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Nous descendons de l'avion par un escalier et nous nous retrouvons alors dans un petit aérodrome où s'affairent une bonne douzaine de techniciens occupés à diverses tâches autour de l'avion. Je remarque alors que ceux-ci portent également des colliers semblables au mien, mais d'un rouge orangé assez vif.

— La couleur des col... AAAAH!

Cette fois, la douleur de la décharge a eu raison de mon équilibre, et je me retrouve à genoux, les mains sur ce foutu collier. Les techniciens affairés autour de l'avion jettent un regard furtif sur la scène, mais prennent bien soin de ne pas interrompre leur travail.

— Tais-toi! Debout et suis.

Il donne un coup sec sur la chaine alors que je me remets péniblement debout. Pas assez pour tirer, mais c'est inconfortable et ça me rappelle rapidement ma vulnérabilité.

Nous nous dirigeons vers une espèce de hangar loin des abords de la piste et y entrons. La salle dans laquelle nous nous trouvons est inquiétante; une espèce de chaise de tubes qui ressemble étrangement à une chaise de dentiste est seule au centre, et les murs sont couverts d'établis et de machins en métal, dignes d'une salle de torture d'un mauvais film d'horreur.

Henri me tire près de la chaise et y accroche ma chaine.

— Déshabille-toi.

Il se tourne vers un homme d'une cinquantaine d'années, habillé d'une salopette qui entre par une porte de côté.

— C'est prêt selon les mesures que je vous ai transmises ?

— Ouais. Mais on n'a pas eu assez de préavis pour la cosmétique ; ce sera juste le brut !

— Ça ira pour ce soir; faut encore le préparer et l'entraîner avant de l'amener à son maître de toute façon.

Je les écoute avec appréhension pendant que j'enlève mes jeans et mon t-shirt que je laisse simplement tomber à mes pieds. Je ne sais pas pourquoi mais la situation, tout effrayante soit-elle, avait un quelque chose d'excitant. Je suis devenu un simple jouet. Ma queue se gonfle sans vraiment bander, mais est déjà de dimension très respectable.

Mon instructeur se retourne vers moi alors que l'autre se dirige vers un des établis. Son regard se pose sur moi et il m'observe comme à la loupe.

— Tourne-toi. J

e m'exécute et le devine examinant mon arrière avec la même attention. Il siffle doucement.

— Pas mal du tout! Je comprends pourquoi tu l'as choisi.

Je rougis un peu malgré moi. Je sursaute alors que je sens la main d'Henri se déposer sur mon épaule, mais je résiste à la tentation de me retourner ou de m'éloigner -- deux décharges c'est assez ! Sa main glisse doucement le long de mon dos pour aller reposer sur une de mes fesses.

— Un beau petit cul rond. Max va bien l'aimer.

Mon maître à maintenant un nom. La sensation de la main de mon instructeur qui continue à tripoter ma fesse et le sentiment de n'être qu'un jouet font que je suis maintenant en pleine érection. Mais alors que je ferme les yeux et laisse la sensation plaisante me gagner, il enlève finalement sa main.

— Assieds-toi.

Je m'installe tant bien que mal sur l'espèce de chaise; qui de près est encore plus imposante maintenant que j'ai pu l'examiner en détail. Le siège n'est en fait que deux barres plates rembourrées sur lesquelles mes fesses ne reposent qu'à moitié. Au pied, il y a deux étriers qui me rappellent vaguement le genre utilisé pour les accouchements. Un regard vers mon entraîneur me confirme par un hochement de sa tête que je dois y poser mes pieds.

Le technicien revient vers nous les bras chargés d'un assez gros gadget qui a l'air d'une pile de barres de métal reliées entre elles, comme l'armature d'une tente avant qu'on y installe la toile. Il dépose le tout entre mes pieds et s'agenouille pour s'y affairer. Mon instructeur, quant à lui, est parti quelque part derrière moi, et je n'ose pas me tourner pour voir ce qu'il y fait.

Le technicien installe minutieusement des espèces de bandes de métal autour de mes chevilles, au haut et au bas de chacun de mes genoux, puis finalement une large bande au niveau de mes hanches. À l'aide d'un ruban, il mesure soigneusement la distance entre chaque bande pendant que je l'observe.

Des pas derrière moi me signalent le retour de mon instructeur. Arrivé tout près, je sens sa main épandre un gel entre mes fesses. Le gel n'est pas froid au contact, comme je m'y serais attendu. Mon instructeur commence à stimuler ma rosette avec un doigt lubrifié du gel, et mon attention commence à dériver malgré moi du technicien qui avait commencé à placer les barres de métal entre les bandes déjà installées.

Derrière moi, mon instructeur commence à doucement me pénétrer avec un doigt, puis deux, et me relaxe l'anus avec expertise -- non sans générer en moi des vagues de plaisir diffus. Ses stimulations durent bien une quinzaine de minutes durant lesquelles je me tiens relaxé et les yeux fermés, gémissant doucement de l'excitation grandissante. Ma queue est gonflée à bloc et hurle pour de l'attention, mais je n'ose pas faire le moindre mouvement pour m'en occuper.

Mon instructeur cesse finalement ses investigations et remplace ses doigts par un assez gros objet ferme que je devine une sorte de plug. Un peu déçu et frustré, j'ouvre à nouveau mes yeux pour voir où en est le technicien que je sens s'affairer autour de mes jambes.

Je suis surpris de voir le résultat de son travail. Entre les bandes étaient des barres reliées par ce qui semble être des charnières hydrauliques; ça ressemblait aux appareils que j'ai déjà vus installés à des personnes qui étaient partiellement paralysées pour les aider à marcher.

Mon instructeur fit le tour de ma chaise pour examiner le résultat.

— Parfait.Comme d'habitude, ton travail est excellent.

Le technicien n'a comme seule réponse qu'un sourire en coin. Il tire quelque chose d'une poche de sa salopette et le donne à mon instructeur qui s'approche de moi.

Il s'agenouille devant moi et me passe aux genoux ce qui, maintenant que je les vois, sont des protecteurs du genre que les skateurs portent pour éviter les blessures, sauf qu'ils semblent faits de cuir plutôt que de plastique.

— Bon, suffit maintenant d'essayer le tout. Lève-toi.

En m'aidant de mes mains, je tente de me relever mais les trucs qu'ils m'ont installés m'empêchent de déplier complètement les jambes, ou de redresser mon torse! Surpris par le résultat, je perds complètement l'équilibre et je tombe à quatre pattes (ce qui m'a fait immédiatement comprendre l'utilité des protecteurs à genoux).

— Hehe. Parfait. Avec ce truc, il t'est maintenant impossible de te tenir debout, alors habitue-toi à te tenir et te déplacer à quatre pattes. Maintenant, assis.

Avec un peu d'expérimentation, j'ai vite trouvé que la mobilité réduite ne me permettait de m'assoir confortablement qu'à genoux, le cul sur mes talons, car en plus de m'empêcher de déplier les jambes, le machin m'empêchait également de les croiser.

— Donne tes mains.

Je lui tends les mains, et il leur passe une paire de gants. De mitaines, plutôt, car elles serrent les doigts les uns contre les autres. Il les noue au niveau de mes poignets et fait un pas en arrière pour observer le résultat final.

— Parfait!

Pendant qu'il m'observe, j'examine les mitaines et je comprends rapidement leur utilité: elles tiennent bien mon pouce contre ma main et sont trop rigides pour bien plier

– je suis maintenant incapable de prendre ou de manipuler des objets; complètement vulnérable et impotent!

Mon instructeur remercie le technicien et reprend ma chaîne qui était toujours attachée après la chaise, et se dirige vers la porte. Je n'ai eu d'autre alternative que de le suivre, tant bien que mal, à quatre pattes.

Nous sortons du hangar et nous nous dirigeons vers une longue et haute palissade. Je traine un peu de la patte, j'ai des difficultés à bien coordonner les mouvements de mes jambes et mes mains pour marcher de la sorte avec efficacité. Henri se tourne vers moi au moment où nous atteignons une porte dans la palissade.

— Ne t'en fais pas, ça va mieux marcher avec un peu de pratique.

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le chien accepte de se soumettre totalement à son Maître sans aucunes restrictions. l’esclave ne peut volontairement refuser d’obéir à un ordre de son Maître, peu importe le lieu, le moment ou la situation où cet ordre a été donné sans encourir la possibilité d’une punition, sauf si le chien exerce son droit de veto dans une des situations prévues à ce contrat.

Le chien accepte également, lorsque le contrat d’esclavage sera en vigueur, que son corps soit la propriété de son Maître afin d’être utilisé selon les besoins, mais dans les limites définies dans ce contrat. le chien accepte de plaire à son Maître au mieux de ses capacités puisque celles-ci ont maintenant pour but le plaisir et la satisfaction du dit Maître.

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Qui mn'aime pas les vacances à la mer? Meme mon chien adore! 

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Je me réveille en sursaut en sentant l'avion perdre son altitude. On est sur le point d'atterrir. Par le hublot, je ne peux voir que les lumières de ce qui semble être une petite ville. La nuit est bien noire. Autour de la ville, rien. Noirceur totale.

Je me tourne vers mon voisin qui regarde déjà dans ma direction. Il me fait un étrange sourire.

— Bienvenue à la Colonie.

Je ne lui demande même pas de précisions. L'avion atterrit sans heurts et mon voisin se lève. Il me fait signe de me lever également alors qu'on entend des véhicules commencer à s'activer autour de l'avion qui est maintenant immobile et silencieux.

— Première règle, votre collier.

Il me tend un large collier de cuir, bordé de métal souple. Il est étrangement beau; gravé avec des motifs abstraits. Il doit peser près d'un kilo, pourtant épais d'à peine 4mm. Large d'un bon 3cm, il est pourtant souple et flexible. L'intérieur est couvert d'un tissu doux et un peu spongieux; et ses extrémités se terminent avec ce qui semble être un mécanisme de fermeture dont le fonctionnement m'échappe. Au centre il y a, fixé, un anneau de métal. Mon regard va vers Henri, qui devient maintenant mon instructeur.

— Vous devez porter ce collier en tout temps et ne l'enlever sous aucun prétexte. Vous en seriez d'ailleurs incapable. Il représente votre statut et identifie votre propriétaire.

Il reprend le collier de mes mains et le porte à mon cou. Il y a un "clic" audible quand il le referme sur ma nuque. L'impression que j'ai, en entendant ce son, est étrange... j'ai le sentiment d'entendre le bruit de ma vie précédente se séparer de moi.

Le collier est plutôt confortable. Ma main glisse sur sa surface, et je remarque que sa forme correspond parfaitement à mon cou.

— Deuxième règle, la parole. Vous ne devez prononcer aucun mot à moins d'y avoir été invité, ce qui est au mieux hautement improbable.

— Comment je vais pouv-- AAAAAH!

Le collier vient de m'asséner une décharge électrique qui m'a presque fait tomber par terre. Henri sort sa main de sa poche et montre un minuscule boitier métallique.

— C'est extrêmement douloureux, mais inoffensif à long terme. Et ça nous amène à la troisième règle : l'obéissance. Vous devez obéir, sans hésitation, à quiconque n'a pas de collier. Votre maître à priorité, mais tout ordre donné doit être exécuté. Je résume : porter le collier en permanence, ne pas parler sans y être invité, et obéir.

Ça m'a pris un bon cinq minutes à contrôler la panique qui m'a envahi. Je n'ai pas bougé ni parlé, mais le tremblement qui avait secoué mon corps se calma enfin. Mon instructeur attendit patiemment que j'aie retrouvé mes sens avant de poursuivre.

— Viens.

Il attache une chaîne à mon collier et se dirige vers l'avant de l'avion, où la porte se trouve. Je le suis docilement, l'idée d'un autre choc sur la nuque est un bon motivateur.

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Le chien accepte sur les ordre de son maître de rester privé de tout mouvement même sur du long terme et en toute place et lieux choisis par le Maître, et ce même en place publique.

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