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Et bien, je n'étais vraiment pas surpris, ni fâché, quand j'ai constaté que ma fille docile Minou (comme j'ai appris que ces pédales aiment se faire appeler) ne m'avait pas écrit comme elle en avait l'instruction au sujet de ses fantasmes secrets les plus profondes et sur le fait d'être utilisée par un vrai homme. Vous voyez, j'ai su par expérience que si cette pédale était vraiment aussi jeune et inexpérimenté qu'elle avait prétendu l'être dans ses E-mails, ce genre de chose se produirait.

La vérité est que ces jeunes chiennes offertes, en raison de leur profond conditionnement de toute la vie social à cacher ce qu'elles sont vraiment à tout prix elles, ne peuvent pas se confronter à ce qu'elles sont et ce qu'elles veulent devenir. Elle ont passée une vie - que ce soit durant 16 ans ou 50 ou plus - en essayant de se conformer aux conventions sociales de ce que signifie d'être un homme.

Malheureusement pour la pédale, elle est emprisonnée dans une situation désespérée: Plus elle lutte pour être quelque chose qu'il est impossible qu'elle soit -- un homme -- plus son désespoir et son sentiment qu'il est irrémédiable se développe. Si cette dépression n'est pas traitée, la fille peut se tourner vers l'alcool, les drogues, le sexe compulsif ou même les mesures plus les extrêmes pour se soulager de son désespoir.

Par conséquent, il est primordial de manipuler avec précaution une jeune fille sensible à cette étape de son développement. Poussez-la trop dur ou trop tôt et elle se reculera par réflexe, incapable de se confronter et d'accepter ce qu'elle est vraiment. Si cependant, vous la guidez habilement et lui permettez de se découvrir elle-même et de s'ouvrir à vous comme la fleur sensible de sur le point d'éclore qu'elle est, vous créerez la base pour la propriété absolue de son esprit, son corps et son âme. Elle s'identifiera irrévocablement à vous et à tout ce que vous exigez et désirez.

Aussi, à ce stade, une jeune fille précieuse ne réagira que de deux manières: soit elle me fournira une liste incomplète, listant quelques une des choses qu'elle fantasme de subir, mais pas toutes, ou bien elle est confrontée à ses craintes les plus profondes à l'intérieur d'elle-même et elle se trouvera dans un état provisoire de paralysie émotive.

Et ainsi j'ai su instinctivement que Jason en était arrivé à un point intéressant et authentique dans son propre processus d'acceptation: permettre à la crainte et la haine de soi de ce qu'elle devait vraiment devenir faire juste surface, mais pas encore capable de s'y confronter et de lui permettre d'éclore.

J'avais eu un bon feeling au sujet de cette fille. J'ai décidé de lui laisser un peu de mou car je savais qu'elle en avait besoin. J'ai également décidé de ne pas mettre au sale mon jockstrap plein de sueur, de pisse et de liquide pré spermatique, mais de le garder sur moi cette. Au cours des deux matins suivants, j'ai continué à le porter courroie pendant mes longs joggings autour du stade du lycée voisin.

Au mardi soit, la poche de coton était dure et croustillante avec ma pisse, mon liquide pré spermatique et ma sueur séchée. Ce putain de truc était si crade que quand je l'ai laissée sur le plancher dans mon placard à côté de mon panier de blanchisserie, je pouvais même le sentir légèrement de l'autre pièce dans le petit appartement où j'avais aménagé depuis que j'étais séparé de mon épouse et de mes deux gosses six mois avant.

Cette nuit, en pensant à ma jeune fille tendre et prometteuse, je me suis branlé et j'ai éjaculé deux fois mon membre épais à l'intérieur de cette poche puante jusqu'à ce que le tissu durci et crouteux ai été ramolli avec deux décharges ÉNORMES de mon sperme chaud.

Après que j'ai éjaculé la deuxième fois dans le slip, je l'ai immédiatement scellé dans un sac plastique. Jamais un cadeau plus parfait n'avait été préparé pour une jeune chienne prometteuse!

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La première fois que cette pédale de Jason a semblé entrer dans une phase d'excitation sexuelle, je lui ai donné mes instructions standards au sujet de sa condition:

"Les femelles et chiennes comme vous doivent apprendre à garder leur clitoris raides et coulant de chienne sous contrôle. Il y a peu de choses qu'un vrai homme déteste plus qu'avoir une chienne dégoutante et bizarre qui laisse fuir ses jus de chatte partout sur son plancher. Aussi, à moins que vous vouliez recevoir une punition brutale des mains d'un vrai homme, vous avez sacrément besoin d'apprendre à garder le contrôle de vos parties féminines.

"Je prescris le traitement suivant pour les chienne dociles en chaleur: Deux fois par jour, attachez fortement votre clitoris surdimensionné et les ovaires externes avec un lacet de chaussure en cuir. Frappez-les DUREMENT six fois avec une règle en bois. Après chaque coup, dite avec un enthousiasme sans borne, 'merci, monsieur!' Jouez alors avec votre clitoris raide et dégoulinant jusqu'à ce que vous crachiez votre jus de fille sur votre ventre doux de femelle. Pendant que vous jouissez, dites à plusieurs reprises, 'je vous remercie, monsieur! MERCI, MONSIEUR!!!'

"Putain, si vous suivez ce traitement religieusement deux fois par jour, il vous aidera à garder vos chaleur de chienne docile sous contrôle jusqu'à ce que vous puissiez trouver un vrai homme pour vous dominer et vous asservir.

"Essayez de l'entrer dans votre esprit stupide de putain que votre MAÎTRE SUPÉRIEUR vous commandera et dirigera votre esprit faible et inférieur, ainsi que votre corps et vos désirs sexuels. Vous vivrez seulement pour servir, adorer et honorer lui et lui seul. Sachez qu'un esclave est inutile si elle ou il ne peut pas comprendre ceci.

"Vous avez compris, conasse?"

"Oui Maître Peter"

Au cours des jours suivants, j'ai été agréablement étonné quand "ma fille" (car j'avais commencé à me référer à elle ainsi) a semblé avoir suivi ardemment et complètement les quelques instructions je lui aie données. En particulier, elle m'a rapporté que suivant ma prescription d'attacher et de battre son clitoris et ses ovaires externes deux fois par jour jusqu'à ce qu'elle gicle son jus de fille, cela a semblé fournir un soulagement provisoire mais efficace à ses chaleurs de chienne docile. La manière dont elle a décrite ses séances d'autopunitions m'a convaincu que, ce qui est primordial, elle avait commencé à associer son propre plaisir sexuel et ses sensations de plaisir avec le désir de me satisfaire et d'exécuter à la lettre mes instructions.

Son obéissance et ses progrès graduels mais constant dans la soumission à ma volonté et à mes instructions m'ont satisfait. Vers la fin de la semaine, j'ai su qu'il était temps de lui donner un ordre pour tester plus loin sa relation de confiance envers moi:

"Ma fille, ce week-end je veux que vous fassiez une liste des choses qu'un maître vous ferait et sur lesquelles vous fantasmez secrètement. Vous serez COMPLÈTEMENT HONNÊTE envers moi. Vous ne devez rien me cacher. Par exemple, si cela vous excite de penser à un vrai homme vidangeant sa pisse chaude au fond de votre gorge dans votre ventre de lopette, vous inclurez cela dans votre liste. Voici un conseil, ma fille: Si lorsque vous pensez à une chose particulière que vous voulez qu'un vrai homme vous fasse rend votre petit clitoris très raide et mouillé, cela est un bon article à mettre en tête de la liste. Vous me fournirez la liste à 8 heures du soir dimanche.

"Exécution, pédale!"

"Oui Maître Peter"

La pédale a rapidement répondu, disant qu'elle avait compris mes instructions et s'y conformerait. Mon membre est devenu rigide à lecture son rapport de soumission.

J'aidais un ami à déménager le week-end et j'étais trop occupé pour avoir beaucoup de temps pour penser à cela. Mais quand je repensais à la façon dont cette nouvelle fille docile semblait s'offrir si agréablement, mon membre devenait très dur dans mon jockstrap et gouttait du liquide pré spermatique la poche de coton. Dans la nuit de dimanche, j'étais totalement épuisé d'avoir aidé au déménagement de mon ami et mon jockstrap était totalement imprégné de l'odeur de mes couilles et de plein de sueur et liquide pré spermatique musqué et de pisse.

J'ai attendu avec précision jusqu'à 8 heure du soir ce (les vrais hommes sont patients) et j'ai examiné mon E-mail pour vérifier si j'avais un message de ma nouvelle fille docile.

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Quoi qu'il en soit, je sais que ceci est supposé être une histoire érotique, et non une putain d'explication de la mentalité des pédales. Mais la vérité est que vous ne pouvez pas être un Maître-Mari sans savoir, et agir en fonction de cette vérité fondamentale: les PEDALES sont des femelles dociles qui DOIVENT servir un vrai homme afin de se sentir achevées.

Ce dont vous avez besoin pour démarrer c'est un sujet pédale efféminé qui reconnait ce qu'elle est et se présente elle elle-même sincèrement pour une pleine transformation en une chienne de pédé. C'est dans la nature de ce processus qu'elle même ne comprenne pas entièrement au départ ce que la transformation nécessitera. Vous devez travaillez avec son besoin cru et désespéré d'apprendre finalement pourquoi l'univers l'a mise sur terre. Ce à quoi vous allez la façonner et la dresser. C'est ce qui vous permet de l'utiliser durement et implacablement et de transformer son esprit, corps et âme en annexe docile de votre volonté d'être supérieur, de façonner son esprit et son corps dans ce qu'elle est censée être.

Ce qu'il y a de beau et de naturel dans le résultat qui en découle -- quand la fille est correctement traitée et dressée -- est qu'elle ressentira le BESOIN et la VOLONTE d'être utilisez par vous exactement comme vous l'exigez et le désirez. Sa propre personnalité et son identité individuelle faible et inférieure seront perdues et englobées pour toujours par votre esprit supérieur, votre corps et votre volonté. C'est ca le but du jeu!

Aussi, j'ai supposé que cette pédale de Jason s'avérerait être juste une nouvelle pédale d'une longue lignée de pédés faibles et délaissés qui clament qu'ils veulent être asservis, mais qui ne comprennent pas vraiment la nature de l'esclavage réel. N'étant pas complètement égoïstes (fermez la les chiennes!), J'ai décidé de jeter au pédé un "os," pour ainsi dire. Je lui ai expliqué que la plupart des pédés ne comprennent pas vraiment ce que cela implique d'être au service d'un vrai homme et que je douté qu'il en soit différent pou elle, en particulier parce qu'elle était (ou au moins prétendait être) jeune et inexpérimentée. (Naturellement, cette pédale, comme toutes les autres, a protesté qu'elle voulait vraiment apprendre ce qu'il fallait faire pour satisfaire un vrai homme.)

J'ai commencé alors à lui donner certaines des ordres standards que donnent les maîtres à leurs esclaves pédés pour qu'elle commence à comprendre. D'abord, je lui ai expliqué qu'elle ne devait jamais m'appeler "maître," parce que je N'ÉTAIS PAS son putain de maître, et que je ne le serais probablement jamais. Je l'ai instruite de TOUJOURS -- sans exception -- m'appeler "monsieur." En communiquant avec elle, je m'adresserais à elle indifféremment en tant que "fille," "chienne," "putain," "chatte," "pédale," "abruti" et "connasse" pour commencer à faire entrer dans son esprit faible ce qu'elle était vraiment pour moi.

