'a dit

"Ouais, et il est juste marié aussi, et aussi vous savez suffisant comme cela rend impertinent un jeune type," J'ai répondu.

"Il est marié...... à une fille?"

"Oui, seulement depuis quelques mois... ainsi je dois être très dur pour le maintenir dans la ligne.

"Il suce les bites?"

"Ouais, bien sûr... comme un pro. Quand je le lui dis. Et son cul donne vraiment du plaisir à baiser aussi."

"Et il s'est juste marié à une fille pour les apparences."

Les autres types étaient suspendus à chaque mot.

"Monsieur, il ne va pas. Il est trop petit." Todd a hurlé de la cabine.

"Bon avancez dehors jusqu'ici et laissez nous juge de cela."

Todd est sorti, nu excepté le string scintillant couvert de paillettes roses. Il était terriblement obscène. Vous pouviez voir chaque ride de sa bite et ses boules presque sortant hors du sac formé par le tissu. Pour quelque raison mystérieuse, le petit string lui donnait un air bien plus nu que quand il était nu. C'était un effet singulier... terriblement sale et obscène. Ses fesses roulaient tandis qu'il marchait.

Les types se sont penchés pour avoir une meilleure vue sur sa bite et ses boules, à travers le string mince de tissu.

"Monsieur, je ne peux pas aller nager en public avec cela... " A soupiré Todd. Ses yeux étaient remplis de terreur.

"Vous avez raison, Todd, je ne l'aime pas. Toutes ces paillettes scintillantes cache la forme normale de son sexe. Essayons le blanc tout simple. "

Todd a pensé que le blanc serait moins pire, mais il révélait sa grande bite plus obscènement encore. J'ai abaissé ma main et j'ai commencé à masturber sa bite à travers le tissu. Maintenant j'ai rendu Todd très excité et sur le point de jouir avant que nous soyons partis, tellement humilié qu'il allait juter en un rien de temps.

"Oh mon. Il fuit partout... " Dit le commis, frottant sa propre bite à travers son pantalon. Todd a gémi pendant que des gouttes de liquide pré spermatique remplissaient la poche du string et s'égouttaient le long de sa jambe.

"SVP ne faites pas ceci... " A prié Todd.

"Avez vous quelque chose avec juste une ficelle autour de la taille et au fond de la fente du cul ... trop de tissu cache sa beauté. Et la poche est un peu trop grande... quelque chose de plus petit."

"La poche... est... il me semble qu'elle est déjà trop petite. Je veux dire que tout le monde peut voir les poils de mon zizi et presque la racine de ma bite elle-même. Et les boules sortent presque hors des côtés... quand il se déplace, vous pouvez voir de la chair de ses couilles."

J'ai feint pour l'étudier pendant un moment. Todd était si humilié qu'il se dandinait sur ses orteils nus complètement anéantit.

"Non, je pense qu'il est trop grand... si vous n'avez pas toute autre chose, on peut aller voir ailleurs... "

Les types qui nous observaient dans le magasin ont émis une forte protestation vocale à mon commentaire.

"Non, non. J'ai quelque chose...." a dit le commis, en retournant dans l'arrière boutique. Il est revenu avec un string d'une taille inférieure avec une poche qui faisait la moitié de la première, le tissu très mince d'une couleur vert pale... on voyait presque à travers... et des ficelles juste pour le tenir.

"Ceci n'est pas du tout conçu pour nager, en fait il devient transparent dans l'eau. Il est fait pour des exhibition porno."

La chose était si minuscule, elle reposée dans ma main à peine plus grande qu'une capote.

"Venez ici Todd, vous allez essayer ceci de suite."

"Vous savez, si vous me le demandez, vous devriez vraiment le faire raser complètement pour enlever tous ces poils pubiens. Cela ne va pas du tout avec ce genre de costume de bain."

Le commis avait raison. J'avais permis à Todd de maintenir un petit buisson bien taillé au dessus de son zizi, mais maintenant je voyais qu'il était de trop et devrait disparaître. Prendre soin d'un petit ami est tellement difficile.

J'ai entendu Todd pleurer dans la cabine et je lui ai commandé de sortir.

Dés le moment où il est apparu ses yeux étaient rouges d'avoir pleuré, mais personne dans le magasin ne l'a remarqué. Le string qu'il portait était le costume le plus pervers que j'ai jamais vu. Tellement léger c'était presque un voile... et vous pouviez voir la couleur la forme et la texture de son petit zizi à travers le voile. Il était si petit qu'une partie de la racine de son robinet se montrait montré au-dessus de la bande supérieure, et si petit que la moitié de chaque testicule débordait sur les côtés.

Une ficelle s'enfonçait dans la fente de son cul. Profondément et étroitement tendue... en faisant danser et osciller les globes de son cul quand il marchait.

"Je ne peux pas... Je ne peux pas... " Ce que Todd était sur le point de dire fut noyé par le bruit des applaudissements venant des types dans le magasin. Alors ils nous ont encouragé.

"Vous voyez, Todd, mettez le bon costume de bain sur le bon homme, et c'est une combinaison gagnante. J'aime vraiment celui-ci."

"Vous plaisantez... " Le murmura à nouveau Todd... réellement sur un ton de tapette.

Il était vraiment drôle.

"Peut être pourrais-je un peu mieux le disposer... hein... pour l'arranger un peu mieux?" A demandé le commis.

"Je vous en prie." J'ai répondu à la place de Todd.

Le commis a retenu son souffle et puis s'est approché de Todd et a commencé à réarranger la bite de Todd dans la poche. Il a courbé le robinet vers le bas et légèrement sur un côté. Le gland poussait contre le tissu comme s'il voulait sortir. Alors le commis soigneusement repoussé les boules ensemble derrière la bite. Si Todd faisait très attention à la manière dont il marchait, la bite et les couilles pourraient rester dans la poche. Mais la poche elle-même était sous pression et complètement tendue de manière obscène... faisant un paquet énorme.

"Voilà, tout est bien remplié, mais s'il ne fait pas attention, quand il marche ou quand il nage, ses boules plutôt grandes sortiront."

"Bien, nous devrons simplement faire attention alors, n'est ce pas ?"

"Et comme j'ai dit, quand le string devient humide, il devient transparent."

"C'est un risque nous devrons prendre dans l'intérêt de la mode."

"Hé, le mec... est ce que vous allez vraiment lui faire faire de la natation dans cette chose?" a demandé un type genre gros camionneur.

J'ai souri.

"Oh oui... c'est le but de notre journée d'aujourd'hui."

Todd a gémi. Il a enfoncé ses orteils nus dans le plancher en bois sale du magasin porno.

"Hum... puis je vous demander où?"

Le camionneur voulait avec évidence venir nager aussi.

"Certainement. Au club de gymnastique et de natation du centre ville. Un ami à moi le dirige... et devinez quoi ? Aujourd'hui c'est le jour des gosses!"

"Par le Saint Esprit...."

"Ouais, et j'ai proposé à Todd d'y aller pour aider les gosses. Il va leur enseigner à nager et d'autres choses de ce genre....bien utiles."

"En portant ce costume?"

"Oui, naturellement en portant son nouveau mignon costume de bain."

"Pouvons nous venir?" A demandé un autre type.

"Bon... le club n'est pas ouvert au public le jour des gosses, pas même aux parents..., mais je pourrais vous obtenir une entrée en tant qu'aides volontaires si vous ou des types vouliez venir... "

Tous les types nous ont acclamés encore.

"De quel âge sont les garçons?" a demandés un type à moitié chauve avec des verres.

"Oh environ entre neuf et quatorze. Mon copain organise ceci comme un genre de service public."

"Ouais... je l'aurais parié!"

Nous avons tout eu bien ri de cela. Tous excepté Todd.

"Combien coûte le maillot?" Ais-je demandé au commis qui était très occupé avec les fesses de Todd, en train d'arrange la ficelle.

"Oh, quinze quatre-vingt-quinze dollars... mais pour vous il est gratuit."

"Non, non, j'insiste pour le payer. Que diriez-vous si au lieu de vous payer en argent comptant, Todd ici fasse une pipe à chacun des type dans le magasin?"

"Ce serait... ce serait... vraiment... génial."

"Super, messieurs, alignez-vous. Todd, mettez-vous à genoux pour satisfaire ces messieurs et ouvrez votre bouche."

Neuf types étaient sur le point de vider leurs couilles et de jouir dans la bouche de Todd.

Todd m'a regardé, ses yeux remplis de larmes, ses lèvres bougeant en une supplication silencieuse.

"Soyez un bon garçon Todd, et donnez à chaque type une vraiment bonne fellation... si vous ne mettez pas de l'enthousiasme dans cela, je jurent que je vous obligerai à sucer leurs culs aussi. Montrez à chaque type sa décharge dans votre bouche avant que vous l'avaliez. Et faites les mignons bruits de truie comme je vous l'ai enseigné. Et puis, nous irons nager."

Todd était maintenant à quatre pattes, portant son nouveau maillot qui était tellement léger que la forme de sa bite et de ses boules pouvait clairement être vues. C'était à peine une petite poche du tissu le plus mince. Avec son corps sexy et son mignon visage, il était comme une poupée à baiser. Il a commencé à sucer tous les types dans le magasin porno. Les larmes ont coulées en bas de son visage. Il m'a supplié de ne pas l'obliger à le faire.

Je ne sais pas d'où tous ces putains de types venaient, mais soudainement il y avait environ quinze baiseurs excités là dedans. Ils avaient tous leurs bites dehors et branlaient leurs membres, leurs couilles dansant et se balançant. Todd était si déboussolé et désorienté qu'il a commencé à trembler. Comme s'il avait eu froid.

Bite après bite, chacune était poussée vers son visage. Je l'ai obligé à donner à chaque membre quelques lèchement et sucement et puis de se déplace à un autre bite. Il y a quelque chose ainsi de très humiliant de devoir sucer un bon nombre de différentes bites.

Je veux dire que si vous en sucez une, vous pouvez vous justifier en pensant qu'elle appartient à votre amoureux ou à votre maître ou un type quelconque qui vous a convaincu de le sucer. Il y a toujours une sorte ou rapport là dedans, même s'il est fragile ou très mince ... mais quand dix ou quinze bites sont poussés dans votre visage, toutes coulantes et palpitantes, alors vous ne vous sentez rien de plus qu'un réceptacle à bites ... Un vide couilles. Un trou pour que des hommes étrangers vident leur jus de couilles. Ils déchargeront et s'en repartirons... sans même vraiment savoir ce que vous êtes ou ce que vous n'êtes pas.

"N'oubliez pas de lécher leurs testicules aussi, Todd."

J'ai tordu son oreille ainsi il non seulement sucerait le gland et lécherait la tige mais laperait également les testicules en sueur de ses nouveaux amis.

Todd était très mignon en train de pleurer, et ses larmes mélangées aux égouttures de bite enduisaient ses verres. Il était si mignon. De la morve coulait aussi de son nez et se mélangée à sa salive et au liquide pré spermatique de la bite qu'il suçait. Il s'est mis à genoux, allant d'une bite à l'autre. Cela n'a pas pris longtemps pour que certains de ces hommes crachent leur jus.

Ils avaient été dans les cabines du magasin et avaient regardé des films pornos et leurs bites étaient prêtes à éclater. Le premier cracher son sperme était un ouvrier du bâtiment qui a flagellé partout le joli visage de Todd avec sa bite. Todd toussait en le suçant et faisait des bruits comme s'il allait vomir. Le sperme a dégouliné en bas de son visage et dans sa bouche.

Ensuite un petit homme d'affaires chauve a gémi et a éclaboussé le visage de Todd de ses jets gluants. Je suis parvenu à saisir les cheveux de Todd et à bien soulever sa tête ainsi et ainsi toute cette sauce est bien entrée dans sa bouche grande ouverte.

