Par pourvouservir - Publié dans : Exercice de marche
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Vous en avez assez de trainer vos genous dans les cailloux? Voici un exercice qui vous fera devenir plus fort...
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Il règne une certaine tension dans la maison ce matin. Mon maître s'est énervé au téléphone avec un de ses associés. Il a besoin d'air. Je veux lui proposer une balade en forêt pour le détendre. Pour cela je vais chercher ma laisse. Elle est souvent posée sur un petit meuble proche de la porte d'entrée. Je prend la chaîne entre mes dents car je sais que si j'utise mes mains, je risque de l'énerver un peu plus encore. Je me tiens á genoux dériere lui en essayant d'attirer son attention par de très léger couinenement. Enfin quand il me remarque et qu'il se retourne je découvre son regard furieux. Je n'ai pas choisi la bonne façon pour le détendre. Une claque monumentale acompagnée d'un " Ta gueule" me fait vaciller. Je m'écroule sur le carrelage de tout mon poids, surpris par la force de ce coup. " tu veux que je m'occupe de toi? Et bien tu va voir." ajoute t-il. "Je voulais attendre le weekend prochain pour essayer mon nouvel achat mais là, j'ai besoin de me defouller". Il me prend alors par le collier sans même me laisser le temps de me relever et me traine jusqu'à la porte d'entrée. "bouge pas" ordonne t-il. J'ai a peine le temps de me relever qu'il revient déjà avec un gros carton. "J'ai fait faire cela specialement pour toi." il sort alors de la boite une cagoule en acier. Elle a la forme d'un œuf. Elle a trou a sa base sûrement pour y passer le cou et s'ouvre avec une charnière sur le dessus. Deux crochets de chaque coté pour la cadenasser. Quelques petits trous ponctuent le dessus. C'est pour respirer me dit le maître. Replongeant sa main dans le carton, le maître, ressorti avec une autre boule d'acier. "Celle la est pour protéger ton sexe" ajoute t-il . Pendant qu'il m'installe les deux boules d'acier, je repense a ses derniers mots. Pourquoi me protéger? Et protéger de quoi? Dans la cagoule qui pèse un âne mort, je ne vois rien. Je suis dans le noir complets. Ma laisse est rattachée et je me sent tirer vers l'exerieur de la demeure. Après quelques minutes de marche je sens qu'il me détache et l'herbe que je sens sous moi m'indique que nous sommes dans un champs. "Tu voulais courir! Alors cours!" m'ordonne mon maître. Désorienté, je commence a marcher. Je ne sais pas ou je vais mais il m'hurle d'aller plus vite. Je m'execute en forçant le rithme. Une détonation retenti en même temps que je sentais ma fesse droite exploser. Une violente douleur me fit comprendre qu'il était en train de me tirer dessus a la carabine. Je m'ecroulais dans l'herbe. "Aller cours!" Entendais je crier. Je me relève pour reprendre ma course. Je pose tout de même la main sur ma fesse endolorie pour vérifier qu'elle était entière. Une fois rassurer, je reprenais ma course. Elle fut aussitôt stopper par une nouvelle déflagration et une douleur immédiate en haut du bras gauche. "cours!" et le petit jeu du maître recommença comme cela. Dix fois je reçu une balle, dix fois je m'ecroulais. Le poids de la caloule et chaque impacts douleureux m'avaient epuisé. Un onzième ou douzième impact coup de fusil était tirer quand je senti toute ma tête vibrer. Le cri de joie de mon maître me fit comprendre que toucher la cagoule en acier était son but. Pour moi j'avais la tête comme dans une cloche. Le bruit avait été infernal. Et je restais alonger dans l'herbe incapable de faire plus de mouvement. Une main agrippa mon collier pour me soulever. Je sentais que l'on me delivrait de ma cage en acier. Éblouis par la Lumière je ne vis pas de suite toutes les taches de peinture qui maculaient mon corps. Je venais d'être la cible d'une bonne séance de paint ball qui avait bien fait décompresser mon maître. Au moins voilà une bonne chose de faite. Nous rentrons vers la maison doucement. Le maître sait que je ne peux pas marcher vite a quatre pâtes après tous les coups de fusils que j'ai reçu. "la prochaine fois se seront tes couilles qu'il faudra toucher. Me dit il en ouvrant la porte de mon local. J'ai invité quelques copains pour une nouvelle séance de tir le week end prochain. Vas te laver!" Sous une douche bien chaude, je masse mes membres marqués d'impact. C'est sur je vais etre couvert de bleu. Je n'ai pas hâte aux prochaines fêtes que mon maître organisera. Je suis sur que je vais encore beaucoup souffrir.
Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
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vivement cet été. Si déjà dès les premières chaleurs on part en caravane!

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Depuis combien de temps l’avait-il mis dans cette position ? Pouvait-il être plus à sa merci qu’ainsi, attaché, les yeux bandés, nu, écartelé? Pourquoi ne revenait-il pas ? Et quelle avait été cette allusion à des inconnus qui aimaient se repaître de soumis dépravés?


Mais quelle était donc cette chaleur qui envahissait son ventre? Sentait-il vraiment des gouttes lentement couler le long de ses cuisses?


Comment était-il vraiment arrivé à ce stade de la débauche? Grace à son Maitre, à cause de de son maître, ou à cause de lui-même?


Voulait-il vraiment que des inconnus, des hommes au sexe dressé, entrent dans cette pièce et le voient ainsi, totalement indécent, à leur merci, mais aussi qu’ils le voient pantelante, le sexe dégoulinant?
Voulait-il vraiment que ces images qui tournaient dans sa tête, de plus en plus vite, de plus en plus fort, images brouillonnes de mains sur son corps, de cheveux tirés, de doigts dans sa bouche, de gifles sur son corps, sur son visage, de fouet sur son dos, ses fesses, son ventre, ses pectoraux, ses tétons, de pénétrations multiples, d’orifices investis, de corps secoué par l’assaut de membres turgescents, deviennent réalité?
Et son Maître entra, et il fit entrer des hommes. Certains semblaient à leur aise et souriaient, d’autres étaient intimidés par la situation. Le Maître s’approcha de sa chose, le saisit par un téton avec une certaine brusquerie, il fit quelques remarques sur son corps, sur certaines parties qu’il aimait particulièrement, sur d’autres qui étaient aptes à donner du plaisir aux hommes. Tout en parlant, il le tenait toujours par ce téton, un peu comme il l’aurait tenu par une laisse, et il secouait et faisait lentement balancer son corps en un mouvement qui suivait le rythme de sa voix.


Et cela fit sourire certains, et en choqua d’autres, on pouvait le voir à leurs yeux agrandis. Puis il le gifla violemment en empoignant en même temps ses couilles pour empêcher son corps de tourbillonner pendant qu’il se remettait à le gifler. Puis il lâcha le petit sac a foutre de son soumis pour le laisser tourner d’un côté ou de l’autre au gré de ses claques qui résonnaient dans la salle.


Il demanda alors aux hommes de s’approcher et de profiter de ce corps qu’il leur offrait pour son plaisir à lui, pour le leur, et pour celui du batard aussi, affirmait-il. Des mains s’emparèrent de son corps, de plus en plus de mains, investissant chaque centimètre carré de peau.


Et l’on pouvait dire que, littéralement, son corps ne lui appartenait plus.


Puis il fut fouetté, surtout sur le dos et les fesses qui se couvrirent de marques rouges de plus en plus nombreuses, alors qu’il poussait de délicieux gémissements mêlés d’un soupir, presque à chaque coup. La tête se rejetait alors en arrière pour permettre au corps de se tendre, afin qu’il aide à la diffusion de la douleur.


Cela lui donnait une pose magnifique, absolument émouvante, expression de la détresse d’un corps maltraité, expression aussi d’une sensualité animale à l’état le plus pur.


Et les mains reprirent possession de ce corps maintenant rougi, elles investirent les chairs et s’invitèrent d’elles-mêmes dans les places les plus intimes.


Puis on joua sur les poulies et on descendit un peu le mécanisme afin d’ajuster la position du soumis. Les hommes se succédèrent en lui. Une bouche et un cul accueillant recevait tous les honneurs de ces hommes dont le seul besoin était de jouir sur lui. Son corps fut secoué, de coups de butoir, mais aussi de spasmes provenant d’une source encore plus profonde en lui, d’un endroit qu’il ne connaissait pas jusqu’alors mais qui irradiait de lames indéfinissables, d’ondes de plaisir, puisqu’il fallait bien les appeler comme cela.


A la fin, les hommes se retirèrent un à un, seul le Maître resta avec un ami fidèle qui délia les poignets et les chevilles du soumis alors que son Maître l’avait arrimé à lui en la serrant contre son corps avec fermeté mais aussi avec une infinie tendresse. Il lui glissait tout doucement des mots et des phrases dans ses oreilles, et il l’arrimait à son cœur aussi fermement qu’il le faisait à son corps. Il se sentit flotter dans l’espace, esprit à peine accroché à son corps rassasié, serpentant comme un dragon merveilleux et translucide dans d’étranges limbes au-delà du réel, au-delà du paradis ou de l’enfer...


Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
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Woof woof

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