Toutes les fois qu'elle a essayé de me dire de quelles manières elle voulait être utilisée par un vrai homme, je lui rappelais que je n'en avais rien à foutre de ce qu'ELLE voulait. Maintenant, faites bien attention, et apprenez ceci: Il est vraiment impossible de former une pédale en chienne à moins que, et jusqu'à ce qu'elle entre finalement dans sa putain de tête inutile qu'une putain comme elle existe SEULEMENT pour satisfaire les demandes et les désirs de l'homme, et rien d'autre. Une pédale qui obéie en fonction de ses propres fantasmes et désirs est VRAIMENT INUTILE à un vrai homme. Elle doit trouver sa voie à travers les saletés de malade qui constitue sa propre psychologique, ses besoins émotifs et sexuels jusqu' à ces derniers finissent par être entièrement identifiés avec, et ne soient plus distinguables, des demandes de l'homme, ses désirs et fantaisies.

Une fois qu'elle fait ce bond en avant, sous les conseils fermes et inflexibles de l'homme, elle vivra et respirera seulement pour vous satisfaire et pour vous rendre heureux. C'est la transformation à laquelle je me référais plus tôt: Quand la chienne pédale en vient à savoir qu'elle n'aura aucune satisfaction ou assouvissement indépendamment de vous, son contrôleur, son chef et maître.

Comme je disais, une chose qui distingue les pédales d'autres genres de femelles est que leur besoin d'être commandé par un vrai homme est habituellement plus conscient et plus facile à accepter par leur psychologie et émotivité que dans le cas des femmes conventionnelles. C'est ce qui leur permet d'accepter la supériorité d'un vrai homme plus aisément que les filles conventionnelles, certaine d'entre elles insistant pour être traitée avec "égalité" par l'homme (ou autre genre de connerie politiquement correcte).

L'autre chose qui distingue les pédales des autres types de femelle est ceci: elles ont une vie sexuelle hyper active. À la différence des autres types de filles, les pédales ont une vie sexuelle comparable à celle de beaucoup d'hommes. Ne vous méprenez pas sur ce point. Je ne dis pas que les pédales ONT une attitude masculine dans le sexe. Ils ne l'ont assurément pas du tout, car ils ne sont pas vraiment masculins. Mais le fait que le Créateur a mis ces filles dans ce qui semble être, vu de l'extérieur, le corps d'un homme, signifie que leur vie sexuelle de femelle provient de l'énergie sexuelle surabondante d'un corps masculin.

Comme je l'expliquerai plus complètement plus tard, ce fait est une vraie aubaine pour un homme dominant: à la différence de beaucoup d'autres putains, les chiennes pédales IMPLORENT et ONT BESOIN de sexe presque autant qu'un vrai homme. Nous pouvons et devons employer ce fait important à notre avantage. L'énergie sexuelle intense et les besoins de ces filles les rendent aisément malléables aux demandes et désirs de vrais hommes comme nous.

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J'ai dressé assez de ces connards soit disant hétérosexuels pour découvrir plus tard d'eux qu'ils n'ont pas compris eux-mêmes alors ce qui leur arrivait. Ils décrivent toujours un flot soudain d'embarras intense traversant leur tête et leur corps. J'aime décrire ce phénomène comme le syndrome de "la gazelle éblouie par les phares", ce qui est l'expression qui décrit le mieux ce phénomène.

À un certain niveau profond de leur être, ces pédales solitaires se rendent compte qu'un événement qui va changer leur vie est tombé sur eux, mais ils ne peuvent toujours pas comprendre ni chasser ces idées de leur esprit ou de leur corps pour le combattre. Ils sont complètement immobilisés, juste comme une biche dans les phares d'une voiture.

Dans ces cas là, j'aime sceller l'affaire en savourant l'embarras du mec pendant plusieurs secondes avant de donner à la chienne nouvellement confirmée une instruction très simple, comme me chercher mon sac de gymnastique ou un soda. Ces gosses me disent plus tard qu'ils ont sentis ces quelques secondes d'attente comme une éternité. Même si leurs esprits s'emballent à la pensée de se faire baiser par moi, leurs corps refusent de se conformer à cette directive.

Un point important concernant le dressage de ces putains males est de les forcer plus tard à revivre l'écrasant embarras que leur ont procuré ces premières expériences de formation. Les obliger à décrire exactement comment elles se sont senties -- même si cela exige un coup ou deux de ma ceinture en cuir sur leurs culs tendres - cela imprime dans leurs esprits faibles et inférieurs quelles chiennes pathétiques elles sont et que leur salut peut venir seulement par la dévotion totale et désintéressée aux demandes et aux caprices d'un vrai homme comme moi. C'est sacrément bandant !

Quoi qu'il en soit, pour revenir de nouveau à cette pédale de Jason, un autre problème avec lui était qu'il était trop jeune et qu'il a prétendu être vierge. Dans mon expérience, les jeunes pédales qui pensent qu'ils veulent être un esclave envers un vrai homme ne comprennent pas vraiment tout ce que cela nécessite. Ils ont des idées étranges et stupides sur la manière d'être cassé et asservit à un vrai homme, mais ne sont pas réellement prêts pour le réel.

Les jeunes pédés doivent habituellement passer par toute une série d'étapes sexuelles et psychologiques avant qu'ils soient prêts pour un vrai dressage comme putain. Je n'aime pas vraiment perdre mon temps avant. Avez-vous jamais essayé d'administrer une fessée sur un jeune pédé de ce type? Ce n'est pas croyable, dés qu'ils prennent deux ou trois claques bien senties de ma ceinture en cuir sur leur cul, ces jeunes pédales inexpérimentées se mettent à pleurer et à demander pitié, montrant par là qu'elles n'ont jamais compris ce qu'une vraie mise en esclavage nécessite (comme tous les bons maîtres, je ne lie jamais et ne bâillonne jamais une de mes nouvelles chiennes jusqu'à ce que je sache ce qu'elle peut supporter comme douleur dont j'ai besoin pour la briser en petits morceaux.)

Cependant, bien que ce garçon Jason ait prétendu être jeune et inexpérimenté, j'ai essayé quelque chose de différent sur lui. Quelque chose qui m'a incité à penser que peut-être - juste peut-être -- ce jeune si désireux de devenir pédé pourrait convenir au genre de formation intense et dressage en chienne 24h sur 24 qui était ma spécialité. Cette putain de chatte ne m'a pas déçue.

Comme je vous disais, j'ai appris à prendre avec des pincettes les E-mails que je reçois des pédales qui lisent mes histoires. La plupart de ces femelles idiotes ne savent pas vraiment ce que cela coute de satisfaire un vrai homme. Elles ont souvent une idée naïve sur l'asservissement et au sujet d'être marié à un vrai homme. Ce désir est juste une variation du désir conventionnel de n'importe quel autre genre de fille de trouver et d'épouser son homme idéal. La seule différence avec une pédale est que la femelle pédale sait très explicitement qu'elle ne vaut rien si elle n'appartient pas à un vrai homme. Bien que toutes les femmes se sentent inachevées sans vrai homme, seulement le type pédale de femelle a typiquement conscience de ce fait et cherche compulsivement, impatiemment et désespérément à satisfaire et à implorer.

Malheureusement pour la pédale femelle, alors que la société s'est littéralement construite autour de la convention d'une fille conventionnelle cherchant l'homme de ses rêves, la nécessité désespérée de la pédale de devenir un accessoire d'un vrai homme n'est non seulement pas reconnu par la société, mais elle rencontre une révulsion universelle toutes les fois qu'elle se montre dans ses manifestations répugnantes.

Vous voyez, c'est le dilemme des pédales. C'est une femme soumise emprisonnée dans le corps d'un homme, essayant désespérément de trouver sa voie dans un monde volontairement aveugle et hostile à ce qu'elle est vraiment. Elle doit feindre d'être un vrai homme -- dans le travail, les relations sociales et toutes autres choses. Ce n'est pas étonnant que ces filles tristes deviennent ainsi sacrément tordues et désespérées. Merde, j'aurais pitié de ces connasses malades -- c'est-à-dire, j'aurais pitié d'elles si je n'étais pas aussi intéressé à exploiter leur désespoir pour mes propres buts pervers.

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Je suis beaucoup plus confiant pour trouver un esclave avec un vrai potentiel via une rencontre en tête à tête. Avant cette pédale de merde de Jason, j'avais trouvé mes deux soumis par une rencontre occasionnelle. Une des pédales était un beau jeune homme que j'ai connu au bureau et l'autre avait fait du jardinage pour moi car cette connasse devait gagner un peu d'argent en plus.

C'est drôle de voir comment les pédales dociles pensent qu'elles peuvent cacher ce qu'elles sont vraiment aux autres. Un vrai homme comme moi, peut malgré cela sentir d'un kilomètre la combinaison unique de CRAINTE et de DÉSIR SEXUEL qu'une pédale dégage naturellement -- juste comme un loup utilise son odorat sensible pour dépister, et ensuite dévorer, un mouton vulnérable. C'est juste le comportement classique d'un prédateur envers ses proies !

Ouais, je puis sentir le désir ardent et la crainte même des jeunes pédales qui pensent d'eux-mêmes qu'ils sont de " vrais hommes." Mon gosse jardinier savait déjà qu'il était une pédale, bien qu'il m'ait fallu une seule session privée de plusieurs-heure en utilisant l'alcool et une application légère de ma ceinture en cuir épaisse et noire pour que le pédé comprenne et accepte que son vrai but dans la vie fût de me servir.

Le gosse du bureau, cependant, c'était une autre histoire. Le jeune bel homme avait une petite amie que je connaissais parce que le papa de la fille et moi étions des amis et il n'était pas heureux de cette relation. Même avec cette putain male, cela ne m'a pas pris très longtemps pour effacer toute hétérosexualité de cette petite connasse, révélant la femelle molle, faible, lopette que ce trou du cul était vraiment au fond de lui.

Ouais, c'était une vraie révélation pour cette connasse d'apprendre que son vrai but sur terre était de servir un vrai homme de quelque façon qu'il l'exige. Une fois que j'ai forcé la chatte à dire à haute voix ce qu'elle était vraiment, il n'y eu aucun retour en arrière. Elle est devenue une chienne se consacrant dorénavant à mes besoins et désirs pervers à partir de cet instant ("sa " petite amie n'a plus jamais ensuite accueilli le gros clitoris du garçon en elle. Elle a rompus de colère deux semaines plus tard. Le garçon ne pouvait plus la pénétrer, et elle l'accusa de s'être trouvé une nouvelle chatte pour baiser. Chienne stupide. Loin de se trouver une nouvelle chatte pour baiser, j'AI TRANSFORMÉ LE GARÇON EN NOUVELLE CHATTE À BAISER. Et sous ma ferme, implacable et experte volonté, elle est devenue une chatte désireuse, tout à fait docile et dévouée. Cette jeune putain ne se sent pas complète si mon membre épais et dur ne force pas rudement son trou serré, mais avide, de fille.)

Quoi qu'il en soit, l'histoire de la façon dont j'ai asservi ces deux autres chiennes est pour une autre fois. Le point que je veux souligner ici est que je peux SENTIR la crainte et le désir sexuel de ces malades, que ces bâtards tordus dégagent. Celles qui savent déjà qu'elles sont des pédales sont les plus faciles. Elle est naturellement silencieuse et respectueuse envers moi. Au bureau, il est celui qui immédiatement, s'exécute avec ardeur et zèle à mes demandes et exigences, qu'il s'agisse d'obtenir une autre tasse de café, m'apporter mon déjeuner ou faire une course personnelle pour moi.