Un homme au type de latin avec une chemise rouge vif a profondément poussé sa queue non coupée dans la bouche de Todd et puis a fait aller ses hanches et a tiré sa décharge. Todd s'étranglait et avalait.

Un grand type noir est intervenu et a frotté ses boules partout sur le sperme gluant qui souillait le visage de Todd et puis lui a puis dit de le lécher et de nettoyer ses couilles.

Todd lui lancé un mauvais regard, clignotant des yeux derrière ses verres, la bouche grande ouverte et dégoulinante de sperme.

"Montrez à ce gentil Monsieur un minimum de respect Todd, léchez le jus qui souille ses testicules."

J'ai doucement poussé la tête de Todd sous les boules noires énormes et Todd a commencé à lécher les couilles. Un autre type, un gosse à la peau foncée... peut-être un italien... a pris son tour et a branlé sa bite épaisse et a lancé des jets de sperme sur les boules du noir tandis que Todd les léchaient. Le jus gluant a enduit les boules velues et en sueur et s'est égoutté sur le plancher. Le type qui possédait le magasin porno prenait des photos.

Le foutre dégoulinait en bas de la poitrine de Todd jusque dans la poche de son string de bain qui est devenu presque transparent, une fois le tissu humidifié.

Mais le temps passait très vite et Todd avait pleins d'autres types à sucer. Quelques types avaient appelé leurs copains au téléphone portable et huit ou neuf nouveaux types étaient entrés dans le magasin pour se joindre à la partie.

J'ai ordonné à Todd de se lever et se plier par dessus un tabouret.

"Maintenant que vous avez craché sur son visage, alors que le reste d'entre vous peuvent baiser son chatte.

"Oh mon Dieu, laissez-moi... Non. Oh mon Dieu, non je vous en prie !"

Todd pleurait avec la bouche remplie par une bite. Un grand type style camionneur a pris fermement en main les globes fermes de Todd et les pelotées, un de mes parties préférées de ce garçon, et les a ensuite écartées pour montrer sa fente et son trou.

Le propriétaire de magasin a déchiré et ouvert un paquet de lubrifiant et en a offert le contenu gratuitement. Le camionneur a enduit sa bite et s'est enfoncé profondément jusqu'au couilles, en mettant presque vingt centimètres dans le cul de Todd en une seule course violente.

Todd a crié comme un porc qu'on égorge, et la bite dans son visage a tiré des jets de foutre partout sur ses yeux et son nez. Mon petit libraire mignon et doux était couvert de jus de bites. Un autre type ne pouvait pas se retenir davantage et n'a pas tiré sa décharge dans l'oreille de Todd.

Le plancher autour de lui était une marre de sperme et de liquide pré spermatique. Certains des types avaient baissés leur pantalon pour baiser le cul de Todd, et dès que le camionneur s'est retiré, un autre type était en position. Cette fois c'était un Asiatique avec une longue bite mince.

Des types se sont alignés pour baiser son visage et son cul. À un moment il a essayé de ramper pour s'enfuir... pataugeant dans le sperme collant sur le plancher. Je l'ai saisi et j'ai giflé son visage quatre ou cinq fois, bien fort

"Vous n'avez pas intérêt à me mettre dans devant mes amis. Remontez sur ce tabouret, mettez vos mains en arrière et écartent les joues de votre cul pour ces gentils messieurs." "Vous allez me faire massacrer, je...."

Todd pleurait et le sperme faisait des bulles sur ses lèvres, sortait de sa bouche et a coulait en bas de son menton. Un type noir énorme et musclé avec une queue qui devait faire au moins vingt-cinq centimètres a claqué son ventre contre le cul de Todd. Le tabouret a glissé sur le plancher et le visage de Todd s'est écrasé dans l'aine velue d'un gros type dans une chemise hawaïenne.

"Est-ce qu'il lèche les culs ? Un type a demandé.

"Bon sang oui, mais nous n'avons pas le temps pour cela aujourd'hui. Nous devons aller nager. Dites-vous ce que vous voulez. Chaque mercredi dorénavant, si c'est d'accord avec le propriétaire de magasin ici, Todd vous amusera et vous servira à partir de neuf le matin jusque à cinq heure de l'après-midi."

Mercredi était le jour ou Todd travaillait à la librairie.

"Il sera heureux de sucer des bites, de lécher des culs, de se faire baisé, et même d'être employé comme wc. Et le tout gratuitement. Ce devrait être bon pour les affaires de ce magasin."

En voyant combien que Todd était réticent parce que visiblement hétérosexuel, et sachant qu'il s'était marié tout récemment, tout ceci faisait un contraste très excitant. Ses yeux ont roulé derrière ses lunettes striées de coulures de sperme. Sa bouche s'est ouverte en laissant couler des fils de sperme mélangé à sa salive. Son corps s'est soulevé et s'est secoué sous la douleur que lui infligeait la bite du noir qui s'enfonçait au fond de son cul.

Quinze à vingt types avaient déchargé au fond de l'anus de Todd, et je ne sais pas combien s'étaient vidés dans son oesophage. Il était couvert dehors de sperme et remplis à l'intérieur par tous ses trous, et cela s'égouttait de sa bouche et de sa chatte.

Je lui ai dit que nous devions aller nager et qu'il devrait mettre son jeans par-dessus son string et rien. Il avait été tellement baisé et anéanti, qu'il en fût presque incohérent. Il a demandé s'il pourrait faire sortir de son anus tout le sperme qui s'y était accumulé et se laver.

"Pas question Todd, je veux vous veniez à la piscine souillé comme ceci. Je veux que vous conserviez précieusement tout le sperme qui est dans votre cul jusqu'à ce que je vous dise de l'expulser. S'il y a des fuites, vous serez punis."

Il était dans un tel état, je ne pourrais pas voir dire s'il fuyait le sperme ou pas, mais il avait maintenant tellement peur de moi, qu'il maintenait ses belles joues fessières bien serrées, gémie et mis par dessus son jeans qui fut bientôt imbibés de sperme. Sous son jeans, il portait son nouveau maillot de bain tout neuf, presque transparent et humide.

Il était temps d'aller nager!

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Avec ses jambes tremblantes, Todd s'est avancé vers le jeune garçon en train de lire des bandes dessinées.

Quand le gosse s'est aperçu qu'un homme poitrine nue l'observait, sa mâchoire s'est grande ouverte. C'était un gosse vraiment mignon aussi, la peau aussi blanche que du lait et de grands yeux bleus. J'ai vu Todd lui offrir le livre et le garçon l'a regardé et ses yeux se sont encore élargis. Alors le garçon a secoué sa tête pour faire non et a commencé à s'éloigner. Les épaules de Todd juste là bien droites se sont effondrées, et il semblait complètement défait. Le garçon a contourné une pile de livres et l'a rencontré !

"Écoutez moi, espèce de putain de tapette ! Vous dites un seul mot à quelqu'un au sujet de ce qui vient de se produire, et je couperai votre bite et vos couilles et vous forcerais à les manger! Est-ce que vous me comprenez bien, lécheur de cul ?"

Il a fait pipi dans son pantalon de peur. Il était hystérique. J'ai vu la tache foncée se répandre en bas de ses jeans. Ses yeux étaient remplis de larmes. Il était tellement petit et mignon.

"Est-ce que vous me comprenez bien face de cul ?"

"Oui." Sa voix était encore fluette et haute. Il a commencé à pleurer.

"Vous pissez dans votre pantalon.... " J'ai souri.

Je suis retourné vers Todd.

"Bien, Todd, vous pouvez remettre votre tee-shirt dessus maintenant. Mais si je vous vois encore en porter un cette épaisseur, vous recevrez une grave punition. Vous comprenez?"

"Oui, monsieur, merci monsieur."

Je pourrais voir le soulagement dans ses yeux pendant qu'il luttait pour remettre le tee-shirt serré, et voir maintenant ses aisselles suer de crainte.

"Je veux vous baiser pendant votre pause, mais avant cela, il y avez un petit travail que vous devrez faire. Ce vilain garçon a laissé un peu de pisse sur la moquette du magasin. Vous avez vu cela?"

"Oui Monsieur."

"Bien, je veux que vous vous mettiez sur vos mains et genoux à quatre pattes et suciez toute sa pisse sur la moquette. Trouvez un chiffon et si quelqu'un se demande ce que vous faites dites-lui que vous essayez de nettoyer la tache avec on chiffon, comme un bon larbin. Mais quand personne n'est en vue, vous sucerez la pisse hors de la moquette.... vous avez bien compris cela? Et ensuite je vais vous prendre dans le vestiaire des garçons et baiser votre cul. Vous m'avez manqué, et je sais que ma grosse bite a manqué à votre chatte !"

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

L'autre jour j'ai pris Todd pour aller faire une promenade. Je les avais laissé seuls lui et son épouse pendant presque une semaine entière après les vacances. Ceci pour parfaire deux choses. Je pourrais découvrir à mon retour à quel point ils étaient réellement dressés, et je leur laissais espérer que j'en avais terminé avec eux, et ils pourraient retourner de nouveau à leurs vies normales.

Todd est si naïf. Je disparais pendant quelques jours, et il commence à penser qu'il était peut-être libre. Son épouse est un peu différente.

Elle était maintenant utilisée à l'université comme une vraie vide couilles. Les types venaient toujours à leur petit appartement pour la baiser alors qu'elle était complètement passive, inanimée. Et elle commençait à aimer les grosses bites, particulièrement les noirs. Puisque j'interdisais à Todd de la baiser ou d'avoir des relations sexuelles avec elle de quelque façon, je sais que ceci construisait un mur entre eux. En plus naturellement, son état de femme enceinte maintenant, était complètement un choc à eux.

Sally m'avait supplié de la laisser avorter, mais je n'avais pas accepté. Je voulais juste qu'elle ait le bébé et ainsi je pourrais voir s'il était le mien, ou d'un nègre quelconque par qui elle avait été baisée pour obéir à mes ordres. Je la faisais maintenant baisée quatre à cinq fois par jour et elle devait sucer environ dix à quinze bites par jour. C'est vraiment un défi pour une étudiante de première année d'université toute nouvellement mariée. Et Todd naturellement devait.... observer des types entrer dans la chambre à coucher de son épouse aimée. Et entendre les bruits qu'ils faisaient en baisant.

Et avoir d'autres types attendre dans leur petite chambre de la baiser ensuite. Je lui avais dit d'être toujours poli avec les types et de leur offrir une bière et des casse-croûtes.

Mais que diriez-vous de mon dressage avec Todd lui-même. Après tout, le fait d'avoir transformée son épouse en a jouir en vide couilles était juste une activité secondaire pour moi. Todd était mon projet principal. Je devenais amoureux de lui en somme. Plutôt, je devenais amoureux du fait de transformer un garçon sortit tout droit de l'université en un putain de suceur de bites et une chatte esclave sexuelle.

insi Todd était choqué quand après une semaine je suis revenu à la librairie.

J'ai attendu jusqu'à ce qu'il ait le dos tourné dans quelques rayonnages de livres avant que de l'approcher.

"Je t'ai manqué, bébé?" J'ai chuchoté.

J'ai crus qu'il allé tomber dans les rayonnages.

Il s'est retourné, son visage tout pâle, sa lèvre contractée. Son mignon visage figé dans l'horreur et ses yeux aussi beaux que jamais derrière ses lunettes avec leur monture légère.

"Hum, Je.... Oh mon Dieu."

Il se tenait là tout tremblant. J'ai pensé qu'il aller pisser dans son pantalon.

"Avez-vous pensé que je vous aurais oublié, bébé? J'étais occupé. Mais je n'oublierais jamais mon nouveau petit ami. Comment le pourrais-je ?"

