La fessée est-elle donc un acte sexuel ?

Je pense qu'au final la réponse est oui. Et je pense que cette réalité physiologique est la caractéristique sous-jacente qui nourrit la controverse à propos de la fessée dans nos sociétés. [...] Je pense que les amateurs de fessée prouveront au final que la fessée est, du moins physiologiquement, un acte sexuel.
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Mes limites sont mes envie. Pour moi mon challenge est de repousser les siennes.
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Sensation de l’intrusion d’une chair inconnue, mais exploratrice, fouillante dans ma partie offerte, mon cul gluant de besoin, trempé par la chaleur qui s’accroît… il s’engouffre sans effort, dans cet endroit sensible. Il joue de plaisir… et de ma position si excitante, confortable et pourtant inconfortable, gênante.
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"Derek commença à rire de manière incontrôlée. "Tu entends cela ? " Dit-il, regardant par-dessus ma tête vers la porte.

"Oui, j'ai entendu. "Je me retournais et je vis Jack, son compagnon de chambre en survêtement, debout dans l'entrebâillement de la porte. "Steve, es tu vraiment un suceur de bite ?

" Derek rit. "Jack, c'est la meilleure sorte de suceuse de bites: c'est ma suceuse de bites. Dit lui, Steve."

Je regardais Jack, embarrassé. Jack était véritablement un très bel homme. C'était de manière très nette un hétérosexuel qu se distinguait de la foule male de ce dortoir, et lui, contrairement à beaucoup d'autres, n'avait pas fait tout ce qu'il pouvait pour m'insulter. Il était très désirable. Il faisait plus d'un mètre quatre vingt avec un cops musclé de nageur. "Je suis la suceuse de bite de Derek." Jack me regarda fixement à nouveau.

"Et maintenant, Steve, " dit Derek, "tu es NOTRE suceuse de bite. Hé, Jack, veux-tu une bonne pipe ? "

Jack me regarda. Vraiment ?

"Pas la peine de lui demander. C'est juste une lopette. Bien sur qu'il le fera. "

Le regard de Jack allait de Derek à moi-même. Je ne pouvais dire ce qu'il était en train de penser, mais je désirais tout cela. Je rampais vers lui, tombant à genoux devant lui, et je baissais lentement son short et son boxer.

"Et bien dit donc, " haleta Jack.

Sa queue était magnifique, pas aussi grande que les 20 centimètres de Derek, mais était conséquente et aussi épaisse. Et ses couilles ! Enormes, poilues, couvertes de sueur suite aux efforts qu'il venait de fournie à la gymnastique. Je m'inclinais en avant et pris un testicule dans ma bouche, le faisant rouler sur ma langue.

"Oh super ! " Gémit Jack. Je vénérais ses couilles, m'occupant tantôt de l'une, tantôt de l'autre. Derek s'assis sur le bord de son lit, branlant sa bite érigée et rigolant.

"Suce bien sa bite Steve. Montre lui comment tu peux tout prendre en bouche. "

Je déplaçais ma bouche vers le gland, sa queue était maintenant complètement durci et gonflée au point de montrer ses seines saillantes. J'encerclais le gland de coups de langue avant de rapidement prendre toute la longueur au fond de ma gorge. Jack se laissait faire, gémissant de plaisir et me laissait officier sur son membre. "C'est trop bon."

Dereck pris la parole. "Bien sur c'est bon. C'est une bonne pipeuse. Mais tu vas manquer le meilleur Jack. "

"Je ne rate rien, mec," dit Jack. "Merci, c'est super. "

Cela énerva Derek, car le ton de sa voix changea. "Jack, c'est une pédale. Ce n'est pas une vraie fille. Tu n'as aucun besoin de la remercier et de lui dire combien tu apprécies sa bouche de pompeuse. Tu la traites trop gentiment. Regarde bien."

Dereck claqua des doigts fortement. "Sale pédale ! Viens lécher mon cul connasse !" Derek inclina son dos sur le lit et écarta ses fesses à deux mains. Je fonçais enfoncer mon nez entre ses fesses.

"Lèche ce cul." Je lapais son trou furieusement. "Je veux t'entendre apprécier l'odeur de mon cul merdeux." Je commençais à soupirer et gémir tandis que je passais ma langue dans sa fente culière. "Tu aimes cela ? C'est comment ?" Derek poussa fort et lâcha un pet très bruyant. L'odeur était absolument suffocante.

"Mec ça pue." Dit Jack.

"Bien sur ça sent mauvais, c'est un pet."

"Comment peut-il supporter cela ?"

"C'est une lope, n'est ce pas ? Regarde comment te servir de lui." Il me repoussa de son trou du cul et se cabra, pour fourrer sa queue bande dans ma bouche et l'enfonça jusqu'à ce que j'ai le nez noyé dans ses poils pubiens. Ensuite il me repoussa rapidement jusqu'à ce que seul le gland reste en bouche. Puis il s'enfonça à nouveau dans ma gorge. Ses mains enserraient ma tête, me tirant fortement les cheveux presque au point de me les arracher. Il pompait furieusement sa bite dans ma bouche et criait après moi. "Suce ma bite... Sale pédale ! Suce connasse ! "

"Mon Dieu, Derek ! " s'exclama Jack.

"C'est ma lope et tu dois la traiter en tant que telle." Il pompa plus vite sa bite dans ma bouche et je pouvais sentir ses boules devenir dures. Soudain il se retira de ma bouche et commença à éjaculer sur tout mon visage. Tandis que le sperme jaillissait jets après jets sur mes lèvres, mon nez, mes cheveux, je pouvais entendre Jack l'acclamer et l'encourager.

Finalement Dereck me flagella le visage avec sa bite, poussant des grognements de plaisirs tandis que Jack applaudissait et criait. "Prends ça suceur de bites ! Une vraie pédale !" Quand Derek s'est retiré, j'étais complètement essoufflée. Il fit quelques pas, vers sa commode et pris sa bouteille de coca, tétant les dernières gouttes. J'observais ses couilles et son sexe maintenant flaccide se balançant entre ses jambes.

Puis je sentis la main de Jack sur ma tête. "Allez pédale, c'est mon tour." Jack poussa sa superbe bite en érection dans ma bouche et guida énergiquement ma tête de haut en bas sur la tige. Et en quelques minutes il était en train d'éjaculer des flots de sperme dans ma bouche que je fus forcée d'avaler avec gratitude.

"Voilà, mec," dit Derek pour féliciter son compagnon de chambre.

"C'était incroyable," dit Jack. "Nous devrions faire cela toutes les nuits."

Derek me sourit, branlant sa bite doucement. "Oui nous le ferons."

source: soumischaste.net 

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Un Branding : Vient du mot anglais brand (marque) issu lui-même du mot teuton brinnan (brûler).

Signifie originellement le marquage au fer rouge De nos jours le branding signifie plus le pouvoir de la marque que le marquage au fer rouge au sens propre. Néanmoins, il y a un lien: il s'agit d'attacher la marque à un produit afin de le faire remarquer au sens de se détacher des autres produits.

L'esclavage utilisa abondamment le marquage au fer rouge. La marque était utilisée pour désigner le propriétaire de l'esclave. L'esclave pouvait avoir autant de marques que de propriétaires consécutifs. Cette pratique consistait à abaisser l'être humain au rang de bétail. Il devenait ainsi un objet pouvant être acheté, vendu et utilisé à toutes fins (travaux pénibles, serviteur de maison, ou même comme jouet).

Le branding est maintenant très prisé dans le monde BDSM. Dans les rapports D/s, le soumis accepte d'être marqué pour signifier son appartenance et son engagement envers son maître. Mais il ne faut pas oublier que le Maître, le dominant par ce geste, reconnait sa propre dévotion et attachement à son soumis.

Il ne faut pas croire qu'un branding est fait à la légère, il doit être murement réfléchis et bien préparé, car ce geste plus que le marquage en lui-même aura une répercussion pour toujours pour un soumis.

Dans le futur, les Maîtres n'acceptent que peu les soumis déjà marqués et l'on conçoit mal des soumis "poly-pyro-ferrées" comme ces colis multi-timbrés...
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Le marquage d'un esclave peut avoir deux buts.

On marque d'abord son soumis par commodité, pour le reconnaître dans les endroits où il est exposé. Quand il est entretenu, (au héné par exemple) le marquage permet de rappeler sans cesse au soumis son statut.

L'autre type de marquage est punitif : le soumis est utilisée comme une vulgaire écritoire, où l'on expose ses fautes pour l'humilier. Il ne s'agit plus d'une immatriculation.
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"Je te reverrai demain soir", avait-il dit. Et cela se produisit, à 6 heures précises, on frappa à la porte de ma chambre. "Qui est ce demandais-je ?

" Je sentis mon sexe se dresser dans mon slip. "Bonjour, c'est Steve, je suis seul, " dis-je. Je pus entendre Dereck rire pour lui-même. Une seconde plus tard, la porte s'ouvrait.

Dereck se tenait debout dans son boxer. Je le désirais. C'était un vrai home. Je ne pouvais pas détacher mon regard de la toison très fournie de son pubis qui disparaissait dans son boxer.

"Ecoute, pédale," dit-il. "Je t'ordonne de revenir cette nuit ici. Je ne sais pas à quelle heure tu vas te coucher, mais j'imagine que pour toi 6 heurs du soir ce n'est pas la nuit. Je dois encore dîner."

Mon cœur bondit dans ma poitrine. "Oh. Oui, je peux être là plus tard. "

"Tu as intérêt, Steve." Il saisit fermement mon poignet. Tiens, en attendant tu peux me divertir pendant que je mange. "

Il me tira par le poignet et m'entraîna dans sa chambre. Elle était sale et en désordre. Des vêtements sales étalés partout. Son compagnon de chambre, Jack, semblait seulement un petit peu plus ordonné que lui, à en juger par le coté de la chambre qui lui était réservé. Le lit de Derek était couvert de vêtements et de sous vêtements. Sur l'oreiller se trouvait un carton à pizza à moitié vide.

Derek fit tomber sur le sol les vêtements qui se trouvaient sur son lit. Il me poussa sur le lit et s'assis à coté de moi. Il prit une portion de pizza et commença à l'avaler en silence. Il se contentait de me regarder fixement. Il ne devait pas s'être rasé depuis plusieurs jours à voir l'aspect rugueux et négligé de ses joues. Ses cheveux étaient en désordres, gras et malpropres.

"Hé, viens plus prêt." Il me fit signe pour que je me rapproche de lui. Il se pencha vers moi comme s'il était sur le point de m'embrasser. Voulait-il réellement m'embrasser ? Quand nos lèvres furent seulement à quelques centimètres, il fit soudainement un énorme rot. Il rit énormément. "Tu es une pédale stupide, sais tu cela ?" Je baissais les yeux tandis qu'il commençait à téter une autre bouteille de coca. "As-tu passé un bon moment l'autre fois ? Hein?"

"Oui. J'ai aimé sucer votre bite. "

Il grimaçât. "Et ma pisse - elle avait bon goût ? " Je baissais la tête. "Tu as aimé." Il me sourit, une méchante grimace tordit un instant son visage. Alors son air changea. "Je dois m'excuser. J'aurais du t'offrir quelque chose à manger. Je fais un mauvais hôte. "

"Oh ce n'est pas un problème, Derek. " Dis-je, hypnotisé par le buisson de poils noirs qui garnissait ses aisselles et imaginant ma langue titillant chacun des poils.

"Veux-tu quelque chose à manger ? "

"Bien sur. Merci. "

Derek sourit à nouveau. "Et bien attaque ce morceau." Et en disant cela, il abaissa son boxer et s'allongea sur le dos, les jambes relevées, exposant son anus poilu. Il avait toujours un morceau de pizza à la main et continuait de mastiquer bruyamment. "Bouffe moi le trou, pédale."

Je n'avais pas besoin de plus d'encouragement. Je bondis pratiquement vers son entre fesse poilue. Ma langue coulissait de haut en bas le long de la fente et je respirais profondément, inhalant la forte puanteur poivrée. Le goût était fort et son trou était moite et chaud. Je le titillais d'abord avec ma langue avant de la pousser à l'intérieur.

Alors il lâcha un pet, comme cet énorme pet de la nuit d'avant. Et il rit. Visiblement il prenait son pied à me faire respirer ses pets tout chauds. "Respire bien ça, pédale. Profites-en comme la senteur des roses d'un jardin." Et il rentra dans un rire frénétique tandis que je lavais son trou avec ma langue.

"Allez pédé. Mets ta bouche de fiote sur ma bite. Je vais t'offrir un cocktail."

Sachant très bien qu'il allait pisser dans ma bouche, je pris juste le gland de son sexe monstrueux et le laissait reposer sur ma langue. C'est sur, ma bouche n'allait pas tarder à être remplie à déborder avec son jus amer. "N'en laisse pas tomber une goutte, Steve, tu es sur mon lit. Sinon tu devras laver les draps." J'avalais rapidement, buvant sa pisse âcre. Quand il s'arrêta finalement, il sorti sa queue de ma bouche et la secoua sur mon visage. Des gouttes d'urine s'écrasèrent sur ma face.

Tu fais cela bien. C'est pratique d'avoir une pissotière comme toi à sa disposition. Je suppose que tu peux aussi gober mon sperme, hein ? N'est ce pas vrai, lopette ?

" Je souris. "Je veux avaler votre foutre, Derek. S'il vous plait laissez moi le boire. " Son visage fit une énorme grimace. "Dit le encore, pédale."

"J'aime sucer les bites, et tout particulièrement la votre, Derek. Laissez moi avoir votre sperme. "

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Tu seras un esclave qui ne vivra qu'à travers les plaisirs de ton maître, qu'importe les souffrances et douleurs que cela engendrera. Tu ne pensera plus qu'à travers lui et il sera le maître totale de ton corps mais aussi de ton âme.
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La sanction de la faute est indispensable car le soumis avait connaissance de son acte. La sanction de l’erreur est intéressante à mettre en œuvre car elle met le soumis dans une situation de permanente attention l’obligeant à anticiper sur ce qu’il peut ou pas faire. Cela le rend donc proactif dans sa soumission.
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