Ouais, ces conasses suintent la soumission de tous leurs pores de tapette, qu'elles le reconnaissent entièrement ou non. Parfois c'est tellement évident que je ne peux m'empêcher d'éclater de rire quand je vois comment et avec quelle ardeur ces pédales se précipitent d'eux-mêmes pour me servir. Faire courber ces pédales soumises et les soumettre à mes désirs est comme cueillir des fruits murs sur un arbre.

Mon vrai talent est de dénicher l'envie de soumission de ces lopes dans des types qui se croient eux-mêmes strictement hétérosexuels et qui semblent l'être complètement aux yeux de chacun. J'ai rencontré beaucoup de ce genre de types au cours des années, à la gymnastique, au bureau et dans l'autocar des équipes sportives que je coache. Même quelqu'un d'aussi expérimenté que moi (ouais, vous les putains mâles qui trainez dehors là, je suis sacrément pervers ET chaud, aussi vous devez l'accepter comme tel les chiennes) ne peut pas expliquer entièrement comment je peux repérer le "moi" pédé dans ces garçons apparemment masculins, et au comportement hétérosexuel.

Je pense que c'est juste l'instinct d'un vrai homme -- comme par exemple, rien qu'a voir le style de voitures un peu trop macho de ces garçons quand ils essayent de manière un peu trop forcée de se faire passer pour ces macho. J'ai développé un test standard pour ces types. J'attends jusqu'à ce que de nous soyons seuls tous les deux quelque part (cave, natte de lutte, vestiaire, mon bureau, etc.) et que le type commence à se vanter devant moi (comme ils le font inévitablement) au sujet d'un certain comportement macho que ce trou du cul prétend avoir eu (habituellement portant sur la boisson, la conduite automobile, les filles ou une combinaison de tout cela). Une fois que le connard excité entre vraiment dans son histoire à la con, j'adopte un air sévère, un regard de désapprobation sur mon visage et me contente juste de regarder fixement et froidement ce trou du cul.

Et alors, incroyable, ceux qui ont un tempérament de pédale au fond d'eux-mêmes FERMENT IMMEDIATEMENT LEUR GUEULE -- parfois juste au milieu d'une phrase vantarde! La confirmation vient quand leurs visages virent au rouge d'embarras et ils baissent la tête et tournent leur regard fixement vers le putain de plancher. C'est tellement très bon, je peux presque goûter ce moment. Voir cette réponse docile d'un jeune mec excité par ma présence même incite invariablement mon membre monstrueux en manque à grossir et durcir dans mon jockstrap jusqu'à ce qu'il soit rendu fou de sexe de sexe essayant follement de sortir de sa prison de coton afin de se forcer un passage dans la chatte bien serrée d'une chienne.

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Je suis le dominateur de quelques chiennes males du coin. Pendant la journée au travail je suis habitué à dominer d'autres par mon intellect supérieur, et parfois la nuit j'aime avoir un garçon docile pleurnichant sur mon membre dur et mes boules velues et en sueur. Parfois j'aime attacher la chienne très de étroitement tandis que je force mon membre épais et dur dans son visage et au fond de sa gorge jusqu'à ce qu'il s'étrangle et soit sur le point de vomir.

D'autres fois, je laisse la chienne me servir sans contrainte. Si elles sont attachées, cependant, ces putains me servent toujours avec une dévotion totale envers mes désirs et un complet assujettissement de leur propre volonté à la mienne. Plus tard, je vous expliquerai comment j'utilise la douleur et un contrôle physique et psychologique complet pour casser toute volonté et personnalité indépendantes que ces pédales pourraient avoir afin d'en faire mes esclaves sexuels dévoués.

Pourquoi est-ce que je parle de ces pédales dociles au féminin? Parce que c'est ce qu'elles sont vraiment. Les vrais hommes comme moi savent que les pédales sont justes un autre genre de fille. Tout dans la femme est fait pour qu'elles soient pénétrées par de vrais hommes. Je n'en ai rien à foutre de cette connerie politiquement correcte au sujet de l'égalité hommes femmes. Il y a une raison pour laquelle l'univers a fait des hommes puissants et musclés et équipés de leur membre dur et de couilles fabriques à sperme.

Les vrais hommes sont fait pour régner sur l'univers et pour commander tout autour d'eux. Les pédales sont juste une des choses pour lesquelles l'univers a donné aux vrais hommes l'autorité pour les utiliser et les commander. Comme toutes les femmes, les pédales ont des trous serrés et passifs qui sont faits pour être pénétrés par les bites, les doigts et les mains des vrais hommes. C'est ce pour quoi ils sont faits !

Les putains dociles comme ces putains males qui m'appartiennent ont une raison d'exister dans la vie, et seulement une: servir de réceptacles passifs à la sexualité active d'un vrai homme comme moi. Une fois qu'elles sont comprises pourquoi elles sont nées, elles peuvent trouver à se réaliser dans la vie. Jusque-là, elles sont perdues -- essayant d'être quelque chose qu'elles ne pourront jamais être: de vrais hommes. Une fois que, finalement, une pédale comprend que "il" est simplement un autre type de femelle docile née pour être utilisée par de vrais hommes, elle peut trouver sa complète réalisation en servant de manière désintéressée un vrai homme.

Ne soyez pas dupé par les clitoris surdimensionnés de ces chiennes et leurs ovaires externes; elles sont aussi femelles que n'importe quel autre genre de femme. Parfois elles doivent juste être cassées comme un cheval sauvage avant qu'elles puissent comprendre pourquoi elles ont été mises sur terre. Et juste comme un cheval sauvage, une fois que leur volonté a été brisée, vous pouvez les monter DUREMENT sans qu'elles n'y fassent aucune objection. (Au cas où vous vous demanderiez, oui, j'attache parfois un mords de cheval sur les gueule de mes chiennes avant d'enfourcher leurs dos ou de les monter profondément et durement pour ouvrir leur chatte)

Une fois qu'une chienne a été correctement cassée, elle acceptera quoi que vous vouliez lui faire, aussi douloureux ou humiliant que cela puisse être. Comme avec tout animal, un dressage ferme et implacable sans merci est la clef pour briser une pédale et la formater à vos désirs.

Si vous ne pouvez pas comprendre ce que j'explique ici, alors vous ne lisez pas la bonne l'histoire, abruti. Essayez de lire une histoire d'amour lesbien, plutôt. Peut-être cela conviendra mieux convenu à votre vision du monde.

Comme tous les vrais hommes, je baise de vraie chatte. Le problème avec les vraies femmes, bien que, est que la plupart d'entre elles compte être traité avec respect et douceur. À quelques exceptions (qui sans aucun doute seraient digne d'être noté), si j'essayais de traiter une vraie femme comme je traite mes putains mâles, je finirais certainement en prison. Mon ami, essayez de battre et de violer une vraie femme et voyiez avec quelle rapidité vous finirez en prison! Faites-cela à une pédale correctement dressée, par contre, et la chatte vous remerciera et vous priera pour en avoir plus. L'univers n'est-il pas merveilleusement construit?

Les pédales sont une race à part. Oui, ce sont des femelles, mais elles ont été faites pour être employés et maltraités. Cependant ne vous méprenez pas sur ce point. Je ne ferais jamais rien de vraiment non consensuel avec quiconque -- que ce soit une vraie femme ou une pédale. Ce n'est pas mon genre. J'aime faire plier des personnes à ma volonté de male supérieur. Pour moi, la vraie satisfaction ne se situe pas en contraignant physiquement l'autre à se conformer à mes souhaits et désirs, mais au contraire en les amenant à voir qu'ils VEULENT réellement cela et qu'ils DOIVENT me servir et me rende heureux.

Oui, des traitements durs sont parfois nécessaires pour permettre à une pédale de comprendre entièrement et accepter vrai place dans le monde en tant que femelle docile.

Dans ces cas-ci, cependant, la douleur permet d'aider la putain à comprendre qui elle est vraiment; il ne s'agit pas d'infliger au sujet la douleur simplement pour la douleur. Le sadisme n'est pas ma tasse de thé.

Ou je devrais dire que ce sadisme n'était pas ma tasse de thé -- jusqu'à ce que j'aie rencontré une petite pédale appelée Jason. Cette jeune tendre chienne m'a porté à un niveau d'agressivité sexuelle dont je ne me savais pas capable. D'une façon ou d'une autre, cette putain malade m'amena à une sorte de colère et de désirs mauvais que je n'aurai pas pensé avoir eu. La chienne m'a vraiment apporté le plus mauvais - ou le meilleur? -- en moi.

Ceci, donc, est l'histoire de la façon dont j'ai pris une naïve mais jeune pédale impatiente appelée Jason et comment j'ai brutalement asservi cette chienne à chacun de mes désirs arbitraires et caprices. Après que j'aie quel peu durement écrasé le peu de volonté et personnalité indépendante que l'affligeant petit connard pathétique avait, cette putain est devenue obnubilée par ma personnalité et sexualité supérieure, et il en est toujours ainsi à ce jour. C'était un défi divin.

Jason était une jeune pédale qui avait lu une de mes histoires et m'a écrit qu'il voulait être mon esclave. Bien, mes expériences avec les pédales qui m'écrivent sur la base de mes histoires n'avaient pas été très satisfaisantes. La plupart de ces pédés semblent se défiler ou trichent d'une façon ou d'une autre. Peut-être est ce le genre de personne qui fantasme sur des histoires autoritaires, ou peut-être c'est dans la nature des pédales de se défiler. De toute façon, j'ai appris à prendre ce genre d'E-mails avec des pincettes et à ne pas perdre beaucoup de temps avec eux.

 source: soumischaste.net

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Les problèmes n'arrivent jamais immédiatement. Mais ils arrivent. Marc était toujours avec sa petite amie, aussi Jack et Derek étaient tranquilles. Bien sûr, des fois, Marc pouvait rentrer très tard dans la nuit, ou bien très tôt le matin, par exemple deux heures avant que j'étais supposé me lever pour aller en cours, et alors je me réveillai avec une bite en face de mon visage. Mais quel tort cela pouvait il faire à Derek ? Je lui appartenais. Marc avait dit que c'était à lui que j'appartiendrai (et certainement il pensait cela), mais en pratique, s'était Derek qui avait pris l'habitude de prendre ma bouche.

Et c'est sûr il utilisait souvent ma bouche.

Derek se réveillait à 10 h 15 les matins pour pouvoir aller en cours à 11 heures. C'était mon rôle d'être à genoux en bas de son lit à 10 h 10. Moi-même j'avais cours de neuf heures à 10 heures, et je pouvais habituellement sécher et rester tard dans sa chambre avec lui. Aussi au début je partais de plus en plus tard. Après être arrivé en retard trois fois, Derek m'a demandé de sauter ce cours. Il dit que je devais penser d'abord à mes priorités.

Je devais donc rester à genoux à côté de son lit et attendre que son réveil sonne. Une fois qu'il avait sonné, je devais l'éteindre à fin qu'il ne gêne pas Jack, qui n'avait jamais classe le matin. Puis je devais descendre les couvertures, révélant le corps de Derek. Il dormait nu. Son sexe érigé. Dressé toujours en l'air vers le plafond. À ce moment il commençait à remuer. Alors je devais grimper dans le lit et lover ma bouche dans autour de la tête de son membre en pompant tout doucement. Je devais rester ainsi juste en tenant son gland dans la bouche pendant quelques minutes. Puis je sentais la poigne familière de ses mains sur la tête. Alors cela commençait.