Ses mains tremblaient tellement qu'il a du déposer les livres qu'il tenait, de peur de les laisser tomber. Il a essayé de dire quelque chose mais aucun mot n'est sorti. Chaque fois que je le vois sembler effrayé comme cela derrière ses lunettes, je tombais complètement amoureux de lui. Il semblait si intellectuel, un dévoreur de livre, mais si mignon à baiser ainsi.

Il portait un tee shirt serré blanc de chambre comme je lui en avais donné l'ordre, mais le tissu était si épais que bien que je voyais ses mamelons, je ne pouvais pas voir le brun de ses mamelons et ses pointes de seins à travers le tissu.

"Relevez ce tee shirt immédiatement, Todd, et m'a laissé voient vos seins."

Tout le sang est parti de son visage.

"Jésus, monsieur, je suis au travail."

"Todd, si vous me faites répéter, vous le regretterez vraiment beaucoup. Je jure devant Dieu, je vous battrai comme jamais ici devant des clients et le personnel et tout le monde et je vous déshabillerai avant de vous baiser cul nu. Enlevez maintenant ce foutue tee shirt."

Nous étions assez loin en bas, à côté de la réserve de livres et personne ne pouvait nous voir.... à moins que quelqu'un vienne faire une recherche d'un livre sur l'architecture.

"Mais Todd chéri, je suis déçu par vous. Qu'est ce que c'est que ces vêtements que vous portez. Je vous ai donné des instructions strictes, que vous deviez pour porter seulement des tees shirt blanc et d'un tissu assez mince que l'on puisse voir vos mamelons à travers. J'ai dit que je voulais bien voir vos grosses auréoles brunes à tout moment."

Todd a enlevé son tee shirt et ses seins bien travaillés étaient parfaitement visibles. Nous avions durement travaillé ses points pendant les vacances et elles surgissaient maintenant de 2,5 centimètres.... mignons, rouge et sensible. Je lui avais dit que je les voulaient de trois centimètres ou davantage le jour de la Saint Valentin. Il s'est tenu là la poitrine complètement nue, respirant avec inquiétude, ses grandes auréoles se levant et se rabaissant avec chaque respiration. La sueur coulait de ses aisselles le long de son beau torse. Il était comme une poupée.... c'est sûr.

"Oh mon Dieu, je vais perdre mon travail pour sûr."

Il a pleurniché, regardant tout autour.

"Et de qui cela sera la faute, Todd?"

Il a regardé vers le bas, le tapis.

"La mienne."

"Exactement. Maintenant Todd j'ai un petit travail pour vous. J'ai ce livre ici.

Ce livre s'appelle "Suceur de bites, les mémoires d'un esclave sexuel." Bien, j'ai décidé que je ne veux pas l'acheter. Mais si vous regardez derrière ce rayon, vous verrez un garçon âgé d'onze ou douze ans en train de regarder les romans pornos. Je pense que vous devriez faire un saut jusqu'à lui et lui proposer ce livre qu'il pourrait aimer."

"Oh seigneur Dieu, monsieur s'il vous plait, ne m'ordonnez pas de faire ceci. Je pourrais être arrêté. Je vous en prie. Svp!"

Quand Todd avait vraiment peur, pour quelque raison que ce soit, il devient bien plus adorable. Sa lèvre inférieure tremblait et ses yeux clignotaient vraiment rapidement derrière ses verres.... et il a de si mignons longs cils.

"Vous ne voulez pas me voir perdre mon travail, n'est ce pas monsieur?"

J'ai souri.

"Ne vous inquiétez pas, Todd. Je peux toujours vous trouver un autre travail comme nettoyer des urinoirs dans quelques bar gai du coin. Maintenant vous prenez juste ce livre et vous l'offrez à ce jeune homme. C'est tout que vous devez faire."

"Sans mon tee shirt.... comme ceci?"

"Et bien, pas tout a fait. Je veux que vous pinciez vos gentils seins pour les faire pointer.... comme une putain de pin up de calendrier. Laissez le garçon voir à quel point vos mamelons deviennent plus longs. Faites-moi pointer ces seins.... et ensuite allez-y et offrez-lui le livre. Oh attentez une minute. Comment saura-t-il que vous travaillez ici et que n'êtes pas simplement un sale perverti ? Soyez sûr de remettre votre badge autour de votre cou. Vous avez de la chance vous pouvez le porter autour de votre cou au lieu de l'agrafer, à moins que je doive l'agrafer sur votre sein."
 

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

J'ai passé Noël avec Todd et Sally, mes jeunes mariées esclaves, et c'était un des meilleurs moments que je n'ai jamais eus. Naturellement je les ai maintenus nus. Je les ai faits ouvrir un de leurs cadeaux avant que nous ayons mangé la dinde que j'ai fait cuire, ne pouvant pas faire confiance à leurs qualifications culinaires.

J'ai donné à chacun d'eux un gode de 35 centimètres. Naturellement je voulais juste qu'ils les essayassent immédiatement. Vous devriez avoir vu les efforts qu'ils ont dû faire pour faire entrer ces gros godes au fond de leur cul. Je ne pouvais dire s'ils pleuraient de la joie d'avoir un si gentil présent, ou du fait de la douleur de devoir l'enfoncer dans leurs trous. Je les ai faits se baiser l'un l'autre avec ces godes. Une activité si gentille pour un jeune mari et une épouse à qui il n'était plus permis de baiser. Je ne voulais pas que Todd baise une fille. Après tout, il m'appartenait maintenant, corps et âme.

Et la bonne nouvelle que nous avons eues étaient que Sally était enceinte. Le bébé était de moi ou d'un des nombreux garçons d'université avec lesquels je l'avais faite baiser ces dernières semaines. C'est une très grande émotion quand une nouvelle jeune mariée se découvre enceinte. Sally naturellement était très bouleversée. Non seulement elle et Todd financièrement ne pouvaient pas soutenir un enfant, mais en plus elle n'a pas voulu charger sa vie dés maintenant à cause.

Oh. Nous ferons avec, n'est ce pas ? Je voyais à quel point Todd s'adaptait à son nouveau rôle. Il devenait ma petite amie tapette suceuse de bites bien docile. J'emploie ces mots affectueusement parce que j'ai vraiment été attiré par lui et que l'ai aimé à ma manière. Après que tout cela avait été mon attirance pour lui qui m'avait incité à mettre Todd et Sally dans cette position. Bien, si ce n'était pas de l'amour, c'était au moins une attraction sexuelle profonde.

La première fois que je l'ai vu travailler dans cette librairie... semblant si étudiant avec ses lunettes et le reste. Et puis quand j'ai jeté un regard sur son jeune cul mignon bien serré dans son pantalon, j'ai immédiatement su que je devais faire de lui mon esclave vide couilles complet.

Je me suis assis à la table avec Sally pour manger notre repas de Noël. Elle avait le gode au fond de son cul et ainsi il lui était difficile de se reposer sur la chaise. Il est difficile pour n'importe qui d'avoir 35 centimètres dans le cul, il faut bien l'admettre. Todd essayait de marcher avec son gode au fond de son cul pendant qu'il nous servait notre dîner. C'était si mignon d'observer ses testicules, son zizi et ses boules se balancer pendant qu'il marchait dans les deux sens, essayant vainement de ne pas trop déplacer le gode au fond de son cul. Son cul était mignon aussi, bien ouverte par le gode en caoutchouc épais comme une canette de bière.

Todd s'est mis à genoux devant ma chaise et je l'ai nourri avec mes doigts. Parfois j'en mettrais de la purée de pommes de terre sur ma bite et je le laissais la lécher. Il savait bien qu'il n'avait rien à dire. J'ai parlé avec Sally au sujet de son programme de baise pour les vacances.

Je m'assurais maintenant qu'elle avait été baisée cinq ou six fois par jour par des types de son université. Je l'avais transformée en une vraie putain. Je sais qu'elle l'appréciait secrètement. Je la faisais baiser seulement avec les types qui semblaient avoir les plus grosses bites et semblaient être les plus grossiers de sa promotion.

Nous regarderions souvent ensemble le livre des photos de sa promotion, décidant quel type elle prierait de la baiser la prochaine fois. Presque tous les types acceptaient... merde quel étudiant refuserait une baise gratuite avec une pute bien chaude. Sally était vraiment jolie. Elle a pleuré beaucoup en disant qu'elle ne voulait pas être une pute, un trou à bites. Qu'elle aimait Todd, mais je devais la briser parce que Todd était à moi. Ainsi il valait mieux qu'elle devienne accro à un grand nombre d'autres bites ... pour être rabaissée dans l'esprit de son mari.

Si elle n'avait pas le nombre requis de coup de bites chaque jour et ne suçait pas le nombre indiqué de queues, Todd était puni, et elle ne pouvait pas supporter de le voir souffrir, ainsi elle était une vraie bonne petite putain. Au début ce fut difficile pour elle, mais maintenant elle faisait cela aussi naturellement qu'un canard se mettait à l'eau. Une queue est une queue... c'est mon opinion, au moins en ce qui concerne Sally. Du moment que la queue est bien longue et épaisse. Je voulais seulement les plus meilleures bites pour elle... c'était parce que j'étais si attiré par son mari. J'ai également voulu qu'elle devienne enceinte, parce que j'ai estimé qu'alors elle ne s'occuperait plus tellement de ne pas avoir la bite de Todd.

Todd était forcé de jouer beaucoup avec sa bite, mais sans jouir. J'étais en train de le former pour qu'il trouve du plaisir sexuel avec sa chatte. J'aimais embrasser et peloter Todd tandis que je doigtais la chatte de son cul. Je lui avais dit qu'il avait une des plus jolies chattes que je n'avais jamais baisés.

Après dîner de Noël, j'avais une surprise pour Todd et Sally. Le carillon de l'entrée a sonné, et cinq types du cours d'histoire que suivait Sally sont entrés. J'ai reconnu un certain nombre de types qui l'avait baisée avant. Ils ont pensé que j'étais son souteneur. J'ai fait déshabillé la bande de garçons, et je dois dire qu'ils étaient musclées et bien membrés.

Ils tous ont pris leur tour pour baiser Sally dans la chatte et le cul. Ils étaient fiers de leur bite et bien montés, marchant dans la pièce pour attendre leur tour avec leurs queues bien dures et bondissante. Todd était si humilié qu'il se mit à pleurer. Les garçons ont tous ri de lui. J'ai dit à Todd de faire quelque chose d'utile... comme lécher le trou du cul des étudiants. Immédiatement, Todd a dû lécher et sucer les culs des garçons tandis qu'ils attendaient leur tour pour baiser son épouse.

Après que le premier garçon ait vidé dans sa décharge, j'ai également fait nettoyer à Todd la bite avec sa bouche. Ceci est alors devenu son devoir pour tous les garçons. Il allait d'un cul qu'il léchait à une bite qu'il suçait pour la nettoyer. Il était ainsi tellement docile.

Il me faisait bander juste de le voir ramper sur ses genoux passant d'un cul à un autre cul et puis ouvrant sa bouche pour sucer les restes de sperme et de jus de chatte d'un membre épais et coulant d'un étudiant qui venait juste de baiser.

Après que les garçons aient chacun tiré leur coup dans la chatte de Sally et bourré son cul, je les ai fait partir. Je voulais juste être seul avec mes nouveaux meilleurs amis. Maintenant j'avais un festin pour Todd. Je lui ai dit qu'il avait le droit de sucer le sperme des garçons de la chatte de son épouse et de son anus. Elle était vraiment chargée, pleine de sperme dans ses deux trous, qui était en train de s'en égoutter et coulait partout.

Je le mis au travail. Il a fait un peu des histoires, mais je l'ai giflé plusieurs fois, et je l'ai ensuite embrassé pour l'assurer que je lui faisais vraiment ceci pour son propre bien. Tandis qu'il suçait la chatte et le cul de son épouse, en faisant du bruit et en avalant, j'ai travaillé le gode dans sa chatte de garçon aussi durement que je pouvais. Je bourrais à fond ses intestins en le faisant gémir.

