Par pourvouservir - Publié dans : Photo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Je tiens à vous faire part de ma soirée d’hier. J’ai encore la honte de ce qui m’est arrivé, mais le fait d’en parler ne peut que me faire du bien. Hier soir donc, j'avais quartier libre (je suis militaire, pompier de paris) et j'avais envie de sortir prendre un verre. En civil, je me suis retrouvé dans un bar sympa et j'ai commencé à discuter avec un mec plus jeune que moi. Il m'a ensuite proposé de prendre un dernier verre chez lui. J'ai accepté et je dois vous dire que tous les deux nous étions un peu éméché. Il a commencé petit à petit à me toucher. Il ne me déplaisait pas et je me suis dis qu’après tout pourquoi pas. Mon physique de mec costaud pouvait lui faire penser que j'étais bien membré et je lui ai donc dit que la nature ne m'avait pas gâté de ce côté là et que j'avais une bite minuscule. Je croyais calmer ses ardeurs, mais pas du tout. On s'est désapé et il m'a demandé de le sucer. Il avait une très grosse queue longue et bien épaisse, et j'ai commencé à la prendre dans ma bouche. Je l'ai sucé un long moment tout en touchant ma petite queue. Je pensais qu'il allait jouir et qu’on allait en terminer là. Il me dit qu'il voulait maintenant m'enculer. Je lui dis qu'on pouvait en rester là. Il ne voulait rien savoir et que je n'avais rien à dire. Je n'étais qu'une lope, un sous-homme avec cette bite ridicule. J'étais humilié et je compris que j'étais à sa merci, complètement soumis à lui. Je le suppliais de ne pas me faire mal et de me prendre doucement. Il voulu que je sois à quatre pattes et j'ai senti son énorme bite s'enfonçait lentement en moi. A moitié rentré dans mon cul, il rentra le reste de son membre brusquement, ce qui me fit hurler de douleur. Je lui dis que j'avais très mal et je le suppliais d'arrêter de m'enculer. Il refusa net et continuait à me défoncer, en me mettant de gros coups de butoir, et en me traitant de lopette. Je gueulais, je chialais tout en le suppliant d'arrêter de me baiser. Tout cela le faisait rire et il était de plus en plus excité. A un moment, il retira sa queue et je sentie une délivrance. Je restais un court moment le cul en l'air comme pour apprécier le soulagement. Cela fut de courte durée car il me mit sur le dos, me leva les jambes et me remis sa grosse queue sans ménagement dans mon cul. Il faut dire qu'avec ce qu'il venait de me mettre, mon trou était bien écarté. Dans cette position, il voyait ma toute petite bite et me dit que je ne risquais pas de la lui mettre dans son cul. Que pour un sapeur-pompier, ça la foutait mal de me retrouver la bite au cul et d’être monté comme un môme de cinq ans. J’étais baraqué, le crâne rasé, un look de mec super viril mais en réalité je n’étais qu’une lope complètement passive avec mes quelques petits centimètres entre les jambes. Si mes potes me voyaient en ce moment me faire enculer les jambes en l’air et de voir ainsi le trou de mon cul assailli par une énorme bite de mec en rut, ils n’en reviendraient pas. Pendant encore un très long moment, il me défonça encore le cul, et je continuais à grimacer de douleur. Il n’avait même pas mis de préservatif et je lui dis de ne pas décharger son foutre dans mon cul, de ne pas jouer au con et que cela pouvait être dangereux. A force de me limer, il libéra toute sa copieuse semence, et je sentais son foutre qui m’inondait l’intérieur de mon cul défoncé. Je me sentais maintenant vraiment comme une pauvre lope, et, il avait raison, je n’étais qu’un sous-homme. Pour encore plus me prouver que c’était vrai, alors que sa grosse queue commençait à débander, il prit sa bite et se mit à pisser sur ma gueule et sur ma petite queue. Il m’ordonna que je me branle car il voulait me voir éjaculer. J’ai fini par lâcher mon sperme et me demanda de déguerpir sur le champ. Je suis rentré à la caserne en espérant de passer inaperçu, ce qui fut le cas. Dans ma chambre, je me sentais souillé, violé et sali. J’ai pris une douche et me suis mis au lit en chialant comme môme un long moment dégoûté par ce que je venais de vivre.