Sa pisse matinale. Tellement acide et piquant que n'importe qu'elle autre pisse à n'importe quel moment de la journée. Sa pisse matinale sortait en jet puissant de son sexe bandé et arrosait le fond de ma bouche. Je devais avaler rapidement, déglutissant de larges gorgées. Cela prenait généralement un peu moins d'une minute. Quand le jet cessait, je devais commencer à monter et descendre ma tête sur sa hampe, en le pompant gentiment. Il restait la plupart du temps allongé sur le dos dans sa torpeur matinale. La pipe était supposée le réveiller. Il ne voyait jamais ce que je faisais car il restait simplement allongé, immobile, se laissant sucer la bite, et ce jusqu'à ce qu'il soit sur le point de cracher son sperme dans ma gorge accueillante.

Alors il s'assoit soudainement et prend ma tête avec force. Et il claque de manière répétée mon visage avec son bassin. Il aime contrôler le rythme jusqu'à ce qu'il jouisse. Il enfonce alors complètement son membre dans ma gorge jusqu'à ce que je puisse sentir sa transpiration nocturne sur le buisson poilu de son pubis. Et alors sans autre avertissement, il crache ce qui me semble être des litres de sperme chaud directement au fond de ma gorge. Lorsqu'il gicle, il aime sentir que le pompe à fond, comme si ma vie en dépendait. Quand ses couilles sont bien drainées, alors il sort sa bite de ma bouche en faisant une sorte de " pop " et me dit "bonjour pédale," puis se lève brusquement pour s'habiller afin d'aller en classe.

C'était justement un de ces matins où j'étais assis sur le lit de Derek, après avoir servi sa bite pendant 20 minutes. Je regardais vers Jack, qui était toujours en train de dormir nu, mis à part son boxer. Il a, à voir une nuit très chaude car il dormait sur son traversin. Son sexe faisait une énorme bosse à son boxeur. Je me léchais les lèvres, en pensant que je pourrais sucer cette belle bite plus tard dans la journée.

Les yeux de Jack s'ouvrirent. Il me regarda un moment puis se mit à sourire.

"Bonjour, pédale."

"Bonjour, Jack."

Et il enfonça une main dans son boxer et en sorti sa bite. " Je parie que je peux deviner ce que tu regardais et à quoi tu étais en train de penser, sale lopette." Je ne répondis pas. Je me contentai de baisser la tête. "Encore en train de reluquer ma bite ? Comme si tu n'en avais pas eu assez ?"

J'étais très embarrassé. "Je suis vraiment désolé, Jack. Cela n'arrivera plus."

Il me regarda à nouveau. "Viens ici, suceuse de bites. J'ai envie d'essayer quelque chose."

Je me levai du lit de Derek et je m'agenouillai à côté du lit de Jack. Il fit pivoter ses jambes de façon à ce que je sois agenouillé juste entre elles. Son bassin était à quelques centimètres de mon visage. Son énorme bite sortait de son boxer. Il ri doucement. " Et bien pédale, j'ai envie d'une pipe matinale."

Je me penchais en avant et je pris sa bite dans ma bouche. Je l'enfonçais jusqu'à ce que le membre entier soit dans ma gorge. Puis je me retirais jusqu'à ce que seul le gland reste entre mes lèvres. Alors je le pompais puis reprenaient tout le membre en entier. Je répétais ces mouvements pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'il saisisse ma tête et, comme Dereck, limait toute la langueur de sa bite en moi de plus en plus rapidement. Il branla sa queue dedans et dehors pendant encore 30 secondes, puis il se vida dans mon estomac. Sa bite était si enfoncée dans ma gorge que je ne pouvais même pas sentir le goût de son sperme. Il sortit sa queue et l'essuya sur tout mon visage.

Il rit. "Maintenant ouvre grand." Alors il vida sa pisse matinale droit au fond de ma gorge. J'avalai tant bien que mal. Quand il eut terminé il me regarda.

"Derek lui commence par pisser, n'est-ce pas branle bite ?"

Je fis oui de la tête.

"Je lui dirai combien c'est bon de se vider de son sperme, puis de pisser dans la gorge de la lope."

Cela devint une routine. Sucer la bite de Derek et avaler sa pisse matinale devint ma principale activité. Souvent je devais prendre le jus de Jack dans ma gorge. Récemment, Jack avait découvert qu'il aimait beaucoup me gifler violemment avec son sexe en érection. Il aimait m'observer en train de tenter désespérément d'enrouler mes lèvres autour du gland qui s'échappait toujours. Il garda ce nouveau truc secret pour lui, mais Derek en entendit finalement parler. Alors il se mêla à l'action. Tous les deux claquaient leurs membres dressés contre mon visage et riaient énormément. Je leur appartenais complètement désormais.

Jusqu'à ce que Marc rompe avec sa petite amie.

J'ai déjà dit pourquoi Marc pensait que j'étais sa propriété exclusive, du fait que j'étais son compagnon de chambre. Cela avait un sens après tout, mais cela ne plaisait pas à Derek et Jack. Pourquoi ne pourraient-t-il pas me partager entre eux trois, je ne le comprenais pas.

Cela commença un matin quand Derek se réveilla en espérant sa pipe matinale et s'aperçu que sa suceuse de bites était introuvable. En effet, Marc avait pris une cuite et était particulièrement affamé ce matin. Sa petite amie l'avait laissé tomber la nuit d'avant et il avait passé le reste de la journée au bar. Maintenant il était saoul, excité, et irrité.

Je me réveillais tandis que Marc me secouait violemment. Sa ceinture était défaite et sa braguette était ouverte. "Sort cette bite, pédale. Tu as une queue à sucer." Bien sûr, j'étais fatigué et surpris de voir Marc dans cet état. Mais j'aimais vraiment beaucoup sa bite. Peut-être était-ce à cause du fait que je la suçais moins souvent que celle de Derek ou de Jack, mais j'avais toujours été très excité de suçoter son bout. Marc n'avait pas à me le demander deux fois. Je fus rapidement à genoux, en train de sortir sa bite érigée de son boxer.

"Cette putain de chienne croit qu'elle peut vivre sans cette bite," marmonna-t-il tant qu'il me tenait ma tête de chaque côté avec ses mains puissantes. Puis il là serra dans une poigne de fer et enfonça toute la longueur de son membre dans ma gorge. "Goûte-moi cette grosse bite, salope. Obéis, sale tapette."

Je gémissais sur sa bite tandis qu'il claquait son bas ventre en se branlant dans ma bouche gourmande. Ses couilles poilues cognaient contre mon menton. Je pouvais sentir la transpiration et l'odeur de musc et de ses couilles lorsqu'elles se frottaient contre mon visage. Il continuait à se faire pomper, en me baisant littéralement la bouche. Lors d'un aller-retour particulièrement vigoureux, sa bite sortit de ma bouche en faisant un gros bruit, le gland tout gluant de salive. Il grogna de frustration. Alors il repoussa violemment ma tête et se laissa tomber sur le bord de son lit.

Marc baissa son jean et son boxeur sur ses chevilles et plaça ses pieds sur le bord du lit, exposant sa raie poilue. "Tu aimes mon cul, lopette. Lèche donc mon cul odorant." Je me rapprochait au plus près et inhalais profondément. Je ne sentais pas vraiment la merde, mais je sentais quelque chose d'autre très fort. Son cul était trempé de transpiration. "Qu'est-ce que tu attends ? Enfonce ta langue. Maintenant."

Je n'avais pas besoin d'une meilleure invitation. Je pouvais apercevoir les bords plissés de son trou du cul. Ma salive de ce mélangea avec sa transpiration tandis que je faisais la toilette de son trou. Je léchais toute la longueur de sa raie poilue.

"Ne t'arrête pas, sale bouffeur de cul." Et en disant cela il émis un pet. Il rit. "Ne t'inquiète pas," dit-il, "je n'ai pas oublié que tu aimais les pets bien puants." Et alors il péta à nouveau. L'odeur épouvantable m'indiqua qu'il était sur le point de chier. Je me reculais. Cela était trop pour moi.

"Je ne chierai pas dans ta belle bouche, lopette."

Je soupirai de soulagement.

"Viens avec moi," m'ordonna-t-il, prenant ma main et marchant vers la porte de la chambre qui donnait sur le couloir. Son pantalon était sur ses chevilles, son sexe érigé se balançant de droite à gauche.

"Je ne peux aller dans le couloir !"

Tu ira où ma bite ira, espèce de pauvre sous merde. Je veux une pipe, mais je dois chier. Aussi tu vas me servir pour que je puisse faire les deux en même temps. Il tira d'un coup sec sur ma main et me traîna de force dans le couloir, se dirigeant vers les toilettes. C'était les toilettes publiques, puisqu'il n'y en avait pas dans les chambres, qui étaient partagées par tous les gars de l'étage. J'avais honte. Je ne pouvais croire que rien de fâcheux ne m'arriverait dans le couloir quand on me verrai tenu par la main par Marc, et tiré vers les toilettes, avec son érection énorme bien visible.

Une fois dans les toilettes, il ouvrit en grand la porte du premier wc et s'assit sur la cuvette. Il appuya sur mes épaules jusqu'à ce que je sois à genoux en face de lui. Avec nous deux à l'intérieur, l'étroit réduit ne pouvait être clos, la porte ne pouvant se ferme complètement. Aussi il la laissa grande ouverte.

"Je ne peux faire cela, marc. Je peux vous sucer tant que vous le voulez, mais ici des gens peuvent nous voir."

"Ferme là sale traînée. Je vais chier un bon coup, alors mets ta bouche autour de ma bite." Il me tira par les cheveux et m'empala sur sa bite alors que j'entendis un énorme pet résonner en écho dans la cuvette. Il se mit à respirer bruyamment.

"Le meilleur de tout ! Une pédale suce ma bite pendant que je suis en train de chier ! " Il se mit à rire et à hurler ? J'étais sur qu'il pouvait être entendu de tout le monde dans le couloir. L'odeur de pets et de merde était très forte, épouvantable, et l'odeur se combinait avec celle de sa bite mal lavée pour former un cocktail puissant. Je sentais d'autant plus son bas ventre que j'avais toute la longueur de sa hampe dans ma gorge. Il se servait de ma tête comme de celle d'une poupée gonflable. Il restait lui, parfaitement assis sans bouger, montant et descendant ma tête enserrée dans es mains puissantes sur sa bite.

Sa poigne était comme un étau au niveau de mes oreilles. C'est pour cela que je n'entendis pas Dereck se déchaîner de colère parce que sa suceuse de bite était en retard.

FIN

source: soumischaste.net

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Tandis que Marc débouclait sa ceinture, Jack et Derek riaient et se tapaient sur le dos pour se congratuler mutuellement. Marc nous allons briser à fond cette pédale, dit Derek. "J'ai commencé à lui faire bouffer ma bite il y a quelque temps et maintenant il ne peut plus s'en passer."

"Il est ici toutes les nuits, " renchérit Jack.

"Je ne peux en croire mes oreilles car je ne savais rien de tout ceci," répliqua Marc tandis qu'il ouvrait la braguette de son jeans. Il glissa ses mains fines sous la ceinture et, d'un seul coup, baissa son pantalon et son boxeur sur ses genoux, révélant deux cuisses musclées, deux de Couillard légèrement pendantes et poilues et un épais membre à moitié en érection, non circoncis, suspendu à un monticule de poils noirs.