Lors de notre jeu de Noël suivant, j'ai enfoncé les orteils d'un pied au fond de la chatte de Sally autant que je le pouvais et les orteils de mon autre pied au fond de l'anus maintenant bien étiré de Todd. Puis j'ai enfoncé les deux godes dans les deux trous de Sally et je l'ai mise au lit, et j'ai passé le reste de la nuit à baiser son mari dans la bouche et son cul bien ouvert.

"A nous maintenant, à Todd, et à tout l'amusement que nous allons avoir ensemble pendant cette nouvelle année. C'est juste le début de notre merveilleuse histoire."

Ais-je chuchoté dans sa mignonne oreille tandis que ma bite était en érection bien profond à l'intérieur de ses intestins.

"Et rappelez-vous comment vous étiez inquiet quand nous nous sommes rencontrés la première fois, parce que vous aviez proclamé vous étiez hétéro et ne pourriez rien faire avec un type. Bien, c'est de l'histoire ancienne, n'est ce pas?"

J'avais déjà joui au fond de son cul, et maintenant j'étais en train de pisser au fond de lui. Il pleurait, en mâchant la taie d'oreiller.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

"Bon, alors je vais vous donner une deuxième chance. Je vais dans la cuisine chercher quelque chose à boire. Je veux que vous preniez une longue douche. Nettoyez toute cette peur et cette sueur de votre corps. Et faites bien attention de laver soigneusement vos boules. Elles seront boursouflées pendant environ une semaine. Mais elles ne subiront aucun dommage permanent. Veillez en outre bien laver votre chatte, je sais qu'elle est encore tendre de la nuit passée, mais il fait la nettoyer bien à fond pour moi. Ensuite je veux que vous mettiez la nuisette courte la plus sexy de votre femme. Quelque chose de vraiment fin et érotique. Et vos lunettes aussi. Vous êtes mignon avec vos verres. Et mettez aussi une paire de ses hauts talons. Je sais qu'ils ne s'adapteront pas exactement mais vous ferez avec. Puis allez dans l'autre pièce et attendez-moi. Et essayez un peu de me sourire."

J'avalais une gorgée de la bouteille de champagne de mariage qu'ils avaient reçus comme cadeau de quelqu'un, quand il a chancelé en revenant dans la pièce sur les hauts talons de son épouse, semblant plus jeune et plus frais que le printemps et humilié comme jamais. Je m'étais totalement déshabillé, assis, après avoir enlevé ma chemise et ma veste de chambre et je pinçais mes mamelons et serrais ma bite entre mes doigts.

J'avais leur photo de mariage sorti de son cadre et sur le plancher devant moi et ainsi mon gland s'égouttait dessus... ce genre de tactique est nécessaire si vous voulez casser psychologiquement quelqu'un.

Le zizi et les boules brûlées de Todd ont pendouillaient par-dessous le bord de la nuisette courte. Sa chatte devait vraiment être très sensible... encore plus petite que la sienne.

"Vous sembles vraiment beau, Todd. Je dis cela en toute sincérité. Vraiment bien. Vous pensez que Sally, votre nouvelle jeune mariée trouverait ma grande bite attirante ?"

"Elle n'est pas comme cela" dit-il d'un air provoquant et semblant terriblement stupide dans sa tenue.

"Et pourquoi cela ? Elle n'aime pas les bites ? Ou bien elle ne pense pas à des bites d'autres types? Oh vous seriez étonnés de ce qui cours dans l'esprit d'une chatte. Je veux dire je suis sûr qu'elle vous aime et qu'ainsi elle accepte votre zizi cacahuète. Mais ne me dites pas qu'elle ne bave pas de la chatte au sujet de ces gros morceaux de viande de certaines de ces stars du sport. Elle rêve probablement de Michael Jordanie en train de la baiser."

J'ai marché jusqu'à lui.

"Embrassez-moi du bout des lèvres ouvertes, faites moi un gentil baisé mouillé Todd..."

Il a tremblé un peu et pleurniché, mais a obéi, trop terrifié de risquer de désobéir encore. C'était un bon baiser. Il savait bien embrasser. Sa bouche était charmante, humide et douce. Je l'ai embrassé pendant environ cinq minutes, frottant mes mains partout sur ses joues fessières. Quand j'ai approché la fente de son cul il a grimacé et s'est raidi. J'ai léché son visage partout.

"Vous allez être une bonne petit chatte, la plus douce jamais rencontrée dans un bar gai, Todd."

Cette évocation l'effrayée vraiment et il recommencé à pleurer. J'ai détourné son attention.

"Prenez ma grande bite humide dans votre main et masturbez moi."

Sa respiration était si difficile que j'ai pensé qu'il allait s'évanouir. Sa main était bientôt mouillée avec le liquide pré spermatique de sexe. J'ai embrassé son petit nez mignon.

"Allons dans la chambre à coucher chérie et baisons."

Il s'est presque effondré dans des mes bras. Je devais vraiment le maintenir debout, le serrant contre mon corps nu.

"Noooooon SVP... s'il vous plait vous ne pouvez pas... Je suis encore tous déchiré dans mon anus... Je saigne encore... SVP... vous avez dit la dernière fois que vous vouliez que je vous suce. Svp laissez-moi vous sucer à la place. Je promets que je vous sucerai vraiment bien. S'il vous plait... Laissez moi vous sucer votre bite à la place."

J'ai pris son visage dans des mes mains.

"Êtes-vous si impatiente de me sucer ma chérie ? Si assoiffée pour ma grosse bite qui coule ? Ne vous inquiétez pas, vous aurez un bon nombre d'occasions d'empaler votre gorge sur mon membre et d'avaler mon sperme... mais pas ce soir. Ce soir vous devez juste prendre ma viande dans votre petite chatte molle de nouveau. J'ai pensé à votre chatte serrée toute la journée d'aujourd'hui."

Il ne disait plus rien, juste bégayant hystériquement. Je l'ai quasiment porté dans mes bras et l'ai porté comme une jeune mariée dans la chambre à coucher et je l'ai déposé sur le lit. Sa tête se tordait tout autour comme s'il cherchait quelque part où aller, pour ramper et se cacher n'importe où. Mais il n'y avait aucun endroit où aller. Je me suis mis sur le lit à côté de lui.

"Cette fois je vous veux sur votre dos avec vos jambes au ciel comme une putain bon marché."

Sa taille était très mince et son estomac très dur et j'ai joué avec lui pendant quelques secondes. Ensuite j'ai levé sa jambe vers le haut sur mes épaules.

"Relevez maintenant vos genoux contre votre poitrine et ainsi votre chatte sera vraiment ouverte pour ma queue."

"Je ne veux pas être un pédé.... Je ne veux pas être pédé... "

Il sanglota à plusieurs reprises.

"Ne vous inquiétez pas. Ce sera notre petit secret."

J'ai frotté mon gland humide contre le trou plissé de sa le chatte et il s'est cabré de douleur. Ceci allait être vraiment amusant.

"SVP.... SVP... utilisez une capote... sur la table de nuit."

Je me suis penché au-dessus de lui et j'ai laissé un crachat de salive descendre sur son joli visage.

"Insinuez vous que je sois malade?"

J'ai pris son visage dans une main et je l'ai serré.

"Juste... juste pour être sûr. SVP.... SVP... "

Mais mon gland était déjà dans son cul... et je crus qu'il allait s'évanouir pendant une seconde sous la douleur. Ensuite ce fut une baise dure et profonde tandis qu'il pleurait jusqu'à ce que sa voix soit devenue rauque et qu'il ne puisse plus pleurer de larmes. Je l'ai baisé pendant vingt minutes. Chaque fois qu'il semblait que je risquais de jouir ... je me suis reposé avec mon membre bien enfoncé dans sa chatte, et j'ai mordillé ses mamelons jusqu'à ce qu'ils aient été tout gonflés et rouges. De la morve coulait de son nez jusqu'à sa bouche et un petit filet de sang a coulé de son cul sur le drap.

Alors j'ai plié ses jambes de au-dessus de sa tête, de manière à ce que je puisse me redresser sur son corps plié en deux et le baiser vraiment profondément. Tout droit dans ses entrailles. Il ne pouvait pas faire beaucoup plus de bruit, mais je pense qu'il a marmonné quelque chose au sujet de ce que je risquait de déchirer l'intérieur de ses intestins. J'ai craché une décharge énorme. Un geyser de foutre a fusé au fond de sa chatte de garçon abusé.

Tandis que je me rhabillais, il restait étendu immobile sur le lit... du sperme et du sang s'échappant de sa chatte.

"Qu'est ce que je vais pouvoir dire à Sally au sujet de ces tâches sur le drap..." A-t-il a chuchoté à un moment... ses pensées étant davantage sous le choc que préoccupée de détails pratiques.

"Je ne sais pas, ne lui dites pas que vous avez fait une partie de jambe en l'air. Ou dites-lui la vérité. Vous savez, j'allais vous rencontrer à la librairie demain soir pour vous enseigner comment sucer une bite. Mais moi je ne penses pas que vous aurez suffisamment récupéré pour travailler demain. Aussi vous vous ferez juste porter malade un jour de plus. Et je viendrai ici demain soir environ vers sept heures. Je suppose que votre épouse a un cours ou travaille. Si vous ne vous débarrassez pas d'elle ou si vous ne trouvez pas une excuse pour qu'elle débarrasse le plancher. J'en ai rien à foutre. Et une chose encore. Quand je marcherai vers la porte....je veux vous voir porter la robe et le voile de mariage de votre épouse " 

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net - Communauté : domination
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Je l'ai ainsi grondé et j'ai commencé à défaire mes bottes. Il s'est levé rapidement du lit. Je pouvais voir qu'il était encore mal de la baise que je lui avais donné. Avoir votre cul cassé aussi rudement peut vous briser pendant un moment. Je l'aimais petit et compact comme il était. Comme un petit garçon homme. J'aimais le corps pâle et doux, bien proportionné mais pas excessivement musclé. Un intellectuel. J'aimais comment une mèche de cheveux lui retombait sur l'oeil. J'aimais à quel point il était effrayé.

"Maintenant enlevez votre tee shirt Todd."


Todd a enlevé son short. Il a tremblé et a pleurniché tandis qu'il le faisait, et c'était un moment suprêmement érotique. Ensuite il s'est tenu nu assis devant moi.


"Allez maintenant chercher une bougie et quelques allumettes, Todd."


J'ai enlevés mes jeans, ainsi j'étais nu de la taille jusqu'en bas. Ma grosse bite s'égouttait déjà, ce que Todd n'a pas manqué de remarquer.


"Qu'est ce que vous allez faire?"


Je vous ai déjà dit que je dois vous punir pour m'avoir désobéi. Quand vous m'obéissez, je serai très gentil avec vous, comme un petit ami. Quand vous me désobéissez, je dois vous punir. Je vais chauffer vos boules."


"Nom de Dieu, Oh SVP."


Le petit intellect mignon chiffonné sur le vieux tapis et roulé en boule pleurait. Je m'étends sur le lit et j'ai joué avec mon gland, étalant le liquide pré spermatique partout sur lui, frottant les grandes lèvres de mon méat gonflées sur ma bite, observant le jeune homme marié nu sur le sol en train de pleurer.


"Todd, je pense que vous devriez savoir quelque chose. Plus vous prendrez du temps pour aller chercher la bougie, plus votre punition sera dure. Elle sera déjà assez mauvaise, aussi vous feriez mieux de bouger votre mignon petit cul récemment baisé."


Il a rampé à mes pieds. Il m'a regardé avec les yeux bordés rouges.


"Pourquoi moi? Pourquoi me faites-vous ceci? Il y a plein de types plus mignons que moi pour vous à tourmenter."