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Par pourvouservir - Publié dans : Photo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Par pourvouservir - Publié dans : Photo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Signifie "bouchon", en anglais. Gode* "auto-adhésif", rigide ou gonflable, à insérer dans l'anus et/ou le vagin, dont la forme en "bouchon de champagne" permet le maintien en place sans qu'il soit nécessaire de le tenir. La partie enfoncée est en forme de sphère ou de pyramide, dont le diamètre dépend du modèle, mais surtout du degré de dilatation atteint par l'orifice visité. 
Par pourvouservir - Publié dans : réflexions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

De passage à Paris pour la première fois, j’avais entendu parler des backrooms Parisien. Ma curiosité était trop forte pour ne pas y mettre les pieds. Vivant à Dijon et n’ayant jamais bougé de ma région, sauf une fois pour aller à Metz pour du boulot, je n’avais donc jamais vu un backroom Parisien.

On m’en parlait souvent, alors j’y ai été et voici ce que j’y ai fait ce soir là.

Je tournais en rond dans un backroom Parisien, je marchais en matant les mecs qui me lorgnaient des yeux. J’étais bien beurré, j’avais bu plusieurs consommations au bar.

Mon Poppers « Jungle Juice » dans la poche, je me dirige vers une pièce noire. A peine rentrée que je sentais des mains me tripoter la bite, les fesses… De suite, mon pantalon se retrouvait déboutonné et mon pantalon était baissé jusqu’aux chevilles.

Je baladais mes mains un peu partout, je touchais les queues qui se présentaient autour de moi, je tripotais les teubs… Il y en avait des petites, des moyennes… Jusqu’au moment où je tombe sur une bite hyper longue et pas trop épaisse mais pas fine non plus.

Je me suis mis sur les genoux et j’ai rentré la bite du mec dans ma bouche, je ne voyais pas son visage, je ne voyais rien autour de moi, c’était le noir total. J’ai commencé à faire un va et vient avec ma bouche sur cette bite, je la suçais tout en tournant ma langue autour de son gland et je jouais avec son long prépuce.

Le mec me mettait une bouteille de Poppers sous les narines pendant que je lui suçais la teub. J’ai sorti mon Poppers « Jungle Juice » car je préfère le Poppers « Jungle Juice » et j’ai reniflé cette bonne odeur de Poppers « Jungle Juice » et j’ai senti l’effet du Poppers me monter à la tête lentement mais sûrement, car après avoir rebouché ma bouteille de Poppers « Jungle Juice », j’ai senti une excitation monter en moi.

La bite du mec ne mesurait pas moins de 25 Cm voir 28 Cm. Comparé à moi, ma queue mesure que 16 CM. Une grosse bite qui rentrait parfaitement dans ma bouche, la taille de sa queue était faite pour mon gosier. Le keum était mince et avait le torse imberbe, les couilles rasées et très peu de poil sur le pubis. Les couilles étaient bien pendantes et lourdes de sperme…

Petit à petit, au fur et à mesure que je pompais sa longue queue, je rentrais un peu plus de Cm de sa bite dans ma bouche à chaque va et vient. J’étais bien bourré et sous Poppers…

Je pouvais sentir de temps en temps la mouille qui suintait de son gland. Le mec mouillait pas mal et je sentais le goût de sa mouille qui disparaissait quand j’avalais ma salive et ré-apparaissait peu de temps après.