Je regardais Marc dans les yeux. Il me sourit là. "Je parie que tu veux jouer un peu avec ceci, hein, Steve ?" j'approuvais de manière énergique. Il grimaça. "Pourquoi tu ne commencerais par parler chez mes couilles moites de transpiration."

J'avançais lentement sur mes genoux. Je pouvais sentir la chaleur qui émanait de son bas-ventre tandis que de pencher ma tête et que je collai à gauche sur ses testicules poilus. Il fit courir son doigt à travers ma chevelure puis prit ma tête fermement en main. "Prend les dans ta bouche, ma suceuse."

Je me soumis. J'en voulais mes lèvres autour de sa première couille, qui avait un goût salé à cause de la transpiration de toute la journée. Puis j'essayais de faire entrer la seconde dans ma bouche. Ce n'était pas une tâche facile. Il maintenait ma tête dans sa poigne de fer. "Prends cette putain de couille dans ta bouche, pédale. Je n'ai pas à t'attendre, lopette."

Je pouvais vous entendre Jack et Derek rires ensemble. "Tu as un talent naturel, mec, dit Jack en complimentant Marc."

"Oui, et bien, j'aime les pipes comme d'habitude." Il y tapota gentiment ma tête. "C'est bien ça. Deux couille dans la bouche c'est bien mieux qu'une seule, n'est-ce pas ?" Je gémissais le nez fourré dans ses poils. Il respirait bruyamment. "C'est fantastique Steve. Continue comme ça." Je gémissais bruyamment, les vibrations de ma bouche chatouillant ses couilles. Il maintenait mes cheveux dans sa poigne de fer.

Au bout de quelques minutes, alors que je gémissais toujours la bouche emplie de ses couilles, il dit, "C'est bien. Maintenant retire-toi de mes putain de couilles. "

Je retirais avec précaution ma bouche de ses couilles et jeu le regardait. Il y avait un poil collé sur ma langue, et je tentais de le retirer avec mes doigts.

"Qu'est-ce que tu es en train de faire ? Ce voile est un cadeau, Steve. Une bonne pédale doit s'avaler tout cela d'un coup."

Je le regardais en levant la tête et je m'excusais. Puis j'avalais rapidement, en essayant de le faire glisser le long de ma gorge, mais il resta coincé, ce qui me chatouilla le fond de la gorge. Je tentais de tous et à plusieurs reprises. Les trois hommes à deux minutes riaient de manière hystérique.

"Regardez comme cette pédale a besoin de boire un coup," dit Jack, en sortant sa bite. Je n'ai pas tout de suite compris par ce qu'il me prit par le menton et me força à le regarder.

"Ouvre grand", demanda-t-il. J'ouvrais ma bouche. Et il me cligna de l'oeil et alors il cracha allonger de salive dans ma bouche.

Derek n'arrêtait pas de rire. " C'est incroyable, mec. Je crois que Jack veut dire, que peut-être Steve désire avaler de la pisse d'homme, mais cracher sur une lopette lécheuse de culs, c'est pas mal aussi."

Marc regarda Derek avec incrédulité.

"Il avale aussi notre pisse, mec," expliqua Derek.

Marc me regarda à nouveau. " Est-ce que c'est vrai ?"

Je le regardais et inclinais la tête.

"Dis-moi, Steve. Tu avales l'urine ?"

Il voulait m'entendre dire les mots. "Oui, je bois la pisse et j'aime cela. Beaucoup."

Marc sourit largement. "Eh bien tu aimes tand ça ?" Marc agrippa sa visite non circoncise par la base et la juste à deux ans mon visage. Il ouvrit ma bouche. Le jet acide rebondit sur ma langue et je commençais à avaler voracement. Chaque fois que je fais mes mains bouge pour avaler, sa liste heurtait mes lèvres. Il adorait pisser sur ma face encore plus que dans ma bouche. Bientôt il dirigeait le jet sur tout mon visage, en particulier sur mes yeux et dans mes cheveux. " Je vais t'arroser des pieds à la tête, suceurs de bites," se mit-t-il à psalmodier. " Avoir un urinoir en compagnon de chambre, les mecs !" Quand le jet déclina il essuya les dernières gouttes sur ma joue.

"Maintenant, occupe-toi de cette bite."

Je pris le gland de sa queue dans ma bouche et je commençais à le caresser tout autour avec ma langue. "Occupe-toi du dessous ici," dit-il, m'ordonnant de lécher en dessous son prépuce. Je suis glisser ma langue par-dessous et je nettoyais et les sécrétions qui s'y étaient accumulées. "Tu as intérêt à le rendre aussi propre que possible. Jeanne ne me suce jamais la bite, aussi il n'est pas souvent nettoyé."

Il saisit ma tête et n'enfonça toute la longueur de son membre. J'avais environ 20 cm de virilité et dans la bouche et j'adorais cela. Puis il se retira d'un mouvement de vente jusqu'à ce que j'aie seulement le gland dans ma bouche. Il y eut un moment de silence alors que la tête de son gland était restée sur mes lèvres.

"Jeanne ne te fait pas de pipes ? Demanda Derek."

"Non, jamais."

"Si une fille ne suce pas les bites, je dis que ce n'est pas une pute," répondit Derek.

Marc me sourit. " J'avais oublié combien une bouche pouvait être bonne." En disant cela, il aurait enfonça sa queue dans ma gorge avec violence et commença à se branler dans ma bouche. J'étais au paradis des suceurs de bites. Il continua à marteler la gorge avec sa queue. Ses couilles venaient frapper contre mon menton.

"Voilà pour toi, sale pédale," cria Marc.

Les deux autres hommes l'imitèrent. " Avale cette bite." " Baise sa gueule, mec." " Prends tout, suceur de bites."

Marc m'insultait tandis qu'il baisait ma bouche. "Prends ça suceuse de bites ! Sale pédale !" Il était sur le point de jouir, je pouvais sentir ses couilles frémir. "Tu veux mon sperme, lopette ?" Je gémissais autant que le permettait le viol de ma gorge. "Tu vas pouvoir apprécier d'avaler chaque giclée !" Soudainement, son sexe cracha au fond de ma gorge, giclant directement d'épais flocons directement au fond de mon estomac. Marc retira sa queue à moitié et je pouvais sentir ses giclées contre le fond de ma gorge. Puis il la sortie complètement et éjacula sur mon visage. Finalement les flots de foutre s'arrêtèrent. Il pris sa bite en main et se branla, envoyant une dernière giclée sur mes joues.

Puis il tapota ma tête. "Bonne pompeuse, petit pédé."

Je lui souriais, son torse musclé et poilu me fascinait. Ses super couilles poilues se balançaient. Sa bite était épaisse et rouge. Il me fit un clin d'œil.

"C'était bon, hein ?" demanda Jack.

"Super bon," répondit Marc.

"Pédale ! Viens ici. Maintenant !" demanda Dereck. Je rampais rapidement vers lui, tandis qu'il se retournait et se pliait en deux. Je plantais mon visage dans son cul juste au moment où il émis un énorme pet.

"Dereck !" s'exclama Marc.

Je regardais vers marc, puis vers le cul en face de moi, moite de transpiration, tandis que l'odeur du pet mettait mes sens en émoi.

"Ce n'est rien, Marc," dis-je. Puis, avec ma langue, je fis un long et exagéré léchage depuis le scrotum de Derek, jusqu'au bout de sa raie culière, jusqu'à ce que j'atteigne le haut de son cul.

Marc se mit à rire. "Est-ce qu'il existe quelque chose que tu ne ferais pas ?" Je me retournais vers mon compagnon de chambre sexy et fit un non de la tête, "Non. " Marc avança vers moi et essuya sa bite sur tout mon visage, pour rassembler avec sa queue les flocons de sperme qui collaient à mon visage et les amenaient au bord de mes lèvres pour que je les avale. Il me regarda d'en haut.

"C'est sur, je suis content que tu sois ma pédale, " dit-il.

Dereck et Jack se regardèrent mutuellement.

"Ta pédale ?" dit Dereck. "Cette suceuse de bites est à MOI."

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"Derek commença à rire de manière incontrôlée. j'étais sur mes genoux sous le bureau de Derek, léchant son cul tandis qu'il donnait la dernière touche à un devoir d'anglais. C'était une position que je connaissais bien. J'y étais déjà depuis plus d'une heure, alternant mes léchages entre son sexe et ses énormes couilles poilues, et enfin son anus humide de sueur. A part aujourd'hui, j'avais été dans cette positon bien des fois, donnant du plaisir à Derek pendant qu'il travaillait. Il y avait plus d'un mois que j'avais avalé le sperme de Derek pour la première fois et qu'il avait décrété à la face du monde que j'étais sa suceuse de bite. Je connaissais désormais ma place.

"Lèche mon cul avec tes douces lèvres," dit-il en tapotant affectueusement ma tête. "Finissons en vite avec ce devoir. Puis je m'occuperai de toi."

Je gémissais dans sa raie culière poilue, enfonçant ma langue encore plus profond. Quand j'avais commencé à le laper, c'était plein d'odeurs fortes, un mélange de sueur et de reste d'excréments. Maintenant tout était humide de ma salive, et je sentais quelques poils de son cul coincés entre entre mes dents.

"Ne bouge pas, une seconde, lopette." M'avertit Derek. Je savais ce qui allait arriver. Un moment de concentration et puis un, pet bruyant et âpre explosa de son cul. Je collait ma bouche à son anus et avalait profondément. Il n'eu pas besoin de tenir ma tête contre son cul quand il péta encore, comme je l'espérait.

"Merde !" dit son compagnon de chambre, alors qu'il rentrait dans la pièce. "Ca pue. "

Derek rit. Avaler toute cette bouffe m'a donné des gaz. D'où viens tu ?

"De bosser. " Répondit Jack. Jack travaillait toutes les après midi. En début de soirée il avait fait de la gym sans prendre de douche et arrivait à la chambre tout transpirant. Il aimait recevoir un long bain de langue. "La pédale est là ?" demanda-t-il ùùùùùùù "Bien sur qu'elle est là. Justement en train de déguster mes pets puants."

Je gémissais et émis des bruits de léchage pour exprimer mes remerciements pour ces cadeaux odorants.

"Est que je peux en profiter un peu ?" Demanda Jack.

"C'est OK. Viens ici. "

Jack se baissa et je peu voir son visage dégoulinant de transpiration. Je ne l'avais pas encore aperçu, car j'étais sous le bureau. Sa voix était autoritaire. "Pédale, mets dans langue dans mon aisselle tout de suite ! "

Je m'extrayais de dessous le bureau, Derek donna une forte claque à mon cul tandis que je poussais un petit cri de douleur. Jack s'assis sur le bord de son lit, nu, mis à part son jock strap. Je rampais entre ses jambes. Il sourit et leva un bras. Je fis immédiatement courir ma langue le long des poils moites de ses aisselles. Il soupirait, heureux, tandis que je le léchais, passant de ses aisselles à son mamelon, puis à l'autre, puis l'autre aisselle trempée de sueur. Cet homme transpirait beaucoup, et j'aimais cela. Lorsque je me remis à lécher ses mamelons, il se renversa en arrière sur le lit et poussa avec force la tête vers son bas ventre. Je léchais son slip jusqu'à ce qu'il m'ordonne, les orteils, lope. Je pris son pied dans ma main et commençait à l'extraire de ses basquets sales. En suivant ses ordres, je passais à l'autre pied. Finalement, il se cambra et fit baisser son slip. Son pénis était à moitié dressé et était couché le long de son ventre.

"Je vais pisser, suceur de bites. J'espère que tu es assoiffé. " Je pris rapidement le gland de son membre monstrueux dans ma bouche juste quand il commença à lancer un épais jet de pisse dans ma gorge. J'avalais docilement. Le flot semblait ne jamais s'arrêter, tandis que Jack disait "Avale cette pisse. Avale là. Ouais." Jack pissa dans ma bouche si longtemps que Derek pivota de son bureau et commença à observer. Quand le jet déclina finalement, Jack exhala un bruyant soupir d'aise et Derek se mis à applaudir.

"Steve tu es parfaite pour cela." Me congratula Derek. "Tu obéie à tous nos ordres, tu es la parfaite pédale."

Je resplendissais. J'aime faire cela, Derek. Merci pour cela, Jack, dis-je, retrouvant ma respiration. J'aimais tellement leur sperme et leur pisse que Derek avait pris l'habitude de recueillir sa pisse du matin dans une bouteille d'eau, qu'il me servait ensuite, plus tard, dans la journée. Des fois il secouait la bouteille, ce qui faisait que la pisse m'éclaboussait le visage. Et Jack aimait cela. Ils pouvaient en rire pendant 10 minutes après, tous les deux harponnant ma bouche et ma gorge avec leur bite.

"C'était amusant Steve, " dit Jack. "Maintenant, allonges-toi que je puisse m'asseoir sur ta face de lopette."

J'obéis rapidement, sautant sur le lit. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Jack avait abaissé sur mon visage le trou du cul le plus moite dont je ne pouvais rêver. Avant de m'autoriser à le lécher avec ma langue, il commença par essuyer son entre fesse moite de transpiration sur mon nez et mon front. La face de cette pédale va sentir une odeur de WC, hurla-t-il.

"Voilà qui est fait !" Annonça Derek tandis que je lapais le trou de Jack, respirant ces senteurs fortes de male. "Mon tour !"

Jack se releva de mon visage et fut remplacé par Derek qui enjamba ma poitrine. Il souleva ma tête et poussa sa bite de 20 cm dans ma gorge. Sous les encouragements de Jack, Derek se mit rapidement à baiser ma bouche avec rudesse. "Prends-le, sale pénale suceuse de bites", cria-t-il avec colère. Il avait en premier à deux mains mes cheveux et il faisait claquer son membre palpitant, entrant et sortant de ma bouche jusqu'à ce que ces couilles claquent contre mon menton.

Jack commença par essuyer sur mes joues son liquide séminal qui s'égoutter de son membre, d'emblée que Derek m'insultait et me baisait la bouche farouchement. "Hé, pédale," se moqua Jack, "il y a un invité surprise pour toi." Je pouvais à peine entendre ce qui disait tandis que je n'ai étranglé pour avaler son membre monstrueux. " Nous pensons que ce serait égoïste de ne pas partager les talents." Jack était en train de Brand et fiévreusement sa bite dans ma bouche maintenant. On frappa à la porte.

"Entre!"

Je ne l'ai pu voir le nouvel arrivant car sa vue était masquée par le torse de Derek.

"Viens ici et regarde attentivement," dit Jack au visiteur. "Nous allons couvrir la face de cette pédale avec notre sperme."

Jack se masturbait furieusement tandis que Derek se branlait en moi, remplissant ma gorge avec son membre. "Je suis prêt à jouir," annonça Jack. Derek retira sa bite de ma bouche en faisant un gros flop et se mit à se masturber à l'unisson avec Jack, à quelques millimètres de mon visage. Les deux hommes haletaient et riaient tandis qu'il branlait encore plus furieusement leur bite, jusqu'à ce que l'un d'eux cria "je jouis !" Et que l'autre l'acclama en disant "prends ça la suceuse !"

Soudainement les deux bites commencèrent à déverser des jets de sperme chaud sur mon nez, mon front, mes joues, ma chevelure, mon menton, mes yeux. Une fois qu'ils se furent soulagés dans un organe colossal, j'étais tellement couvert de sperme que je ne pouvais plus rien à voir. Derek se releva de ma poitrine. Lui et Jack se frappèrent mutuellement les mains et se mirent a rire.

"Assis, la pédale," ordonna Derek. "Garde les yeux fermés. Je ne veux pas te les voir ouvrir. Maintenant je veux que tu avales autant de sperme que tu peux, exécution. "

Je commençais à ramasser leur sperme avec deux doigts et je ramenais les flocons chauds dans la bouche.

"Sacrée pute, " s'exclama une voix familière. "Quelle lopette."

"Je te l'avais bien dit, Marc," dit Jack.

Marc ? ! Mon compagnon de chambrée Marc ? ! Mon visage encore tout barbouillé de leur sperme, ils m'autorisèrent à ouvrir les yeux et à voir leur invité. Mon compagnon de chambrée Marc, les yeux écarquillés et très étonnés, se tenait devant moi. Il ne connaissait rien de mes escapades récentes car il dormait habituellement dans la chambre de sa copine.

"Ton compagnon de chambre suce mieux les bites que n'importe quelle chatte que je n'ai jamais connue," dit Derek fièrement.

Je regardais Marc, rouge de honte. Son visage était de marbre. Son regard passé de Derek à Jack puis à moi. Soudain un sourire se dessina sur ses lèvres. "Merde, Steve. Si j'avais su que tu suçais les bites, je t'aurai fait avaler la mienne depuis un bon moment," dit-il.

"Tu peux rattraper le temps perdu maintenant," dit Jack.

Et Marc déboucla sa ceinture...

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"Derek commença à rire de manière incontrôlée. "Tu entends cela ? " Dit-il, regardant par-dessus ma tête vers la porte.

"Oui, j'ai entendu. "Je me retournais et je vis Jack, son compagnon de chambre en survêtement, debout dans l'entrebâillement de la porte. "Steve, es tu vraiment un suceur de bite ?

" Derek rit. "Jack, c'est la meilleure sorte de suceuse de bites: c'est ma suceuse de bites. Dit lui, Steve."

Je regardais Jack, embarrassé. Jack était véritablement un très bel homme. C'était de manière très nette un hétérosexuel qu se distinguait de la foule male de ce dortoir, et lui, contrairement à beaucoup d'autres, n'avait pas fait tout ce qu'il pouvait pour m'insulter. Il était très désirable. Il faisait plus d'un mètre quatre vingt avec un cops musclé de nageur. "Je suis la suceuse de bite de Derek." Jack me regarda fixement à nouveau.

"Et maintenant, Steve, " dit Derek, "tu es NOTRE suceuse de bite. Hé, Jack, veux-tu une bonne pipe ? "

Jack me regarda. Vraiment ?

"Pas la peine de lui demander. C'est juste une lopette. Bien sur qu'il le fera. "

Le regard de Jack allait de Derek à moi-même. Je ne pouvais dire ce qu'il était en train de penser, mais je désirais tout cela. Je rampais vers lui, tombant à genoux devant lui, et je baissais lentement son short et son boxer.

"Et bien dit donc, " haleta Jack.

Sa queue était magnifique, pas aussi grande que les 20 centimètres de Derek, mais était conséquente et aussi épaisse. Et ses couilles ! Enormes, poilues, couvertes de sueur suite aux efforts qu'il venait de fournie à la gymnastique. Je m'inclinais en avant et pris un testicule dans ma bouche, le faisant rouler sur ma langue.

"Oh super ! " Gémit Jack. Je vénérais ses couilles, m'occupant tantôt de l'une, tantôt de l'autre. Derek s'assis sur le bord de son lit, branlant sa bite érigée et rigolant.

"Suce bien sa bite Steve. Montre lui comment tu peux tout prendre en bouche. "

Je déplaçais ma bouche vers le gland, sa queue était maintenant complètement durci et gonflée au point de montrer ses seines saillantes. J'encerclais le gland de coups de langue avant de rapidement prendre toute la longueur au fond de ma gorge. Jack se laissait faire, gémissant de plaisir et me laissait officier sur son membre. "C'est trop bon."

Dereck pris la parole. "Bien sur c'est bon. C'est une bonne pipeuse. Mais tu vas manquer le meilleur Jack. "

"Je ne rate rien, mec," dit Jack. "Merci, c'est super. "

Cela énerva Derek, car le ton de sa voix changea. "Jack, c'est une pédale. Ce n'est pas une vraie fille. Tu n'as aucun besoin de la remercier et de lui dire combien tu apprécies sa bouche de pompeuse. Tu la traites trop gentiment. Regarde bien."

Dereck claqua des doigts fortement. "Sale pédale ! Viens lécher mon cul connasse !" Derek inclina son dos sur le lit et écarta ses fesses à deux mains. Je fonçais enfoncer mon nez entre ses fesses.

"Lèche ce cul." Je lapais son trou furieusement. "Je veux t'entendre apprécier l'odeur de mon cul merdeux." Je commençais à soupirer et gémir tandis que je passais ma langue dans sa fente culière. "Tu aimes cela ? C'est comment ?" Derek poussa fort et lâcha un pet très bruyant. L'odeur était absolument suffocante.

"Mec ça pue." Dit Jack.

"Bien sur ça sent mauvais, c'est un pet."

"Comment peut-il supporter cela ?"

"C'est une lope, n'est ce pas ? Regarde comment te servir de lui." Il me repoussa de son trou du cul et se cabra, pour fourrer sa queue bande dans ma bouche et l'enfonça jusqu'à ce que j'ai le nez noyé dans ses poils pubiens. Ensuite il me repoussa rapidement jusqu'à ce que seul le gland reste en bouche. Puis il s'enfonça à nouveau dans ma gorge. Ses mains enserraient ma tête, me tirant fortement les cheveux presque au point de me les arracher. Il pompait furieusement sa bite dans ma bouche et criait après moi. "Suce ma bite... Sale pédale ! Suce connasse ! "

"Mon Dieu, Derek ! " s'exclama Jack.

"C'est ma lope et tu dois la traiter en tant que telle." Il pompa plus vite sa bite dans ma bouche et je pouvais sentir ses boules devenir dures. Soudain il se retira de ma bouche et commença à éjaculer sur tout mon visage. Tandis que le sperme jaillissait jets après jets sur mes lèvres, mon nez, mes cheveux, je pouvais entendre Jack l'acclamer et l'encourager.

Finalement Dereck me flagella le visage avec sa bite, poussant des grognements de plaisirs tandis que Jack applaudissait et criait. "Prends ça suceur de bites ! Une vraie pédale !" Quand Derek s'est retiré, j'étais complètement essoufflée. Il fit quelques pas, vers sa commode et pris sa bouteille de coca, tétant les dernières gouttes. J'observais ses couilles et son sexe maintenant flaccide se balançant entre ses jambes.

Puis je sentis la main de Jack sur ma tête. "Allez pédale, c'est mon tour." Jack poussa sa superbe bite en érection dans ma bouche et guida énergiquement ma tête de haut en bas sur la tige. Et en quelques minutes il était en train d'éjaculer des flots de sperme dans ma bouche que je fus forcée d'avaler avec gratitude.

"Voilà, mec," dit Derek pour féliciter son compagnon de chambre.

"C'était incroyable," dit Jack. "Nous devrions faire cela toutes les nuits."

Derek me sourit, branlant sa bite doucement. "Oui nous le ferons."

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"Je te reverrai demain soir", avait-il dit. Et cela se produisit, à 6 heures précises, on frappa à la porte de ma chambre. "Qui est ce demandais-je ?

" Je sentis mon sexe se dresser dans mon slip. "Bonjour, c'est Steve, je suis seul, " dis-je. Je pus entendre Dereck rire pour lui-même. Une seconde plus tard, la porte s'ouvrait.

Dereck se tenait debout dans son boxer. Je le désirais. C'était un vrai home. Je ne pouvais pas détacher mon regard de la toison très fournie de son pubis qui disparaissait dans son boxer.

"Ecoute, pédale," dit-il. "Je t'ordonne de revenir cette nuit ici. Je ne sais pas à quelle heure tu vas te coucher, mais j'imagine que pour toi 6 heurs du soir ce n'est pas la nuit. Je dois encore dîner."

Mon cœur bondit dans ma poitrine. "Oh. Oui, je peux être là plus tard. "

"Tu as intérêt, Steve." Il saisit fermement mon poignet. Tiens, en attendant tu peux me divertir pendant que je mange. "

Il me tira par le poignet et m'entraîna dans sa chambre. Elle était sale et en désordre. Des vêtements sales étalés partout. Son compagnon de chambre, Jack, semblait seulement un petit peu plus ordonné que lui, à en juger par le coté de la chambre qui lui était réservé. Le lit de Derek était couvert de vêtements et de sous vêtements. Sur l'oreiller se trouvait un carton à pizza à moitié vide.

Derek fit tomber sur le sol les vêtements qui se trouvaient sur son lit. Il me poussa sur le lit et s'assis à coté de moi. Il prit une portion de pizza et commença à l'avaler en silence. Il se contentait de me regarder fixement. Il ne devait pas s'être rasé depuis plusieurs jours à voir l'aspect rugueux et négligé de ses joues. Ses cheveux étaient en désordres, gras et malpropres.

"Hé, viens plus prêt." Il me fit signe pour que je me rapproche de lui. Il se pencha vers moi comme s'il était sur le point de m'embrasser. Voulait-il réellement m'embrasser ? Quand nos lèvres furent seulement à quelques centimètres, il fit soudainement un énorme rot. Il rit énormément. "Tu es une pédale stupide, sais tu cela ?" Je baissais les yeux tandis qu'il commençait à téter une autre bouteille de coca. "As-tu passé un bon moment l'autre fois ? Hein?"

"Oui. J'ai aimé sucer votre bite. "

Il grimaçât. "Et ma pisse - elle avait bon goût ? " Je baissais la tête. "Tu as aimé." Il me sourit, une méchante grimace tordit un instant son visage. Alors son air changea. "Je dois m'excuser. J'aurais du t'offrir quelque chose à manger. Je fais un mauvais hôte. "

"Oh ce n'est pas un problème, Derek. " Dis-je, hypnotisé par le buisson de poils noirs qui garnissait ses aisselles et imaginant ma langue titillant chacun des poils.

"Veux-tu quelque chose à manger ? "

"Bien sur. Merci. "

Derek sourit à nouveau. "Et bien attaque ce morceau." Et en disant cela, il abaissa son boxer et s'allongea sur le dos, les jambes relevées, exposant son anus poilu. Il avait toujours un morceau de pizza à la main et continuait de mastiquer bruyamment. "Bouffe moi le trou, pédale."

Je n'avais pas besoin de plus d'encouragement. Je bondis pratiquement vers son entre fesse poilue. Ma langue coulissait de haut en bas le long de la fente et je respirais profondément, inhalant la forte puanteur poivrée. Le goût était fort et son trou était moite et chaud. Je le titillais d'abord avec ma langue avant de la pousser à l'intérieur.

Alors il lâcha un pet, comme cet énorme pet de la nuit d'avant. Et il rit. Visiblement il prenait son pied à me faire respirer ses pets tout chauds. "Respire bien ça, pédale. Profites-en comme la senteur des roses d'un jardin." Et il rentra dans un rire frénétique tandis que je lavais son trou avec ma langue.

"Allez pédé. Mets ta bouche de fiote sur ma bite. Je vais t'offrir un cocktail."

Sachant très bien qu'il allait pisser dans ma bouche, je pris juste le gland de son sexe monstrueux et le laissait reposer sur ma langue. C'est sur, ma bouche n'allait pas tarder à être remplie à déborder avec son jus amer. "N'en laisse pas tomber une goutte, Steve, tu es sur mon lit. Sinon tu devras laver les draps." J'avalais rapidement, buvant sa pisse âcre. Quand il s'arrêta finalement, il sorti sa queue de ma bouche et la secoua sur mon visage. Des gouttes d'urine s'écrasèrent sur ma face.

Tu fais cela bien. C'est pratique d'avoir une pissotière comme toi à sa disposition. Je suppose que tu peux aussi gober mon sperme, hein ? N'est ce pas vrai, lopette ?

" Je souris. "Je veux avaler votre foutre, Derek. S'il vous plait laissez moi le boire. " Son visage fit une énorme grimace. "Dit le encore, pédale."

"J'aime sucer les bites, et tout particulièrement la votre, Derek. Laissez moi avoir votre sperme. "

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Et bien. Tout le monde dit que tu es une pédale, Steve." Je me figeais. Mon expression devait avoir changé car il le remarqua. "Je n'ai jamais pensé cela, mec. Mais tout le monde dit à l'étage, 'Steve est une pédale. Il prends dans le cul.' Aussi je me suis dit que cela devait être un peu vrai. Je n'ai pas d'autres possibilités. Aussi qu'en dis-tu ? Prêt à me sucer ou non ?

Mon regard se fixa sur son bas ventre, qu'il était en train de frictionner à travers son short. Il remarqua mon regard furtif. "Tu es une vraie pédale." Il rit. Soudainement il tendit la main et je senti sa poigne sur ma nuque. Il tira ma tête jusqu'à lui, la maintenant fermement contre son entre jambe. Je pouvais sentir son érection à travers le tissu. "Est-ce que tu veux cette bite, lopette ?" J'opinais de la tête, en léchant mes lèvres. "Et bien, au boulot. J'ai besoin de me vider les couilles."

En disant cela, il baissa son short et son boxer, révélant sa queue en érection. Elle faisait environ 20 cm de long et était très large. Ses couilles étaient très grosses et poilues. Lentement, je me penchais en avant, empoignant la tige, et commençant à donner de légers coups de langue sur le gland.

"Mieux que ça suceur de bites, avale tout."

Je n'avais pas besoin de plus d'encouragement. Je pris une profonde respiration et je commençais à prendre en bouche la bite de Derek, jusqu'à ce que j'en ai avalé tous les 20 cm et que mon nez soit enterré dans abondant buisson noir. L'odeur était enivrante. Des senteurs de sueur, d'urine et de virilité pure emplirent mes narines. Je faisais de ma gorge un fourreau pour sa bite.

J'enfonçais sa bite jusque dans ma gorge, en coulissant de haut en bas, tout en sentant toujours la pression de ses mains sur le dos ma tête.

Soudain, il empoigna mes cheveux, me forçant à me retirer de son énorme bite, et criant "Mes couilles. Suce mes couilles, sale pédé."

J'ajustait immédiatement ma position afin d'avoir un meilleur accès à ses grosses couilles. J'enfonçais ma tête entre ses cuisses ouvertes, prenant un testicule dans ma bouche et faisant rouler ma langue autour. De ma nouvelle position, je pouvais sentir une odeur différente, plus musquée, plus sale aussi. Il semblait ne pas avoir essuyé son cul depuis des semaines. Je léchais son scrotum, avançant irrésistiblement vers son anus. Et alors, sans aucun avertissement, il lâchât un énorme pet. Le volume énorme de ce pet me choqua et je tentais de me retirer. Mais la poigne de Derek était forte. Il força ma face à se positionner directement en face de la ligne de feu, en ricanant, tandis qu'il lâchait un nouveau pet, plus petit.

"Sent ça, pédale. Je veux t'entendre respirer. Profites-en." Je respirais profondément, savourant cette odeur de male. "Tu aimes cela tapette. Lèche mon trou. Allez. Lèche le." J'avançais ma langue jusqu'à son anus moite de transpiration, goûtant les restes de merde et de sueur. Je commençait d'abord par faire lentement le tour de son anus, et commençait à le laper comme une chienne, dardant ma langue dans et hors de son trou du cul tandis qu'il me raillait et me mettait en son pouvoir.

"C'est la meilleure pipe que j'ai eu depuis des semaines, sale petite pédale. Ouvre grand." En disant cela, il péta encore une fois, avec force et grand bruit, une bourrasque de vent entra dans ma bouche, faisant gonfler mes joues. Je n'en lapais pas moins plus vigoureusement son trou. Tu aimes la puanteur de mes pets, tapette. A ma bite ! A ma bite ! " Je remontait rapidement ma tête et pris sa queue dans ma bouche, l'enfonçant profondément jusqu'à ce qu'elle bute au fond de ma gorge. Je crispais et décrispais ma gorge, sentant son outil au plus profond de moi. Je sentais ses couilles se frotter contre ma poitrine. Il commença à éjaculer, remplissant ma gorge d'abord et ensuite se retira en partie jusqu'à ce que seul le gland reste dans ma bouche, qu'il remplis avec sa semence. J'avalais avec enthousiasme, à cours de respiration, et adorant tout cela.

Lorsque son érection eu déclinée, je voulu retirer sa queue de ma bouche, mais ses mains m'en empêchèrent en me maintenant fermement. Il rit. "Qu'il y a-t-il d'urgent pédé ? Tu aimes la bite. Prends ton temps. Laisse moi m'asseoir maintenant. Oui. Comme cela." Il tirait gentiment mes cheveux tandis que je m'agenouillais devant lui, la tête de son gland flaccide posé sur ma langue. Il plissa les yeux et se concentra. Je le regardais droit dans les yeux.

"Tu sais ce qu'il y a de meilleur après une bonne pipe et avant d'aller au lit ?" Je secouais ma tête de droite à gauche pour signaler que je ne savais pas. "Et bien, après que la pétasse bien avalée mon sperme et qu'elle dégage. Je vais pisser pour bien me vider la vessie." Je le regardais en levant les yeux. "Oui. " Dit-il. En appuyant sa main sur ma gorge. "Mais avec une pédale comme toi, je n'ai plus besoin de me lever pour aller aux toilettes, n'est ce pas ? Tu vas tout boire comme une bonne petite lopette. Tu vas apprécier pédé !"

Je sentis le premier jet d'urine entrer dans ma bouche, acide, piquant. J'avalais rapidement, sachant que la force du jet allait augmenter, ce qui arriva. J'avalais toute la pisse que je pouvais pendant environ clinquantes secondes tandis qu'il tiraillait mes cheveux. Quand il eu fini, il retira son sexe flaccide de ma bouche et le secoua, ce qui fit jaillir quelques gouttelettes d'urine qui s'écrasèrent sur mon visage.

"Tu es une bonne suceuse de bite, pédale. As-tu apprécié ?" J'opinais de la tête. "Quoi ? Dis le à haute voix, putasse." "Oui j'ai apprécié. J'ai aimé vous sucer la bite. " Il grimaça. "C'est une bonne chose. Je te reverrai demain soir."

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J'étais à mon bureau, faisant mon travail -- ou essayant de faire mon travail. Je pourrais à peine maintenir mes yeux ouverts. La linguistique me barbait à me faire dormir debout. Mais, naturellement, il faut en passer par là n'est ce pas ? Car j'étais un jeune étudiant.

Quelques mots à mon sujet. Je suis un étudiant de première année. Je vis sur le campus dans une résidence qui est principalement consacrée aux étudiants de première année, mixte, avec des étages différents pour les hommes et pour les femmes. Mon compagnon de chambrée, Marc, est un type gentil. Le premier mois nous étions de grands copains, mais maintenant il a une petite amie qui vit dans un appartement hors du campus, aussi il passe rarement la nuit dans notre chambre.

A part Marc, je n'ai vraiment aucun ami sur le dans cette résidence. La plupart des types sont, disons, des porcs. Ils déambulent dans les couloirs jurant et rotant et pour quelque raison mystérieuse ne sont pas capable d'avoir assez d'énergie pour tirer la chasse des toilettes communes de l'étage. Mais, d'un autre côté, ils ne m'ont causé aucun problème d'aucune sorte. Et s'ils ne sont pas particulièrement aimables, ils n'ont pas non plus été méprisants envers moi.

J'étais donc à mon bureau, il était environ une heure du matin, tournant en rond d'ennui, quand on a frappé à la porte. "Entrez," ai-je crié paresseusement, mais la porte ne s'est pas ouverte. "Entrez, " ai-je dit encore, jetant un coup d'oeil sur le bouton pour voir si j'avais involontairement fermé la porte à clef. Il était ouvert. "Entrez!" Enfin, je me suis levé de ma chaise et j'ai ouvert la porte.

Comme j'ai ouvert porte, j'ai vu Derek. Derek vit de l'autre côté du couloir. Je ne sais pas grand-chose à son sujet, autre que je ne l'ai jamais vu un seul jour passer sans entrer dans sa chambre avec une fille sur son bras. Derek ne m'avait jamais adressé la parole, se contentant d'incliner la tête de temps en temps quand nos chemins se croisaient dans le vestibule, mais jamais vraie conversation.

"Salut, Derek."
"Oh. Bonjour, " dit-il comme si il ne m'avait pas remarqué que j'avais ouvert la porte.
"Marc est là?"
"Non. Désolé," ai-je répondu, en remarquant le corps de Derek.

Derek se tenait incliné contre le cadre de la porte avec un bras. L'autre bras était sur son côté, la main disparaissant dans la taille de son short de sports. Je pouvais voir au bombement extrême que sa main était sur son sexe. Il était poitrine nue. Quel spécimen! Ses abdominaux étaient comme un mur de muscles, pas bien formés et indiquaient une force incroyable. Un de ses bras étant soulevé pour prendre appui contre le cadre de la porte, je pouvais clairement voir le buisson moite et bien fourni niché dans ses aisselles.

"Encore debout ?" demanda-t-il, me tirant brusquement de mes rêveries.
"Oui. Bien sur. En train d'étudier, " bégayais-je.
"Bien," dit-il, semblant désintéressé.
"Tout cela est très brabant. Je suis en train de faire une pause."
"Envie de compagnie ? demanda-t-il, tandis que j'espérait qu'il veuille bien de la mienne.

Je ne pus cacher le sourire qui éclaira mon visage.
"Bien sur. " Avant que je pusse lui faire signe d'entrer dans ma chambre, il s'avança vers moi et se laissa tomber lourdement sur mon lit. Je tournais ma chaise pour lui faire face. Il s'assit sur le lit, s'allongea et mis jambes sur le lit, largement ouverte en V, tout le paquet qu'il avait dans son short faisant une large et grosse bosse. Il resta ainsi, ses mains derrière la tête, exposant maintenant ses deux larges buissons noirs sous ses aisselles, tous les deux humides de transpiration. Je ne pouvais m'empêcher de le détailler de haut en bas.

"Rends moi une faveur, veux tu ? " demandat-il avec un léger sourire. "Je voudrais retirer mes chaussures mais je suis trop crevé pour le faire." Il s'arrêtât, comme pour attendre ma réponse, mais je savais ce qu'il désirait. Je me senti parfaitement idiot de faire cela, mais je m'agenouillais et je me mis à retirer ses baskets. "Chaussette, aussi," ajouta-t-il. Je me sentis ridicule, a genoux devant ce parfait étalon. Mais après tout j'étais juste en train de rendre service à un ami.

Tandis que je faisait coulisser la dernière chaussette, il émis un soupir d'aise. Je me figeait, n'étant pas sur s'il pouvait être excité par mon attitude - il pouvait ne pas être gay, avec toutes ces filles qui traînaient après lui et toutes les histoires que j'avait entendu sur lui. Aussi je fit comme si je n'avais rien entendu. Juste deux garçons entre eux.

"Mec, je suis crevé," soupira-t-il.
"Vous devriez vous mettre au lit." Pourquoi fis-je ce commentaire stupide ?
"Je ne peux pas," dit-il.
"Vous ne pouvez pas ?"
"Non." Il se redressa, et se courba en avant en posant ses mains sur ses cuisses. Il me regarda par en dessous, alors que j'était assis sur le sol en face de lui. "Vois-tu, j'ai un problème."
"Un problème ?"
"Oui. Je ... je ne peux trouver le sommeil sans, tu sais, me vider." dit-il. Sa main gauche gratta ses couilles.
"Vous n'avez qu'à vous masturber, Derek."
"Me masturber !" Il a sourit.

"Pourquoi me masturber quand je vous trouver quelque stupide pétasse pour vous sucer et avaler votre jus ? Je ne me suis pas couché sans une bonne pipe depuis 46 jours, mec... Et désormais je ne peux plus m'endormir sans cela. Je dois trouver une salope pour me sucer à fond, puis je la renverrai chez elle et je pourrais alors m'endormir comme un bébé. Le problème c'est que la salope que j'avais avec moi cette nuit n'a pas voulu me sucer. Aussi je suis sérieusement en manque et je bande comme un cerf, ne vois-tu pas ? " Il me regarda avec un sourire vicieux sur ses lèvres.

"Qu'allez vous faire ? " Mon sexe grossissait dans mon pantalon.


Source: Soumischaste.net


 

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20 ans. Je mesure 1m70 pour 58 kilos, brun, plutôt mignon, et ma plus grande fierté c'est mon cul, bien rond et ferme. Je n'aime pas m'ennuyer sexuellement, alors je me suis inscrit sur un site spécialisé dans la domination et la soumission. Mes photos attirèrent rapidement un homme. Tout ce que disait sa fiche, c'est qu'il avait 45 ans, qu'il était arabe et qu'il voulait un petit français à ses pieds.

On a parlé par MSN pendant quelques jours. Il m'a demandé une obéissance totale si j'acceptais de venir chez lui, pas le droit de refuser quoi que ce soit et je ne devais pas me toucher la bite.

Bref, le rendez-vous est dans une cité. Je monte à l'étage qu'il m'a indiqué et je sonne, me mettant directement à genoux.

Quand il ouvre la porte, je le vois exactement comme je l'imaginais. Bien plus grand que moi, dans les 1m80, poilu, bedonnant, une moustache et une barbe de plusieurs jours. Il ne porte qu'un pantalon et me tend direct son pied.

- Vas-y lèche, petite pute.
Je m'activais le mieux possible sur son panard, puis il me fit entrer. L'appartement était meublé d'une façon rudimentaire, il avait mit un matelas au milieu de la pièce principale, et vu l'état, il avait pas mal servit, car il était dégueulasse.
-A poil et va sniffer ton lit.
Je m'exécute. Ça sent une odeur d'humidité et de pisse, une odeur à se relever le cour.
-C'est bien, t'es obéissante. Maintenant lèche le.
Je le fais, tant bien que mal. Quand je relève la tête, il est à poil. Son membre n'est pas encore totalement dressé, mais ses couilles poilues ont l'air pleines.
-Tu en as envie?
-Oh oui...
-Tu l'auras mais d'abord, restes à genoux et ouvres la bouche... voila très bien.
Il me balança un, puis deux mollards. Il attendit que j'avale pour approcher sa bite de ma bouche, puis commença à me pisser doucement dans la bouche.
-J'ai fais des réserves pour toi, allez, avale le plus possible, ne gâche rien.... c'est bon.... t'es une bonne petite. Tu as aimé?
-Oui, beaucoup monsieur, merci...
-Et le sperme, tu aimes?
-Oh oui!
-Alors avale ça.
Il me tendit un verre, à demi-plein. L'odeur était très forte. A la petite cuillère, et déguste. Je le fis, il avait l'air content. J'appris par la suite qu'il avait demandé à trois potes (que j'allais connaitre, mais c'est une autre histoire) de garder leurs capotes pour remplir ce verre.

Après ça il me mit sa bite bandée sous le nez. Elle mesurait bien 18 cm, épaisse, circoncise. Sur son ordre je la mis en bouche, passait la langue autour de son gland, descendait lécher ses boules. Au bout d'un moment, il se retira, m'ordonna de me mettre à quatre pattes, me badigeonna le cul d'huile d'olive et m'enfonça sa bite dans le cul. La douleur fit rapidement place au plaisir. Il me pilonna brutalement puis sortit de mon cul sans gicler.
-Trois doigts dans ton cul, et tu bouges pas.
J'attendis et rapidement la sonnette retentit. Il alla ouvrir et revint avec un maghrébin, pas plus vieux que moi, en survêt, et qui tenait un énorme chien en laisse.
-Voila le jouet, je te le laisse.
Le jeune sortit sa bite et me la mit directement dans la bouche. Il attrapa ma tête et me pilonna la bouche sans ménagement. Sa queue était plus petite que l'autre, mais plus large. Puis, il enleva les doigts de mon cul, et me sodomisa brutalement. J'entendais ses couilles claquer contre mon cul. Plusieurs minutes après, il s'arrêta au fond de mon cul.
-Quelle pute! T'es une pute hein?
-Han... oui...
-T'aimes la bite? -Oui...
-Tu dis jamais non à un mâle?
-Jamais.
-Très bien. Je vais te graisser, et tu soulageras l'autre mâle en même temps avec ta bouche de suceuse.

Il sortit de mon cul. Je restais à quatre pattes et je m'attendais à ce que Kader nous rejoigne, mais il ramena son chien.
-Branles le, fais le bander.
-.....
-Obéis petite pute, ou je t'explose!
Je mis la main sur le fourreau du chien, et le bout rouge ne tarda pas à sortir. Dès qu'il sortit assez, je me penchais vers la bite du chien et la mit en bouche. Ce n'était pas mauvais. Le membre grossissait et une boule se formait à la base. Je l'attrapais d'une main, le sperme du chien commençait à gicler dans ma bouche, une quantité impressionnante et régulière.
J'en avalais le plus possible, mais il y en avait qui coulait sur mon menton. Pendant son temps, le jeune rentra à nouveau dans mon cul et me pilonna le plus fort possible, j'avais le cul en feu, et je sentis peu après un liquide chaud dans mes intestins.
-Kader, c'est une pute à clebs. Faudrait la faire monter par tous les clebs du quartier.
-C'est à voir, mais pour l'instant je vais me vider. Hé petite pute, t'es même pas digne de me toucher la bite. Ouvres la bouche et tires la langue.
Je le fis et attendis. Il se branla lentement puis de plus en plus vite, approcha son gland de ma langue et largua sa purée dessus.
-Avales!... C'est bien. Tu as été gentille. Tu vas avoir la possibilité de jouir. Mais pour ça, tu dois d'abord jurer d'être ma pute, et celle de qui je veux. J'pourrais te prêter à n'importe qui, même à un clebs ou un clodo. Ok?
-... ok
-Branles toi par terre, et après nettoies bien.
Je le fis le plus vite possible, ma bite était tendue au max. Mon orgasme fut énorme. Puis je léchai tout. Il me jeta mes vêtements et me dit de rappliquer dès qu'il me sifflera.

 
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