J'ai ri. "Vous pouvez le dire. Mais vous êtes une pédale, une tapette. Un garçon corrompu à sa petite maman qui ne peut probablement pas même bander correctement pour sa nouvelle jeune mariée. Elle est en train probablement d'être baisée en ce moment par un quelconque latino sur le campus pour satisfaire son con avec une énorme queue."


"Sally et moi nous nous aimons. Nous ne possédons pas beaucoup excepté l'un l'autre. Veuillez ne pas nous faire ceci à nous... à moi. Nous essayons si ardemment de faire en sorte que notre vie commune fonctionne bien."br>
"Inutile, c'est une perte de temps... et chaque à minute votre punition devient plus grave. Ainsi vous feriez mieux de trouver cette bougie et des allumettes rapidement ma petite tapette."


Il a avalé sa salive et a essuyé son nez avec le dos de son bras puis s'est tourné pour entrer dans l'autre salle.br>
"Attendez. Quand vous marchez bouger votre cul comme une putain à deux euros. Remuez vraiment cet cul quand vous marchez."


C'était vraiment truc rigolo que d'observe un jeune garçon sortit tout droit de l'université essayer de secouer ses fesses tout en marchant. Je devais rire et mon membre a eu un frémissement. Il est revenu avec une bougie et des allumettes.


"Bon reposez-vous maintenant dans ce fauteuil avec vos jambes a bien écartée et redressées bien au-dessus des bras. Tortillez votre cul vers l'avant et ainsi vous ferez descendre les boules vers le bas."


Il s'est exécuté comme je le lui avais ordonné, il était vraiment mignon à croquer.


"SVP ne me blessez pas... " As-t-il a babillé encore.


"Oh fermez votre gueule putain. Je suis fatigué du même vieux disque. C'est pour votre propre bien... Pour vous enseigner à m'obéir sans discuter. Croyez vous que je voulais faire ceci? Je voulais juste avoir ce soir un rendez-vous pour baiser gentiment avec vous."


"Mais je ne suis pas gai. Je vous l'ai déjà dit. Je ne suis pas gai. Svp..."


Je devais alors le gifler à nouveau. Qu'est ce que j'en avais à foutre qu'il soit gai ou pas du moment que je voulais juste baiser son mignon petit cul. Pour un intellectuel dévoreur de livres, il était vraiment stupide d'une certaine façon. J'ai allumé la bougie.


"Maintenant je vais faire couler des gouttes de cire sur l'arrière de vos boules. Vous gardez vos jambes avez écarté, vous entendez? Vous devez apprendre à vous asseoir toujours avec vos jambes bien écarté bien large. Ainsi vous êtes toujours disponible et toujours exhibé."


J'ai pris un de mes chaussettes.


"Refermez votre clapet sur ceci, et refermez bien la bouche, parce que ceci va vous faire mal et je ne veux pas que vous mordiez votre langue."


Il faisait un bruit régulier de pleurnicherie comme une bouilloire bouillante, et la sueur coulait sur tout son corps pâle et mignon. J'ai jeté un coup d'oeil vers son jeune anus. Les lèvres de sa chatte étaient toutes boursouflées et rouge de la baise de notre soirée précédente. J'ai mis une main sur sa cuisse lisse.


"Écoutez moi maintenant Todd. Chaque fois que même la pensée de me désobéir traversera votre esprit, je veux que vous vous rappeliez la douleur que vous allez maintenant endurer. Elle vous aidera à contrôler vos penchants récalcitrants."


J'ai soulevé la bougie et j'ai vu la flamme lécher les poils de son scrotum. Les poils raides craqués, se sont cassés et ont brûlés.


Alors la flamme a taquiné un peu la peau molle elle-même du sac de velours. J'ai continué à déplacer la bougie ainsi secteur par secteur ainsi son sac de boule ne serait pas brûlé sévèrement. J'ai vu les orteils de Todd se tordre et les muscles et les tendons dans des ses jambes s'enfler. Il a glapit et a rejeté ses hanches vers le ciel et a crié comme si on le tuait dans ma chaussette pleine de sueur. J'ai retiré la bougie et il s'est effondré dans le fauteuil.


"Tout ceci pourrait être évitée si vous juste aviez honoré notre rendez-vous de ce soir.J'attendais avec intérêt celui-ci toute la journée. Vous avez vraiment blessé mon amour propre. Maintenant encore un peu de bougie. Non, gardez vos jambes bien écartées aussi loin que vous pouvez."


Il a bougé sa tête d'un côté à l'autre avec des coups secs sous la douleur et ensuite l'a rejetée en arrière. J'ai observé son cou mince et tendre. Je l'ai vu mâcher la chaussette et j'ai noté ses yeux qui tournaient dans leurs orbites. Tandis que son zizi était seulement moyen, il était maintenant froissé et réduit à presque à rien de crainte, il avait de grandes boules mignonnes avec une belle surface que je pouvais travailler.


Je lui ai permis de détendre et de se reposer. Ses yeux bordés rouges m'ont regardé de manière pathétique. Il a sucé et a mâché la chaussette. Son corps tremblait. "


Dorénavant vous m'obéirez toujours? Vous ferez tout que je vous dirais ?"


Il a incliné la tête pour approuver.


"Bon. Nous ne voulons pas devoir recommencer une séance pareille encore, maintenant n'est ce pas ?"


Il a secoué sa tête. J'ai levé ma main et j'ai joué avec les mignons orteils d'un pied.


"Vous allez être une bonne petite amie n'est ce pas dorénavant?"


Des larmes fraîches ont roulé en bas de ses joues, mais il a incliné la tête.


Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

"SVP, puis je aller aux toilette. Cela coule hors de mon cul."

"Bien sûr, après vous lécherez ma bite pour la rendre propre. Vous l'avez rendue sale, vous la lécherez pour la rendre propre."

"Je n'ai jamais fait... Je ne peux pas... Je tomberai malade. Je vomirais. Il y a de la merde là-dessus."

"C'est votre merde, pas la mienne. Vous pensez que je la veux?"

Son mignon visage a fait une grimace horrible.

"Je pourrais... je pourrais l'enlever... Je pourrais la laver..."

"Je veux que vous la léchiez avec votre langue. Je veux que vous goûtiez votre merde tellement dégoûtante aussi dorénavant vous maintiendrez votre chatte bien propre. Et je veux que vous goûtiez le goût merveilleux de ma grande et grosse bite."

"Je ne me pense pas le pouvoir, monsieur. J'essaye, je vous jure devant Dieu, mais je ne me pense le pouvoir."

"Ou vous léchez la merde de ma bite en dix secondes, ou j'enlèverai mon pantalon, je m'assiérai sur votre visage, et je pousserai une merde au fond de votre gorge."

Il a léché ma bite. Ah, il s'en est étouffé, mais il a enlevé ses souillures. Je savais que cela allait devenir naturel chez lui.

"N'oubliez pas de lécher mes boules aussi. Il y a un peu de sperme sur elles."

Quand il a fini, il s'est étendu sur le plancher roulé en boule comme un chiffon.

"Comment se sent ont quand on est devenu un pédé ? Vous en avez toujours été un, vous savez, vous ne l'avez juste pas réalisé encore. Mais je vais vous aider à réaliser votre plein potentiel de pédale. Demain soir j'irai vous enseigner comment sucer une bite correctement et dite à bobone que vous ferez l'inventaire et que vous serez en retard à la maison ou quelque chose de ce genre demain.... Vous êtes un joli petit cul à baiser. Je vais avoir beaucoup d'amusement à vous dégrader. Maintenant vous obtenez mieux de retourner de nouveau au travail avant que vous perdiez vraiment votre travail. Rendez-vous demain à sept heures."

Quand j'ai débloqué et ouvert la porte des toilettes, il y avait deux punks adolescents attendant là pour pisser. Ils ont commencé à ouvrir la bouche, mais ont jeté un coup d'oeil dans mes yeux et ont pensé qu'il valait mieux ne rien dire. Todd avait réussit à se relever avant qu'ils l'aient vu.

Le Libraire - Partie Deux

Je n'aime pas attendre pendant un rendez-vous. Même non consensuel. Ainsi quand Todd ne s'est pas montré à la librairie à Barnes et Noble la soirée suivante, naturellement j'étais sérieusement énervé. Ce jeune chiot marié devait recevoir une leçon. Ainsi j'ai fait un saut vers son appartement. Je n'étais pas sûr s'il se rappelait ou non cela j'avais vu son adresse quand j'ai pris son portefeuille entre les étagères de livre du magasin, mais j'ai une sorte de mémoire photographique et trouver son adresse n'était pas difficile.

Pour tout dire ils semblaient joindre péniblement les deux extrémités et semblaient vivre petitement. L'immeuble était une véritable décharge au milieu d'un quartier urbain dangereux et sale. En effet Todd et sa belle nouvelle jeune mariée étaient des étudiants à peine capables d'avoir de quoi vivre. Il n'était pas difficile d'arriver à la porte vers son appartement, ces genres de bâtiments n'avaient pas de gardes de sécurité, juste trois adolescents noirs sur le perron qui m'ont demandé l'argent.

Trois adolescents noirs bien bâtis ne m'intimidaient pas, aussi leur ais-je dit que je leur donnerais un dollar chacun si ils suceraient mon cul. Pendant les cinq secondes environ il a semblé que nous pourrions avoir une bagarre, mais la lueur dans mon oeil les a averties à l'avance, et comme des animaux humiliés ils ont boudé et ont tourné le coin de la rue. Une autre nuit, je pourrais prendre l'un d'eux à la maison avec moi.

Quoi qu'il en soit, cela m'était égal car avant que je sois arrivé à la porte de Todd, ma bite sautait dans mon pantalon. Je savais que ce petit baiseur ne répondrait pas à la cloche, ainsi je ne me suis pas tracassé avec elle. Une des clés génériques que je portais avec moi a fait un tour dans la serrure périmée et j'étais à l'intérieur de l'appartement en un rien de temps.

Le petit salon était silencieux. Une petite télé se tenait sur une vieille table et une photo d'une chatte était posée là-dessus. Probablement la jeune mariée, une adolescente toute rougissante. Je l'ai étudiée et j'ai décidé je la baiserai aussi une ou deux fois elle aussi. Alors j'ai entendu le lit grincer, et j'ai avancé vers la salle du fond. Todd était dans le lit avec un short de boxeur au-dessus de son mignon cul. Autrement il était nu. Je le voulais totalement nu.

Il leva un bras pâle et lisse au-dessus de ses yeux. Sa monture noire de lunette était sur la table de chevet avec sa boîte avec une canette de coke et une boîte de préservatifs. Il y avait également un téléphone.

"Bonjour, Todd..." J'ai dit tranquillement.

Le bras s'est jeté arrière et la tête s'est soulevée. Les yeux se sont ouverts en grand d'horreur.

"Vous!" a-t-il a moitié chuchoté, puis a roulé sur le lit et tenta d'atteindre le téléphone. J'étais sur lui en une seconde. J'ai jeté le téléphone hors de sa portée et je l'ai plaqué au mur. Alors je l'ai renversé en arrière sur sien dos et j'ai écarté ses jambes.

"Oh mon Dieu. Oh mon Dieu... Oh mon Dieu... " Dit-il à plusieurs reprises, un peu de mousse de salive coincée dans le coin de sa mignonne bouche.

"Vous n'avez pas révélé notre rendez-vous. C'était très mal de votre part."

"Je... Oh mon Dieu... Je ne pouvais pas, vous m'avez tellement blessé. Je puis à peine marcher. Je... Oh, mon dieu." Le pédé devenait ennuyeux.

"Où est la chatte?" "Je... elle revient dans quelques minutes avec des amis... elle... "

Il mentait, aussi je lui envoyais une gifle sur son visage dans l'oreiller. Alors j'ai abaissé ma main et j'ai poussé trois doigts dans sa bouche molle, l'étirant comme une chatte vierge. Ensuite j'ai soulevé vers le haut sa tête entière par mes doigts dans sa bouche.

"Pas de foutu mensonge avec moi. Là où est la chatte?" J'ai tiré mes doigts de d'entre ses lèvres. Il a toussé.

"Elle est à l'université," avoua-t-il enfin.

J'ai abaissé ma main à nouveau et j'ai commencé à tordre ses mamelons comme des cadrans sur une radio. Il a grimacé et a gémi.

"Quand est ce que cette vide couille rentre-t-elle à la maison? Il mâchait sa lèvre inférieure, engloutissait et renâclant comme un poney. J'aimais la manière dont il jetait un oeil pour me voir.

"Elle... qu'elle revient à la maison aux environ de dix heures et demie. Svp veuillez ne faire rien à elle. Blessez-moi, mais SVP ne la blessez pas. Svp. Elle est une fille vraiment sensible. Elle est... "

"Si vous êtes un vraiment bon garçon et faites tout que je dis, je promets que je ne la blesserai pas. Je ne veux pas blesser quelqu'un. Je veux juste avoir un peu d'amusement. Maintenant vous avez été un mauvais garçon et vous devez être punis pour avoir oublié notre rendez-vous, n'est ce pas ?"

"Svp, monsieur. Je ne pourrais pas. Vous m'avez vraiment blessé. J'ai dit à Sally que je suis tombé en bas de quelques escaliers. Mon cul me fait vraiment très mal."

"Vous m'avez désobéit et vous avez besoin d'être puni, et nous allons faire cela tout de suite. Maintenant sortez du lit, enlevez vos sous vêtement et allez cherchent une bougie et quelques allumettes dans le salon. Et n'essayez pas de quitter l'appartement. Ce serait vraiment stupide."

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Il a secoué sa belle tête lentement.

"Ne me faites pas ceci. Veuillez SVP ne pas me faire ceci."

"La Sally a-t-elle une chatte bien serrée ? Je me demande si avec mes 22 centimètres je me sentirai bien dans sa petite chatte serrée."

Je lui ai remis ses verres, et redressé sa tête, il a marché vers les toilettes des hommes avec ses bas de chemise hors de son pantalon et son avant de chemise grand ouvert. Il se rajusta. Je savais que c'était inutile, j'avais vérifié les alentours assez soigneusement et excepté la vieille chienne qui était probablement retourné à sa voiture avec un clitoris tout palpitant, il n'y avait pas beaucoup de gens autour. Excepté le garçon âgé de sept ans dans la section des bandes dessinés.

J'ai marché jusqu' au garçon qui était très mignon.

"Hé, le gosse, le type qui est juste entré dans les toilettes a laissé tomber son portefeuille. Je te donnerai un dollar si tu le lui rend."

Je n'ai pas vu la scène dans les toilettes, mais je pouvais imaginer l'humiliation de Todd, se tenant là avec sa bite sortie et se tenant assez loin de l'urinoir pour l'exhiber, son pantalon roulé autour de ses pieds. Sa chemise grande ouverte... ainsi ce petit garçon a pu tout voir.

Le gosse est revenu en courant avec une sorte de frayeur dans le regard sur son visage. Je me mis à rire. Je suis entré dans les toilettes pour voir Todd se tenir là, rouge lumineux d'embarras, ses mains cachant ses parties génitales.

"Espèce de putain de bâtard... " Il a pleuré.

Brave garçon courageux. Je n'ai pas ri et je ne me suis pas offensé. Je me suis retourné et j'ai fermé à clef la porte des toilettes. Alors j'ai marché jusqu'à lui et j'ai remonté sa chemise sur ses épaules, le laissant ainsi montrer son joli cul tout nu. Je l'ai poussé sur ses genoux.

"Mettez votre visage dans cet urinoir," j'ai crié, en abaissant mon propre pantalon.

Il faisait des bruits comme s'il ne trouvait pas son souffle, aussi je lui donnais une claque sur les fesses. Il a enterré son visage dans l'urinoir puant la pisse.

"Léchez maintenant. Je veux vous voir et vous entendre lécher jusqu'à ce que l'urinal soit propre."

Tandis qu'il léchait l'urinoir, s'étranglant à moitié à chaque grand coup de langue, j'ai jeté un coup d'oeil plus précis vers son cul. C'était une beauté, vraiment. Les fesses chauves parfaitement musclées, la gentille fente bien profonde, et entre, l'anus rose le plus doux et le plus serré vous pourriez jamais voir.

J'ai massé ses joues fessières et les ai écartées bien à part. Il pleurnichait.

"SVP ne faites pas cela... Veuillez ne pas me baiser."

"Contentez vous de rester là en léchant la pisse. Cela suffira. Cela arrivera en un rien de temps.

"J'ai mis un peu de salive sur mon gris gland et je l'ai placé sur sa chatte.

"NNNNOOoooooooooo SVP ne faites pas cela... oh nooooooooon" a-t-il a gémi à plusieurs reprises comme une sorte de mantra asiatique.

J'ai mis une main autour de ses fesses et j'ai commencé à doigter son zizi flasque de 12 centimètres. Je l'ai serré pendant un certain temps juste pour l'amusement et j'ai roulé ses couilles dans ma main, tout en poussant avec mon gland sur son anus.

"Vous allez aimer être baisé une fois que vous y serez passé. Je peux le dire. Vous allez devoir être baisés plusieurs fois par jour. Je connais quelqu'un gosse que vous me rappelez. Il a dix-huit ans et est le serveur d'un de mes restaurants préférés. Il croyait qu'il était hétérosexuel... ayant baisé plein de filles pendant le lycée. Après quelques mois avec moi, il était renseigné sur sa vraie nature. Maintenant il ne peut tenir s'il n'a pas une bite bien au fond de sa chatte toutes les deux heures. Le gosse doit être baisé au moins cinq fois par jour... C'est comme un penchant pour la drogue. Hé, peut-être c'est pourquoi on l'appelle une 'a-dic-tion' (jeu de mot intraduisible avec 'dick' qui veut dire bite). Quoi qu'il en soit, tout qu'il pense à propos des bites et de pouvoir être baisé. Vous allez être comme cela, je pouvez le croire."

J'ai levé la main j'ai actionné la chasse d'eau de l'urinoir sur sa tête. En même temps j'ai forcé mon gland dans son anneau culier. Il a crié et est tombé en avant, son visage coincé dans l'ouverture de l'urinoir. J'ai poussé ma bite dedans jusqu'aux boules. Je l'ai tenu par la taille et j'ai frappé son petit corps contre mon aine. Il faisait toutes sortes de bruits inhumains.

Je notais un morceau de chewing-gum mâché au fond de l'urinoir pisseux.

"Mâchez cette gomme, espèce de pédé," ais-je crié, en claquant mon membre plus profonde dans ses entrailles.

Qui sait combien de types avait pissé sur ce chewing-gum... combien imbibé de pipi d'homme et de garçon il était... et qui l'avait mâchée d'abord. Il l'a gratté péniblement de la cuvette et a commencé à le mâcher, s'étranglant et pleurant, ouvrant la bouche pour respirer pendant que je le violait pour ouvrir son rectum pour la première fois.

"Pensez combien votre épouse désirerait ma bite. Pensez comme elle aimerait sentir un vrai membre d'homme en elle au lieu d'une cacahuète."

Je dois vous dire qu'au point où j'étais excité, cela n'a pas pris beaucoup de temps. Habituellement je me fais sucer avant que de baiser et ainsi cela peut durer plus longtemps, mais cette fois cela ne s'est pas produit de cette façon. J'ai tiré une décharge au fond de son cul tandis qu'il balbutiait quelque chose au sujet de la protection et de la maladie et ce genre de merde. Je me suis reposé sur lui enfoncé dans son cul jusqu'à ce que mon membre se soit assez calmé pour pouvoir le retirer. Alors je l'ai saisi par les cheveux et l'ai tiré d'un coup sec en arrière.

"Voyez cela? C'est de la merde et du sang sur ma bite. Le sang est prévisible les premiers temps. Mais je n'aime pas avoir une bite merdeuse. Dorénavant vous maintiendrez votre trou impeccable pour moi. Vous achèterez un nécessaire à lavement et vous l'utiliserez trois ou quatre fois par jour. Je ne veux pas voir une seule strie de merde sur ma bite la prochaine fois que je vous baiserez."

Il était hystérique... ses verres étaient striés d'eau et de pisse. Son nez coulait beaucoup. Ses yeux étaient rouges.

"Il... n'y aura pas une fois suivante... Je... Je..."

"Fermez la espèce de pauvre merde pathétique. Il y aura une fois suivante... et la prochaine fois ce sera demain soir. La même heure, au même endroit. Mais demain soir vous porterez la paire de jeans la plus serrée que vous pourrez acheter. Si je ne puis pas voir chaque ride sur votre bite, vous serez vraiment désolé. Et aucun sous-vêtement. Aucun sous-vêtements jamais, à moins que je dise différemment. Et un tee shirt blanc...... et très étroit. Je veux voir la couleur de vos mamelons à travers le tissu. Et ne me parlez pas de règlement du travail sur la tenue ou ce genre de merde, vu que je vois une abondance de commis en jeans ici."

"Qu'est ce... Qu'est ce que je dirais à mon épouse. Je ne m'habille jamais comme cela.

"Qu'est ce que j'en ai à foutre. Dites-lui que c'est la nouvelle tenue. Dites-lui que vous rencontrez votre amant. Maintenant votre cul va vous blesser un peu ce soir et demain. Mais c'est normal. La première fois que vous aller chiez, le sperme et le sang sortira, mais cela s'arrêtera bientôt. Vous allez faire une bonne chatte ... que vous pouvez avoir de la fierté pour cela. Faites-moi juste confiance. Je sais ce que je fais. Ah, et plus de baise avec votre épouse jusqu'à ce que je vous en donne la permission. Désolé de cela, mais soyez tout sera pour le mieux à la fin, vous verrez. Et demain soir vous me ferez une biographie complète de votre vie. Je veux tout savoir, votre école, votre famille, vis frères ou de soeurs...... tout. Je veux savoir combien de chiennes vous avez baisées et quand et combien de fois. Je veux savoir combien de fellations vous avez eus et vous avez intérêt à me faire des descriptions détaillées. Je veux savoir les noms et les âges des chattes. Je veux savoir qui sont vos amis et tout savoir au sujet de votre épouse et de sa famille. Cela rendra nos jeux plus intéressants, je vous le promets."

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Après le baiser, je pouvais voir qu'il était vraiment déboussolé. C'était crucial pour mon plan. Ses lèvres étaient pleines de ma salive et un peu rouges là où je l'avais mordu. Ses yeux étaient affolés et ses cheveux arachnéen et lisses étaient en désordre et humide sur son front


"SVP..." parfait. Le mot le plus parfait du français. Svp. Voulez dire soumis qui voulez dire lopette qui voulait dire putain de truie esclave, je savais que je l'avais à ma main et ma bite s'est tendue.

"Vous ne pouvez pas me faire ceci.... vous ne pouvez pas." A-t-il prié pendant que je cherchais son sexe à tâtons. Sentant un gentil morceau mais plutôt petit de bite et de couilles.

"Fermez-la, je veux vous palper le cul."

Il s'est tenu là serré contre moi en se secouant tandis que je palpais ses fesses arrondies et serrait ses fesses entre mes mains.

Alors je me suis reculé et j'ai regardé autour. Personne d'autre en vue. Sa chemise blanche était collée contre son corps mince avec la sueur.

"Ouvrez votre chemise et montrez-moi vos seins." J'ai dit tranquillement.

"Non, je ne peux pas!" dit-il.

THWACK! Ma main a claqué sa jeune joue molle et vous pouviez voir les empreintes digitales.

"Ouvrez votre chemise."

"Quelqu'un pourrait venir... " Dit-il, pas très fort et avec un minimum d'énergie. Ce garçon était d'un naturel docile et féminin.

THWACK! Sa tête s'est pliée vers la gauche et il est tombé contre une étagère de livres, faisant tomber cinq ou six livres sur la moquette.

"Si vous faites jamais n'importe quoi d'aussi stupide comme cela encore, je jure devant Dieu que je réduirait vos testicules en bouillie. Vous comprenez?"

Je le tenais par les boules quand j'ai dit ceci. Il essayait de se dandiner sur la pointe de ses orteils pendant que je soulevais son corps en empoignant son paquet.

"Oh mon Dieu SVP..... Mon Dieu. Oh vous ne pouvez pas me faire cela. Je suis marié. Je suis un homme marié."

Cela me fit faire une pause.

"Vous... marié? À une fille?"

Il a essayé de parler en sa faveur.

"Je vous ai dit que, je ne suis pas gai. Je ne suis pas votre type. Je suis hétérosexuel. Je me suis juste marié il y a deux mois. J'aime les filles."

Je criais d'une voix enrouée.

"Je parierai que vous êtes un vrai nul dans le lit avec votre jeune mariée. Combien de fois la baisez vous?"

Il juste se tenait juste là, sa bouche bougeant mais sans qu'aucuns mots n'en sorte. Il était consterné. J'ai saisi son visage et je l'ai serré durement.

"Combien de fois baisez-vous votre épouse?"

Ses lunettes ont sauté de son visage et sont tombés sur la moquette. Il a commencé à pleurer vraiment.

"Je ne sais pas combien....Je ne sais pas... "

"Vous ne vous savez pas combien de fois vous baisez votre épouse? Mauvaise réponse."

Je l'ai secoué par la tête jusqu'à ce que ses pieds aient été décollés du plancher.

"Oh mon Dieu SVP. Trois ou quatre fois par semaine."

"Vous êtes une tapette pathétique. Une femme doit être baisée trois ou quatre fois par jour par une vraie bite d'homme. Votre mariage est condamné dès le début. Vous êtes nés pour être une putain de tapette et vous le savez. Vous essayez juste de le lui cacher. Combien de bites avez-vous déjà sucé?"

"Jamais. Jamais... je le jure devant Dieu. Je n'ai jamais fait quoi que ce soit de pareil. Veuillez vous en aller et laissez-moi seul. Je ne le dirai à personne"

"Regardez moi lécheur de cul. Est-ce que j'ai l'air d'avoir peur?"

"Non. Non vous n'avez pas l'air."

Sa voix était calme et les larmes ont roulé en bas de ses joues. Sa chemise était un torchon trempé.

"Maintenant vous avez perdu assez de mon temps. Ouvrez votre chemise et laissez-moi voir vos seins."

"Je suis un homme marié... "

A-t-il pleuré à demi silencieusement pendant qu'il enlevait sa cravate et déboutonnait sa chemise blanche. Sa poitrine était lisse et sans poils. Bien formé mais pas trop musclée, comme un de ces garçons d'une équipe de natation au lycée. Il avait de petits mamelons à peine d'un demi bonnet A. La sorte que j'aime travailler. J'ai tendu la main et j'ai tordu ses mamelons. Il s'est tenu là, les yeux baissés, mâchant sa lèvre, pleurant.

"Quand j'en aurait fini avec vous, ces mamelons vont pointer de cinq centimètres et ressembler aux des mamelles d'une putain de truie."

"Avez-vous fini avec moi?"

Ses yeux ont osés rencontrer les miens. Il y avait une terreur totale dans son regard.

"C'est exact. C'est le début d'une belle amitié. Nous allons passer plein de bon temps ensemble, jouant à des jeux. Mais ne vous inquiétez pas... ces jeux ont des règles très simples. Je vous dis quoi faire et vous le fais. C'est très simple. Vous prendrez le coup en un rien de temps"

"Je ne peux pas. Je veux dire, que dire à mon épouse?"

Je l'élevais vers le haut sur le bout de ses orteils encore, cette fois par les seins.

"Si vous me voulez moi aussi, je lui parlerai. Je ne m'occuperais pas. Peut-être elle pourra-t-elle même observer. Peut-être que je la baiserai aussi."

"Oh mon Dieu..."

Il est devenu faible dans les genoux et tenait presque accroché par ses mamelons. Je devais le gifler pour le faire relever.

J'ai rapidement tendu la main vers le bas et j'ai pris son portefeuille dans sa poche arrière. Je l'ai tenue vers le haut et l'ai renversé ouvert, en vérifiant ses nom et adresse.

"Maintenant Todd... voici ce que je veux que vous fassiez. Je veux que vous entriez dans les toilettes et m'attendiez. Je veux que vous vous teniez devant un des urinoirs avec votre pantalon et votre slip baissé autour de vos chevilles. Ne les relevez pas su quelqu'un entre jusqu'à ce que j'entre et je vous dise quoi faire. Si vous foutez la merde dans cette situation, je jure, j'irai jusqu'à votre maison et violerai votre épouse. Je la déchirerai et lui ferait une nouvelle chatte. Et je ne plaisante pas."

Il commença à reboutonner sa chemise. Je l'ai giflé durement encore. Son nez a commencé à saigner. Il a pleurniché de confusion.

"Je ne vous ai pas dit de reboutonner votre foutue chemise. Vous entrez dans les toilettes comme cela.

"Les gens me verront... Je perdrai mon travail."

Sa voix était très discrète et douce maintenant, de peur qu'il m'irrite.

"Allons, ce n'est pas si terrible."

"Je ne peux pas perdre mon travail. Sally et moi nous pouvons à peine tenir les deux bouts extrémités se réunir. Elle va à l'université et moi je travaille à mi-temps. J'ai besoin... "

"Je n'ai pas besoin de connaître la foutue histoire de votre vie. Bougez votre cul et entrez dans les toilettes hommes maintenant. Pantalon et sous vêtement autour de vos chevilles... vous tenant devant l'urinoir... deux pieds en arrière de l'urinoir.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

J'étais dans une de ces grande nouvelle librairie... vous savez, le genre qui font aussi café-restaurant et qui vendent des CD et toute cette merde, quand soudainement mon membre est devenue douloureusement dur. J'admets volontiers que je ne commande pas mon membre, il me commande. Et je préfère que cela soit ainsi. Peut-être est ce un choix que j'ai fait, je ne sais pas, mais je laisse maintenant mon membre me mener, et heureusement j'ai l'esprit aventureux et des couilles prêtes à suivre même dans des situations potentiellement dangereuses.

Donc là j'étais dans le rayon Barnes and Noble quand j'ai vu ce commis. C'était un employé typique d'un magasin de livre. Petit, d'environ un mètre soixante dix, cheveux blonds couleur de sable, des verres avec une grosse monture noire, et n'avait rien d'un un athlète. Il avait environ vingt ou vingt et un ans, mais semblait en faire seize. Son visage de garçon lisse ne montrait aucun signe de barbe. Il avait cependant un air vraiment mignon et un cul rond gentiment serré à botter.

Je savais immédiatement que je devais l'avoir. Pas simplement le baiser, mais l'avoir. Complètement. Il semblait tellement sensible et intellectuel que je pourrait facilement le casser pour le transformer en lope à baiser obéissante, prête à ramper pour me lécher. Aucun doute n'a traversé mon esprit, même une seconde, j'étais sûr que je pourrais faire cela. Peut-être cela venait-il de mes nombreux et étonnant succès... Je n'ai jamais pensé que je pourrais échouer.

Aussi je m'avance jusqu'à la précieuse petite tapette je marche et je m'attarde aux environs, haut de plus de deux têtes que lui.

"Heu, puis je vous aide monsieur?" J'aime cela... monsieur. Mais le "heu" disait tout. Une vrai fragile et petite tapette, peu sûre d'elle. J'ai décidé de le coincer contre le mur immédiatement, émotionnellement je veux dire.

"Ouais. Vous avez des livres sur la baise ?" Ses yeux se sont écarquillés derrière ces verres et son nez légèrement incurvé s'est froissé. Il a clignoté des yeux. Il avait les cils longs et féminins.

"Heu... " Et il a cligné des yeux encore. " la section sur la sexualité est en haut."

"Bon pouvez-vous me la montrer s'il vous plait... ou êtes vous trop occupé à trier ces cartes de vœux ?" Je n'allais pas le laisser s'en tirer comme cela. De cette façon je pouvais juger à quel point il était docile. S'il refusait ou s'esquivait ou appelait un directeur, je pouvais abandonner. Mais la petite chatte accepta l'abus.

"Ah ... certainement. Suivez-moi." J'ai eu un moment une envie infernale de lui mettre la main aux fesses dans l'ascenseur. Il portait des pantalons foncés qui mettaient vraiment en valeur son cul. Je pouvais voir qu'il était nerveux. Peut-être ce jeune homme était toujours nerveux, ou peut-être que je l'avais rendu nerveux. J'ai espéré que c'était la seconde option qui était la bonne. Il m'a accompagné et nous sommes passés devant la section science-fiction et derrière les livres policier et de mystère nous sommes arrivés à la section des livres sur les relations humaines et la sexualité. J'ai balayé du regard l'étagère, en ayant une expression gênée.

"Non... vous n'avez aucun livre porno?"

"Heu, je ne suis pas sûr exactement de ce que vous voulez dire... Je veux dire...

"Vous ne savez pas ce que je veux dire? Par le Christ, est-ce qu'il emploient des eunuques ici ou quoi ? Je suis intéressé par des livres pornos. Des gens en train de baiser. Plus spécifiquement des types baisant des types."

Quoique c'ait été l'été, ce chiot mignon n'était pas très bronzé, et maintenant son visage était devenu rose de gêne. "Heu... la section gaie et lesbienne... "

J'ai mis une main sur son épaule. Je l'ai saisi juste assez fort pour le tenir fermement. Son corps entier a tremblé.

"Je ne veux pas des livres sur le style de vie gai et lesbien... Je pourrais écrire une encyclopédie au sujet de ces styles de vie. Je veux un bon livre porno avec des types baisant des types. Vous voyez, je suis vraiment excité et je veux me branler."

Il a regardé vers moi et a léché ses lèvres. Il semblait très excitant quand il a fait cela.

"Je ne puis pas vous aider." dit-il faiblement.

"Bien sûr vous le pouvez. Si je ne peux pas trouver un bon livre pour m'exciter... je devrai simplement vous employer."

Je dis cela en malaxant son épaule avec ma main. Merde, il portait une cravate vraiment laide.

"Je vous demande pardon?"

J'ai levé ma main et j'ai saisi sa mâchoire à la peau douce et imberbe dans ma main.

"Cela ira, pour cette fois. Seulement dorénavant je ne veux pas devoir me répéter. Nos relations se résumeront au fait que je vous dirais quoi faire et que vous le ferez. Vous avez compris cela?"

Il a osé lever sa de main jusqu'à mon poignet, aussi je l'ai secoué et je l'ai giflé durement. Il ne pouvait pas croire que je venais juste de faire cela. Il s'est tenu là une main posée sur son visage rouge au milieu des livres, ses genoux tremblant. Est qu'il allait appeler à l'aide ? Je ne le croyais pas.

"Je ne comprends pas ce que... " A-t-il chuchoté, en ajustant ses lunettes sur son nez.

"Je suis excité. Je dois tirer ma décharge. Si vous n'avez aucun livre pour m'aider, je devrai vous utiliser. C'est aussi simple."

Il a englouti sa salive et a essayé de se redresser.

"Pourquoi n'allez vous pas dans une librairie porno pour cela. Je vais appeler le directeur."

Je pouvais deviner qu'il ne le ferait pas parce qu'il ne s'est pas déplacé. Il était dégoulinant de sueur... coulant jusqu'en bas de son mignon visage dans son col de chemise. J'ai souri et j'ai fait courir mes doigts sur mes cheveux.

"Bien... vous allez me servir ici. Je vous dois des excuses. J'étais prudent. Je n'ai jamais vraiment voulu un livre porno. Dès le début que je voulais juste baiser votre mignon petit cul."

Il a cligné des yeux derrière ses verres et a mâché sa lèvre inférieure. Il ne savait pas où mettre ses mains aussi elles sont allées dans des ses poches.

Alors j'ai descendu ma main et j'ai saisi ma bite et mes couilles à travers mon pantalon. Ses yeux ont suivis ma main comme un bon pédé qu'il était.

"Vous savez, je ne suis pas très bon pour approcher les types. Je ne dis pas toujours ce qu'il faut. Mais maintenant que nous savons ce que nous voulons tous les deux en la matière, pourquoi nous n'entrons nous pas dans la salle de bains et ne baiserions pas."

Je peu dire qu'il semblait vivre un genre de cauchemar, ce qui est là où je voulais juste l'emmener. La confusion multiplie la soumission.

"Vous avez contacté le mauvais type, Monsieur. Tout d'abord, je ne suis pas gai."

J'ai souri, serrant toujours mon membre qui s'était développée de vingt centimètres en bas de ma jambe de pantalon.

Quoi ? Que dites-vous ? M'avez-vous entendu? J'ai dit que je ne suis pas gai."

Sa voix était devenue plus haute et moins assurée.

"Oui je vous ai entendu, et franchement je ne m'inquiète pas de cela. Que m'importe-t-il ce que vous êtes? Je veux juste baiser votre mignon cul."

 Je me suis déplacé dedans rapidement et j'ai saisi le dos de sa tête. Il n'avait pas eu le temps de s'échapper. Je lui ai tordu un bras vers le haut derrière son dos, le plaquant contre mon corps. Je suis sûr qu'il a senti mon membre dur. J'ai regardé son visage jeune et fin.

"Embrassez-moi." J'ai dit.

J'ai tiré son bras d'un coup sec vers le haut et il s'est mis sur la pointe de ses pieds, mais je devais encore me pencher vers le bas pour planter mes lèvres sur son visage. Il a essayé de se tortiller, mais pas pour longtemps.

"Si vous voulez un bras cassé, continuez juste comme cela."

J'ai plaqué ma bouche en plein contre ses lèvres molles. J'ai alors forcé ma langue entre ses lèvres. Il a fait une sorte de gémissement. J'ai retiré ma langue.

"Regardez connasse. Vous avez une nouvelle chance. Ouvrez votre bouche et échangez votre salive avec moi, ou je vais tordre votre maudit bras à vous en faire pleurer."

Il était comme une poupée de chiffon dans des mes mains. Presque trop facile. J'ai violé l'intérieur de sa bouche avec ma langue. C'était pendant notre premier baiser qu'une vieille dame est arrivée et qu'elle nous a vus. Elle s'est figée, ses yeux brillait de colère, écarquillés hors de sa tête sous sa permanente bleue.

"Excusez-moi... " A-t-elle a murmuré et a rebroussé chemin. Elle était probablement sortit de chez elle pour se mettre un doigt dans sa chatte pour la première fois en vingt ans et ainsi d'une certaine manière ce baiser public lui rendait service


Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

La nuit suivante mon membre était rigide quand j'ai ouvert son E-mail. Elle disait qu'elle avait prétendu être malade pour partir de l'école ce jour et avait été rendue moitié-fou et avec une érection constante, le clitoris coulant tout le temps d'attendre que le courrier arrive, car ainsi elle pourrait le prendre avant que n'importe qui d'autre puisse voir ou toucher le paquet tant attendu.

Avant que le courrier soit finalement arrivé tôt dans l'après-midi, elle a dit qu'elle avait complètement imbibé ses sous-vêtements avec ses jus de fille.

Été attachée à son E-mail la série de photos que je lui avais ordonné de prendre, en train de prendre du plaisir avec le paquet: d'abord, sur ses genoux, en tenant le paquet non-ouvert jusqu' à son nez et essayant de sentir son contenu; ensuite une série de photos montrant comment il ouvrait lentement et avec reconnaissance le paquet et tenant le sac plastique sur son nez, imaginant et rêvant à l'odeur de son contenu; ensuite finalement ouvrant le dessus du sac et pour la première fois lentement et profondément inhalant mes odeurs masculines.

Elle a écrit que l'odeur violente de mon slip a frappé sa tête comme un puissant narcotique et l'a mise dans un état d'excitation sexuelle elle ne l'avait jamais éprouvé avant.

Après avoir pleinement vénéré, senti et goûté la poche de mon slip, elle a passé la courroie soigneusement au-dessus de sa tête de sorte que la poche ait recouverte son nez et sa bouche. Me sentant et me goûtant, elle s'est touchée et a frotté son clitoris raide jusqu'à ce qu'elle ait eu la jouissance la plus puissante de sa jeune vie.br>
Elle a dit que son orgasme était si intense elle ne pu s'empêcher de crier et gémir tandis que son jus de fille giclai violemment à plusieurs reprises et encore et encore, souillant son visage, sa poitrine et son ventre avec ses jus chauds et humides de femelle.

 Elle a dit qu'elle haletait comme si elle avait couru un marathon plusieurs minutes après son orgasme. Heureusement, personne d'autre n'était alors à la maison pour entendre ses cris perçants de plaisir intense.br>
Elle utilisa mon slip encore deux fois cet après-midi pour obtenir des orgasmes violents, a chaque fois giclant ses décharges de fille sur son beau jeune corps en mon hommage et à ma masculinité.

Au cours des jours à venir, elle m'a envoyé le journal qu'elle tenait sur la façon dont elle avait l'habitude d'utiliser mon slip pour l'amener à un plaisir intense. Je lui ai ensuite expédié deux culottes féminines sexy. Je lui ai dit qu'il n'était pas naturel pour une fille de porter des sous-vêtements des garçons. Je lui ai ordonné de porter une culotte à tout moment sous ses vêtements et cela aussi bien à l'école et qu'à la maison et ne pas les laver sans ma permission.

Vers la fin de la semaine, elle m'a rapporté que les deux culottes étaient devenues dures et encroutées de ses jus de fille et que son clitoris raide fuyait constamment tout le jour pendant qu'elle pensait à moi et à mon odeur impressionnante.

Vers la fin de la semaine, j'ai su que le temps était finalement venu de prendre des arrangements pour rencontrer cette fille en personne et pour l'amener au prochain niveau de dévotion et de soumission envers moi.br>
La suite à venir.. Attente des chapitres suivants

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Assez sûr de moi, je me suis réveillé ce mercredi matin pour constater que mon instinct et ma patience avaient été récompensés. Jason m'avait écrit dans un long et détaillé E-mail ce qu'elle était devenue au cours des derniers jours. J'aurai pus avoir écrit cette putain de prose moi-même, après avoir lu une demi-douzaine ou plus d'E-mails tellement si semblables au cours des 10 dernières années.

Elle me disait que lorsqu'elle avait reçue mes instructions, elle avait été très excitée et avait rapidement commencé à lister une série de choses qu'elle voudrait subir d'un homme: elle voulait être attachée sur le ventre sur mon lit et fouetté avec ma ceinture en cuir; elle voulait être forcée d'enfoncer sa tête dans mon bas ventre en sueur et musqué jusqu' à ce que mon membre dur et épais ait été complètement enfoncé au fond de sa gorge, l'étouffant; elle voulait avoir sa chatte douce et serré ouverte et forcée par ma bite épaisse et rigide et puis rudement et complètement baisé jusqu'à ce que mon membre crache violement ses jets de sperme chauds et épais profondément à l'intérieur d'elle, pour lui faire finalement ressentir complètement sa vraie nature de femme qu'elle était faite pour être.

Après qu'elle ait terminé sa première liste, elle s'est arrêtée. Elle savait que la liste était inachevée, mais ne savais pas pourquoi. Au cours des 48 heures suivantes, elle a dit qu'elle avait éprouvé des vagues de sentiments d'un fort dégout d'elle-même et cela étaient si intense qu'elle avait parfois ressentie comme si elle devait aller vomir. Dans la nuit de dimanche, le plus mauvais semblait passé, mais elle ne pouvait toujours pas se confronter à nouveau à la liste.

Après la nuit de mardi, un profond sentiment a semblé s'être emparé de son esprit et de son corps et elle a dit elle s'est sentie mieux et qu'un certain calme et une paix intérieure l'a envahie. Incapable de dormir, au milieu de la nuit elle s'est retrouvée à retourner à la liste et a l'enrichir presque automatiquement. Cette fois, alors, elle avait ajouté des choses bien plus crues sur le thème du service et de la dévotion. Elle a dit qu'elle désirait fortement me masser, me baigner et me servir quels que soient mes désirs et mes besoins.

Je savais qu'elle avait atteint et avait dépassé une étape critique dans sa transformation en tant que belle et docile jeune femelle. Elle avait évolué au-delà de ses propres fantasmes de longue date sur ce que signifiait d'être une chienne docile et d'entrer dans le monde sans limites où elle devait servir et implorer un vrai homme pour ce qu'IL exige et souhaite exactement sans en connaître toutes les conséquences et ce qu'il pourrait survenir.

C'est l'ouverture de son esprit et âme de femelle à travers laquelle l'homme peut alors se faire un chemin et remplir de sa force, de sa propre personnalité et de sa volonté supérieure. Une fille doit accepter son sort et vouloir être formée selon la volonté et les désirs de l'homme. Ceci était, je le savais, l'état où Jason se trouvait maintenant, quoique sans aucun doute elle n'ait pas complètement compris ce qui lui arrivait.

Tandis que je lisais l'E-mail de ma fille docile et tout ce qu'elle énumère dans sa liste, mon membre épais était devenu complètement rigide. L'honnêteté évidente et l'extrême soumission de cette belle jeune fille m'ont rendu extrêmement excité. J'ai su qu'elle était ouverte et vulnérable d'une manière qu'elle ne s'était jamais permise d'être avant dans toute sa vie.

Je lui ai dit que j'étais très fier d'elle et que je savais qu'il n'était pas facile de passer par ce qu'elle était passée. Je lui ai également dit que je lui avais fait un cadeau très spécial : mon jockstrap sale et souillé. Je lui ai décrit comment je l'avais porté au cours du week-end précédent tandis que j'avais aidé mon ami à déménager et pendant tous mes longues matinées de jogging. Je lui ai décrit comment la poche était devenue dure et rugueuse avec ma sueur, mon liquide pré spermatique et ma pisse. Je lui ai dit que j'avais alors craché deux décharges énormes de mon sperme dans la poche et que je l'avais rapidement scellé hermétiquement dans un sac plastique, bien au frais pour elle.

Je lui ai demandé si elle voulait que je la lui expédiasse. Quand elle a répondu en disant qu'elle m'en implorée et qu'elle en avait vraiment besoin, j'ai su qu'elle était complètement honnête. J'ai su également qu'une fois qu'elle m'aurait senti et m'aurait goûté à travers la poche de mon jockstrap, elle aurait un incontrôlable de gouter à la source de toutes ces odeurs. Comme un drogué complètement accro, elle ferait quoi et tout ce que je lui demanderais pour obtenir sa drogue.

Cette chienne vivait dans une ville voisine (à environ quatre heures de voiture) et je lui ai promptement expédié ma poche puante le matin suivant. J'y ai inclus des instructions lui demandant une série de photos d'elle-même appréciant mon jockstrap que je voulais qu'elle me prît et m'envoyât.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Derniers Commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés