Pour vous servir...

J'aime être sa chienne servile. Le cuir de ses bottes est une douceur dont je dois me délecter avec avidité, gourmandise, vénération.

Ce soir nous recevons!

Ce matin c'est avec ses quelques mots que j'ai compris le programme de la journée. Il y avait du changement. 

Quel jour sommes nous? Je ne pense pas que nous soyons dimanche. J'ai parfois un peu de mal a me situer sur le calendrier. Je sais que je suis chez mon maître de depuis le 1 janvier, mais n'aillant plus de repères de date il m'arrive parfois de ne plus savoir quel jour nous sommes.

Je sais que nous ne sommes pas dimanche. Le dimanche est un jour spécial. Le dimanche matin, mon maître passe son temps à ma toilette. Tonte, rasage, et bien sur douche (froide  quand il fait chaud) sont ses corvées du matin avant de nous rendre chez ses parents pour le repas dominical.

Pourtant aujourd'hui il a bien l'intention de faire ma toilette. Direction Ma douche. dans ce qui me sert de local de vie une pièce presque vide avec une cage, il y a dans un coin, près de là ou je me soulage un siphon de sol, et une douche, pour le nettoyage du local c'est facile, un grand coup de jet d'eau et tout est propre. C'est au dessus de cette bonde que ce passe ma toilette.

C'est assis sur un tabouret que mon maître débute ma toilette. Je doit être a genoux, lui tournant le dos. Mon crâne a été tondu il y a moins d'une semaine alors aujourd'hui c'est directement au rasoir qu'il attaque toute ma tête. Apres m'avoir bien mouillé il étale la mousse a raser sur ma barbe et sur l'ensemble du crâne. Apres quelques minutes, c'est sur une peau lisse qu'il passe sa main pour vérifier qu'aucun poil ne lui aura résisté.

La suite de ma toilette se passe au niveau de mon cul. Bien que se soit la seul parti de mon anatomie qu'il daigne nettoyer régulièrement, là aussi aucun poil ne doit être présent. Pour me mettre en position je doit me tenir à quatre pattes. Et comme un chien qui a envie de pisser relever une jambe pour la positionner sur sa cuisse. Alors devant lui j'ouvre mon cul. Sans attendre, il tartine ma rondelle d'une épaisse couche de mousse à raser.Et comme mon crâne, elle devient aussi lisse qu'une piste de luge, après quelques coups de rasoir.

Une grande giclé de gel douche sur le dos avec un savonnage vigoureux ont fini de me préparer. Alors que j'attendais avec impatience une serviette qui ne venait, mon maître m'a annoncé que cinq de ses amis venaient lui rendre visite. Qu'ils voulaient essayer son nouveau jouet, a t'il ajouter.

La journée a défilé très rapidement. Vers 18 heures mon maître m'a posé un nouveau collier, plus lourd, plus large, moins confortable. il a changer mes gants. Ceux que je porte tous les jours commencent à être usés. Et point d'orgue de ma transformation, sans souplesse ni douceur, il m'a installé un plug au fond du cul. Une queue en caoutchouc remuait de part et d'autre à chaque mouvement.

Du doigt il pointa ma cage. Je savais que je devais y entrer. Enfermé à double tour, je me demandais quand arriveraient les invités!   

Dans sa condition de soumis, il accepte que tous les aspects de sa vie soient contrôlés en permanence par le maitre et qu'il devra se plier à tous ses ordres, volontés, désirs et demandes, de quelque nature qu'ils soient, quel que soit le moment ou le lieu. Faute de quoi le soumis s'exposerait à des punitions laissées à la seule appréciation de son maître, quelles que soient les douleurs, les contraintes, les dégradation physiques et psychologiques que soumis devra alors subir.

L’esclave doit savoir que seul leur Maître est en droit de présenter et détenir un contrat d'esclavage. L’esclave se doit d’honorer ce contrat tout comme son Maître, au titre d’un grand honneur que lui fait son Maître en le jugeant digne de rester à ses pieds et à son entier service.

Pour ces raisons, ce contrat est dressé en un unique exemplaire original, conservé par le Maître.

Je suis un soumis qui a une sacré bite entre les jambes, mais ce qui intéresse mon maître, c'est mon trou de balle dilaté qui est toujours ouvert lorsqu'il s'agit de se prendre une bite dans le cul. Le cul bien cambré, j'agit comme une cochonne qui a accepté de se faire marteler le fion tel une salope devant les amis de son maître. Je reçois plusieurs bonne  et grosse bites dans l'anus, et durant cette sodomie, je n'ai pas le droit de me toucher ou me branler . Après les bites épaisses, mon pervers de maître va enfoncer sa main entière dans ma cavité rectale béante. Je suis ouvert à ses désirs