Dès que le gland de la longue et grosse bite du mec avait dépassé ma glotte, j’ai senti ses mains de chaque côté de ma tête, au niveau de mes oreilles. Le mec appuyait ma tête contre lui jusqu’à rentrer sa bite en entier dans ma bouche. Le gars pilotait lui-même les vas et viens, il me baisait la bouche en fond de gorge à grandes cadences. J’avais de rare haut le cœur, sa bite était au bon diamètre pour ma gorge… La teub du mec rentrait comme une lettre à la poste. Ma bouche était devenue en moins de deux un trou pour ce mec inconnu, il me pilonnait la tronche lentement sur toute la longueur de sa bite jusqu’au fond de ma gorge. Il faisait pivoter ma tête de droite à gauche tout en me limant le fond de ma gorge, les gestes du mec étaient lents mais réguliers.

De temps en temps je re-sniffais un coup de Poppers et je remettais aussitôt ma bouche à dispo de ce mec que je ne voyais pas… Je me laissais faire, j’étais dans un très bon trip. Je me masturbais doucement la bite en frottant légèrement le bout de mon gland mouillé par l’excitation et je faisais gaffe de ne pas juter trop vite car je kiffais trop être l’objet sexuel de ce mec…

Je tenais dans l’une de mes mains ses grosses couilles douces et pleines, de l’autre main, je me touchais la queue… Le mec n’arrêtait pas de me mettre sa bouteille de Poppers sous le nez et je reniflais à chaque fois, car ce mec le voulait et que cela le faisait kiffer. Sa bite me plaisais beaucoup car elle était de taille vraiment géniale et en harmonie avec ma bouche de pompeur que je suis.

J’ai 24 ans et c’est la plus belle bite que je n'ai jamais vue et pourtant, j’en ai pompé pas mal des bites… J’ai commencé à sucer des queues tout jeune, j’avais à peine 15 ans quand j’ai sucé une bite pour la première fois.

A un moment, tout en continuant à me baiser lentement la bouche sur toute la longueur de sa bite, j’ai commencé à sentir dans ma bouche, un peu plus de liquide que sa mouille…

C’était presque rien, mais ce liquide n’avait presque pas de goût, c’était chaud, plus chaud que le sperme et pas du tout visqueux comme peut l’être le foutre. J’ai avalé sur le coup, car pris par l’excitation et sous Poppers, je ne me suis pas posé de question.

Je n’ai rien dis et le mec continuait à me pilonner lentement la bouche, son gland était au fond de ma gorge à chaque va et vient. Sa bouteille de Poppers était continuellement sous mon nez, j’étais bien dosé au Poppers et par les Whiskys avalés une demi-heure avant.

A peine 30 secondes plus tard, je ressentais ce même liquide dans ma bouche, j’ai su qu’il me lâchait des jets de pisse dans ma bouche tout en me baisant la tronche… J’ai encore avalé…

Je n’avais jamais bu la pisse de quelqu’un d’autre avant lui. Les jets de pisse qu’il me lâchait dans la bouche étaient si petits que je pouvais avaler, cela me donnais l’impression qu’il jutait dans ma bouche toutes les 30 secondes, c’était trop excitant…

Je ne suis pas le mec qui avale le jus et la pisse de mes partenaires, c’est vraiment la première fois que je faisais cela… Je me laissais emporter par l’excitation et les effets du Poppers…

Le mec voyant que j’avalais sa pisse sans bronché m’a lâché un jet de pisse un peu plus volumineux que les premiers. Toutes les 30 secondes, je sentais la pisse couler et j’avalais tout en continuant à le sucer. Je déglutissais sa bite quand elle passait dans ma gorge et quand la bite ressortait, c’était le moment où j’avalais sa pisse. 

Ces jets d’urine qu’il me faisait boire était des petits jets de pisse en petites quantités…

A un moment, il s’est arrêté de me baiser la bouche, il est resté fixe, sans bouger tout en gardant sa queue au fond de ma gorge, sa bite en entier dans ma bouche. Ses mains tenaient ma tête contre son ventre, il appuyait fort ma tête contre lui pour m’empêcher de retirer sa bite de ma bouche. Je sentais presque rien, mais je savais qu’il était en train de me pisser au fond de la gorge.

Je bandais si fort que j’étais à deux doigts de jouir, mais je lâchais ma queue de temps en temps pour ne pas juter et j’attendais que le mec reprenne le va et vient dans ma bouche. Je n’avais pas besoin de déglutir car son gland était si loin dans ma gorge, que la pisse du mec tombait directement dans mon estomac.

Il reprit les mouvements dans ma bouche, j’étais grave excité, j’étais devenu une lope en moins de 10 minutes et le mec en profitait grave et se faisait vraiment plaisir. Je sentais vraiment que c’était son tripe et qu’il adorait ça… J’adore faire plaisir aux mecs, surtout quand je prends du Poppers… Mais quand même pas jusque là… Mais bon, je n’avais soudainement plus aucun tabous. J’étais devenu sa chose, son jouet, son urinoir…

Le mec mouillait tellement du gland que j’avais la salive de plus en plus gluante. J’ai voulu cracher par terre, mais dès le premier crachat sur le sol, le mec m’a dit :

« Non, ne crache pas, avales tout ce qui sort de mon gland »

Je n’ai rien répondu et j’ai remis la bite du keum dans ma bouche. Il me laissait de temps en temps faire les mouvements sur sa teub. Je suçais sa bite sur toute sa longueur et je jouais aussi avec son gland et son long prépuce. Il lâchait aussi des jets d’urine quand je lui suçais le bout du gland. Je serrais mes lèvres bien autour de sa queue pour pas en avoir sur le pantalon, ainsi que sur mon tee-shirt.

Le gars m’a retenu la tête encore une fois entre ses mains pour m’empêcher de bouger, il a rentré la moitié de sa queue dans ma bouche, j’ai su de suite ce qu’il comptait faire, alors, j’ai serré mes lèvres sur sa bite et j’ai immédiatement senti le jet d’urine taper sur ma langue. J’ai avalé une gorgé, mais comme il se lâchait complètement dans ma bouche, j’ai avalé progressivement sa pisse par plusieurs gorgés…

Le keum avait la vessie très pleine, j’avais le ventre rempli, comme après avoir bu une bouteille d’eau en entier.

Une fois que le mec ait fini de se vider la vessie dans ma bouche, j’ai repris mon activité en pompant sa queue tout en serrant et en malaxant ses couilles dans mes mains, je ne pouvais plus me toucher la queue car j’étais vraiment à deux doigts de juter sans me toucher la bite tellement j’étais trop excité…

Je kiffais grave sa queue, elle était douce, son gland était si doux et si bon, la mouille qui sortait de sa teub quasiment en continue était si sucré que ma salive était vraiment gluante, j’avais presque du mal à avaler… Mais j’avalais sans broncher tout ce qui sortait de sa queue comme il me l’avait demandé… J’étais complètement soumis à ce mec que je n’ai pas encore vu et dont je ne connais strictement rien de lui… Je sais juste qu’il est mince, imberbe et bien teubé, mais c’est tout…

Je suçais sa bite de toute sa longueur et en tournant ma langue sur le gland quand sa queue était quasiment hors de ma bouche. Il me frottait les cheveux pendant que je lui astiquais le chibre. Je lui faisais quelques gorges profondes de temps en temps, j’adorais sentir son gland défoncer ma glotte en fond de gorge. J’aspirais doucement le bout de son gland pour extraire le maximum de mouille et une fois la bouche rempli, j’avalais le mélange de sa mouille avec ma salive.

Je vénérais sa bite, je la pompais avec amour, je me délectais de la mouille qui sortait de son gland. Une fois la bouche pleine, j’avalais ma salive mélangée à la semence du mec. Il me tirait les cheveux et se cramponnait à mes oreilles en tirant dessus pour faire aller ma tête d’avant en arrière pour mimer les mouvements de va et vient.

D’autres mecs autour de nous dans le noir, me touchaient la bite, j’étais obligé de les repousser car la pression de ma teub était trop forte, je pouvais juter d’un moment à l’autre et je ne voulais pas jouir avant la queue que je suçais. Je ne voulais pas que cela s’arrête alors je n’astiquais pas trop vite la bite du mec, j’y allais doucement, je lui faisais du bien, mais je ne voulais pas qu’il jute de suite, je voulais faire durer le plaisir…

Toujours en continuant à me tenir par les oreilles, le mec fait rentrer sa queue en entier jusqu’au fond de ma gorge et la ressort de ma bouche en entier et la replonge jusqu’au fond de ma gorge et tout ça, lentement et en douceur.

A genoux, je redresse ma tête vers le haut au maximum pour laisser rentrer plus facilement la queue du mec sur son entier dans ma bouche. Le keum pénètre ma bouche comme s’il baisait un cul, ma gorge est l’orifice de ses plaisirs les plus vicieux.

Le gars accélère progressivement ses mouvements dans ma bouche. Son gland défonce la glotte de ma gorge et ressort de ma bouche, sa mouille sort peu à peu et augmente aux accélérations du mec. J’ai le gosier tellement tendu que le filet de mouille coule en continu au fond de ma gorge quand sa queue s’y plonge en entier dans mon gosier.

Tout en continuant ses vas et viens dans son orifice d’un soir, il sait mit à diminuer les mouvements de pine dans ma bouche, il baisait ma tronche un peu comme un lapin mais beaucoup moins rapidement. Il pénétrait lentement ma gorge en faisant des courts vas et viens au fond de ma bouche. Son gland ne quittait plus le fond de ma gorge, je me soumettais au maximum à lui et je relevais ma tête comme il fallait pour que la bite pénètre bien le fond de mon gosier sans me faire vomir.

Je laissais aller ma tête aux rythmes des mouvements du mec, je me laissais manier comme un pantin et me donnais entièrement à lui. Il prenait son pied dans ma bouche en douceur même si c’était lui le dominant dans ce plan cul.

J’ai sucé ce mec au moins pendant 45 min, voir presque 1 heure… Ma gorge s’était habituée au coups de pine de ce keum, sa teub rentrait et sortait vraiment très facilement et je n’ai pas eu des hauts le cœur.

J’ai été surpris, car les mouvements de vas et viens du mec dans ma gorge sont restés régulier et j’ai senti une grosse pression de foutre au fond de ma gorge, le gars continuait toujours sur un rythme régulier à me baiser la bouche, mais laissait gicler son jus sur ma langue et me baisait la bouche en même temps… J’avalais son sperme à chaque fois qu’un jet de son jus sortait de sa queue…

Je ne pensais pas qu’il allait juter maintenant, car d’habitude, on a plutôt tendance à accélérer les vas et viens quand on sent le jus monter, mais là, le mec est resté régulier et je n’ai pas eu le temps de réfléchir, je suis resté dans le trip avec lui et j’ai entièrement avaler tout le contenu de ce que pouvait sortir sa queue, le mec à grave pris son pied et moi j’ai grave kiffé !

Ma queue à lâchée son jus sans que je n’ai besoin de me toucher la bite. J’ai craché plusieurs jets qui ont certainement du atterrir sur pantalon du mec que je venais de vider les couilles et à qui j’avais servi d’urinoir. Il a dû se retenir de pisser un maximum de temps avant notre rencontre, il ne devait plus tenir, sa vessie était trop pleine, car ce mec n’a pas arrêté de pisser. Je n’ai jamais vu ça… Une vraie citerne de plusieurs litres.

J’ai ensuite nettoyé sa queue avec ma langue pour retirer entièrement le jus qu’il y avait encore dessus, avec ce que je venais de faire, je n’étais plus à ça près…

Son sperme avait un goût plutôt sucré et non amer comme j’ai déjà pu le constater une fois ou deux, en gouttant celui des potes quand j’étais ados…

Dès que la bite du mec était propre, je me suis relevé, j’avais mal au genoux…

Pendant que l’on se rhabillait dans le noir, je voyais que l’ombre de son visage, il avait les cheveux court, c’est tout ce que j’en ai vu. C’était le noir quasi total dans ce backroom Parisien.

Il m’a demandé :

« C’est quoi ton prénom ? »

« Hervé, et toi ? »

Je ne me souvient plus exactement du prénom du mec, il s’appelait « Christophe » ou « Christian » je ne sais plus. En tout cas, ça commence par « Christ » quelque chose…

Il m’a demandé quelques secondes plus tard avant de sortir du backroom Parisien :

« T’as quel âge P’tite lope ? »

Surpris par mon nouveau surnom, j’ai hésité avant de lui répondre :

« Heuuu… 24 ans… Et toi ? »

« 48, allez bye bogoss ! »

Je me suis demandé comment il pouvait juger si je suis bogoss ou pas, on ne voyait rien ! En tout cas, je ne sais pas à quoi il ressemble, mais il a une queue magnifique.

Depuis, je n’ai connu aucune expérience comme celle-là. Je n’ai plus joué avec la pisse ou le jus… Mais j’en garde un super souvenir…


 

Par pourvouservir - Publié dans : histoire du net
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Le corps d'un homme peut servir a beaucoup de chose.

blazquez_a.jpg

Par pourvouservir - Publié dans : divers
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Atmosphère, atmosphères... 

Par pourvouservir - Publié dans : Photo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lors ce que j'ai rencontré mon maître je ne savais pas que j'entrai dans une grande famille. La domination n'est pas seulement une philosophie pour eux mais une réalité de tous les jours.

Mon Maître est homosexuel, je lui appartiens. Je sais que tout ce que je suis aujourd'hui je le lui doit. Je suis son chien, il me traite comme tel et j'en trouve satisfaction. Nous vivons cet "amour" dans un petit hameau perdu dans la campagne. Autour il n'y a que champs, bois et sa famille.

Ses parents sont éleveur agriculteur. Ils possèdent toutes les terres autours pour cultiver et faire du lait avec leur cheptel de vache. Ils ne sont pas étonné de me voir en laisse avec mon maître car eux aussi ont deux chiens comme moi. Un mâle et une femelle. Cela fait plus de dix ans que la femme est à leur service. elle doit avoir une quarantaine d'année. Elle est grande et fine, porte la plus par du temps un large et lourd collier en acier avec une cloche à vache au cou. Je ne sais pas de quel couleur ont pu être ses cheveux aujourd'hui rasés. Quand nous nous voyons nous n'avons pas le droit de nous parler, les maîtres l'appelle Blanche.

L'homme, lui, est plus jeune, il doit avoir une vingtaine d'année au plus. C'est sous le nom de Ruffus qu'il répond. Dans la journée et lorsque le travail à la ferme le demande, il a le droit d'être debout avec les maîtres et doit participé aux travaux. Il est musclé, bien bronzé, sa peau brille souvent sous des crèmes que lui passe sur le corps la mère de mon maître. Quand nous nous voyons le soir, je remarque son odeur de propre et de parfum. Sa douche quotidienne lui donne un statut spécial dans la petite communauté d'esclave.

Dans le hameau vivent aussi les trois frères de mon maître. Ils ont tous les trois aussi leur chiennes. Hétérosexuels, ils préfèrent avoir des femelles plutôt que des mâles. Diana, Lassie et Bianca ne sortent pas souvent de la maison de leur maître. Je peux les voir lors de grand repas de famille. Lorsque la Mère invite tous ses enfants avec leur chiens, nos gamelles sont alignées, au pied du mur de la cuisine et nous mangeons tous ensemble. Aucun mot de doit être prononcé tant qu'un maître ne nous en donne pas la permission. Cela n'arrive jamais.

Dans cette famille, même si la communication avec mes semblables est inexistante, nous vivons tous des moments formidable. 
                       
Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Apres un peu d'exercices, rien ne vaut une bonne lapée de pisse. Mon Maître s'est soulagé dans ma gamelle. Il ne faut pas que je le dessoive. Je connais déjà son goût âcre. c'est une habitude qu'il a de prendre la bouche pour un urinoir. 


Par pourvouservir - Publié dans : Photo
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Il faut beaucoup de force pour dresser un pareil animal. Le maître n'en manque pas 


Par pourvouservir - Publié dans : Photo
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Un dimanche après midi ensoleillé. Le dimanche est toujours un jour spécial. C'est le seul jour où mon maître me lève en même temps que lui. c'est le seul jour de la semaine ou j'ai un moment pour utiliser le langage humain. C'est le seul jour de la semaine où mon maître me lave. Il y a beaucoup de bonne chose le dimanche, une intimité entre moi et mon maître que je ne retrouve pas les autres jours de la semaine.

Le soleil est là qui donne sur le devant de la maison. A genoux sur le palier, ce soleil du mois d'octobre réchauffe ma peau. il est quatorze heure et j'ai fini ma gamelle. je suis repus, bon pour la sieste. 
 
Je me serais bien allongé sur la pelouse. mais je suis tout propre, ce matin dans la baignoire mon maître m'a rasé de la tête aux pieds. Si je m'allonge sur l'herbe je risque d'avoir de la terre  et des feuilles mortes sur le corps encore sensible après le passage du rasoir.

C'était sans compter sur l'énergie de mon possesseur. La laisse à la main, je comprend qu'il a l'intention de profiter du soleil de cette arrière saison.

"Allez Zac, on bouge" dit-il.
Nous avons la chance de vivre aux milieu de la campagne. autour de notre maison, ne vie que la famille de mon maître, Ses parents, ses frères, ils ont tous une maison dans les cent mètres autour de notre maison. et le reste c'est des champs et des bois sur des kilomètres. Il n'y a aucun risque de tomber nez à nez avec des promeneurs.

Lors que mon maître passe la laisse autour de mon cou je lui fait remarquer en levant les mains qu'il ne m'a pas remis les protections aux mains et aux genoux. 

"Mais oui, mon Zac, tu n'es pas habillé. Pas bougé je vais chercher ton matériel"
L'ordre de ne pas bouger me rassure. Je me voyais mal faire des kilomètres sans mes gants, mes genouillères et mes chaussures.
Quand il revient, c'est avec tous les accessoires nécessaires. Et même plus, il n'a pas oublié ma queue. un plug de plus de cinq centimètres de de diamètre avec une queue qui frétille au bout. C'est mon plug préféré, il le sait, mais pas très pratique pour faire une longue balade dans la campagne.   

Une fois équipé traîné par la laisse, nous voilà sur les chemins de campagne. Moi nu derrière mon maître je marche à quatre pattes. Dans les champs les vaches nous regardent passé. Peut être qu'elle se disent que nous formons un drôle de couple. Elles se posent peu être la question de savoir quel genre d'animal je suis. Les bouts de bois qui sont lancés pour que j'ailles les chercher me fait passer dans la boue. Au revoir, la belle couleur de ma peau propre, c'est maculé de tache que nous finissons notre balade.

Même si cela fait maintenant plusieurs mois que je marche à quatre pattes tout le temps, cette promenade a fini de m'épuiser. la vue de mon panier me soulage déjà. Je m'affale dedans sans même attendre que l'on m'enlève mon plug ou les gant. Il doit être dix sept heure. C'est un dimanche après midi.       

         
Par pourvouservir - Publié dans : Zac le chien
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Derniers Commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés