Je me suis simplement endormi dans cette position, complètement heureux de ce compliment de mon maître.
J'ai même eu le droit de me coucher au pied de son lit, ce soir-là.
Ça doit maintenant faire près de quatre ou cinq mois que je suis un des chiens à mon maître. Je suis pas certain, les jours n'ont plus beaucoup de signification maintenant et ça fait un bon bout que je ne les compte plus.
Le bel été a cédé sa place à un pluvieux hiver. Pas très froid à part le vent, mais il pleut à verse presque tous les jours et c'est rare que je peux aller jouer dehors avec les autres chiens et je m'ennuie. Le seul bon côté du mauvais temps, c'est qu'on passe plus de temps à l'intérieur avec notre maître.
Mais aujourd'hui, il fait beau ! Il y a bien quelques nuages dans le ciel, mais ils sont blancs et sans menace. Le soleil me chauffe le dos alors que notre maître nous mène en laisse, moi, Sam et Pat, pour une longue marche vers le village. Il ne fait pas très chaud, mais le vent est tombé. J'aime bien quand on va au village. Notre maître en profite presque toujours pour nous acheter une gâterie, et les habitants nous prodiguent toujours attention et caresses
En arrivant au village, nous nous sommes dirigés vers le petit parc qui en occupe le centre. Il n'est pas très gros, mais il est très beau et bien tenu. En y arrivant, notre maître nous détacha et nous laissa nous amuser. Pat s'est contenté de s'écraser au soleil alors que Sam et moi nous sommes lancés dans le petit étang du parc.
J'ai toujours été un peu jaloux de l'habileté de Sam à nager. Moi, avec la quincaillerie, j'ai eu beaucoup de difficulté à réapprendre à nager alors que pour lui, c'est naturel. Mais comme pour marcher, j'ai maintenant un bon contrôle de mes pattes et je suis quand même en mesure de nager.
L'eau est un peu froide, alors après quelques jeux avec Sam, je suis sorti de l'eau pour aller me sécher un peu au soleil, pas loin de Pat. Notre maître est en conversation amicale avec un autre maître du village, et nous laisse nous reposer comme bon nous semble.
J'avais à peine commencé à me réchauffer quand un museau froid s'enfouit entre mes fesses et une langue se mit à parcourir l'intervalle entre mes couilles et ma rosette. Malgré ma surprise, je n'ai pas résisté à la stimulation plus de cinq secondes avant de me lever le cul bien haut, les jambes écartées pour faciliter l'accès.
Je fus initialement surpris que Sam se permettait une telle liberté sans ordre de notre maître, mais un regard vers l'arrière me permit de voir pourquoi : ce n'était pas Sam mais un énorme chien gris pâle que je ne connaissais pas qui avait pris d'assaut mon cul. Un grand danois ! Il est massif, les épaules larges et musclées, et le poil très court et soyeux. Il est encore plus gros que moi, et doit se pencher considérablement pour atteindre mon cul.
J'ai jeté un regard vers mon maître, un peu appréhensif d'une punition pour avoir ainsi offert mon cul, mais celui-ci regardait la scène avec un sourire amusé, continuant sa conversation avec son ami.
Avec la permission implicite de mon maître, j'ai décidé de m'amuser un peu. Je me suis relevé complètement et j'ai sauté sur mon "agresseur", le prenant complètement par surprise. Je l'ai jeté par terre, le tenant en place avec le poids de mon corps. Il s'est débattu pour se libérer, alors que j'observais l'expression de son visage pour y déceler une éventuelle colère. Mais il avait compris le jeu et se roula sur le dos malgré mes efforts pour se débattre avec un peu plus de force.
En se tortillant avec vigueur, il réussit à se glisser de sous moi et sauta à son tour pour m'écraser au sol. Il était fort et lourd, et me fit tomber dans la pelouse sans effort. Je pris son torse entre mes pattes avant et nous fit rouler sur le sol, renversant nos positions. Nous avons atterri en position de soixante-neuf, lui sur le dos et moi au-dessus. Il tentait de nouveau de se tortiller de sous moi, mais j'avais enfoui mon nez entre ses pattes arrières et il arrêta subitement de se débattre.
Je l'avais où je voulais. Je me frottais la joue contre le soyeux étui de
peau qui renfermait sa virilité, sentant des pulsations à l'intérieur. Le bout rouge de sa queue commençait déjà à poindre, et j'ai refermé mes lèvres sur celle-ci avec appétit. Son goût était
différent de celui des autres chiens de mon maître, épicé et sucré. J'avais acquis pas mal de talent à reconnaitre les autres membres de ma meute par leur odeur, et ce nouveau goût m'excita par
sa différence.
Le chien sous moi recommençait à se tortiller, mais plus pour se libérer de
moi. Sa queue sortait maintenant d'une bonne quinzaine de centimètres, et je pouvais sentir son nœud commencer à prendre de l'ampleur dans sa gaine. Sa queue était énorme ! J'ai glissé mes lèvres
encore un moment le long de sa queue, goûtant de son précum salé qui giclait déjà en quantité, puis j'ai sauté de sur lui et me suis enfui à la course, voulant continuer le jeu de la lutte avant
de le soulager.
Je comptais que la frustration le ferait me suivre pour me rattraper, mais
j'ai sous-estimé l'ampleur de sa réaction. Il me rattrapa sans effort à peine quelques secondes plus tard et sauta sur moi avec un sourd grognement de colère. Ses mâchoires se sont refermées sur
mon cou, me paralysant de douleur. Il me monta sans délicatesse, ses pattes me serrant les côtés, ses griffes s'enfoncèrent dans ma chair. Gémissant de douleur, j'ai vainement tenté de me tirer
de sous lui, mais il me tenait bien et faisait vainement des mouvements de va-et-vient, bien au-dessus de mon cul.
J'ai ouvert mes yeux et regardé derrière moi quand j'ai senti deux mains me
prendre. L'ami de mon maître était là, à me soulever le bassin.
— Si tu penses que tu peux exciter mon beau toutou et le laisser frustré sans
soulagement, tu fais grave erreur !
Le maître du chien se plaça sous moi pour me soulever, plaçant le trou de mon
cul devant la matraque de son chien, qui donnait toujours des coups de bassin fendant l'air dans l'espoir de trouver le trou de la chienne qui avait eu le culot de l'agacer de la
sorte.
Il le trouva et s'y enfonça d'un coup. J'ai lâché un cri de douleur alors que
mon cul non lubrifié subissait l'assaut sans retenue de sa gigantesque queue. Son nœud était déjà très gros, et je le sentais frapper à l'entrée, tentant de forcer mon anus pour le prendre. Le
maître du chien s'était déplacé, ne tenait maintenant que mes épaules à près d'un mètre du sol et je restais bien haut, peu de poids sur mes jambes aussi droites que la quincaillerie me le
permettait, littéralement suspendu à la queue qui m'empalait.
Le chien qui me dominait grognait de frustration, et prit encore plus de
vigueur dans ses mouvements de hanches. Ça faisait mal, mais j'étais subjugué, et bandé dur comme fer. Finalement, il enfonça de force son nœud à l'intérieur de mon cul meurtri. J'en avais des
larmes aux yeux tellement ça faisait mal. Mais une fois passé, le nœud qui m'avait pris de force ne forçait plus mon anus, et les mouvements violents du chien donnaient autant de coups sur ma
prostate. Ma queue coulait de précum comme un robinet mal fermé, et mes gémissements de douleur se mutaient en cris de plaisir.
Le chien me fourra assez longtemps, son énorme nœud écrasant ma prostate,
réarrangeant mes intestins pour faire la place pour sa queue qui me prenait maintenant comme un jouet, me déplaçant sous la force de ses mouvements.
Finalement, il cessa ses mouvements et je sentis son énorme nœud pris de pulsations alors qu'il me remplit de sa bouillante dèche. Ma propre queue explosa alors, jetant sur le sol de puissants
jets de sperme expulsés avec vigueur de ma prostate qui avait été tant stimulée.
Le maître du chien me laissa simplement retomber sur le sol. Mon cul était tenu bien haut, toujours empalé sur la queue du chien, mon visage écrasé par terre. J'ai entendu la voix de mon maître qui s'était approché, alors que je tentais de reprendre mon souffle.
— Je savais bien que Max aimerait son cul ! Va bien falloir qu'ils se revoient, non?
Épilogue
Quand l'été suivant était bien amorcé, Henri qui m'avait appris à être un bon chien vint un bon matin me chercher à ma cage, avec un grand sac de papier.
— L'année est terminée. Tu as bien mérité ton salaire.
Il s'affaira autour de moi, détachant les bandes de métal qui retenaient mes jambes, enlevant mes mitaines, puis m'aida à me relever debout. Il me tendit les vêtements avec lesquels j'étais arrivé, qu'il avait pris dans le sac. Je regardais les jeans et le t-shirt, vacillant sur mes pattes arrière qui n'étaient plus habitués à cette position. J'ai soudainement repris mes esprits, et me jetai sur les vêtements, et retournai dans ma cage avec mon nouveau jouet que j'ai immédiatement commencé à mâchouiller.
Mon instructeur me regarda un moment avec un étrange sourire, remplit mon bol d'eau et referma la porte de ma cage.
A quatre pattes sur son lit et secoué par les élans généreux et très virils de mon maître, je finissais par gémir langoureusement. Mon âme chienne mise à nu par le manquement de jouissance qui m'était imposé par la cage de chasteté que je portais depuis plusieurs jours.
Une fois l'affaire conclue, dans un rale dont seul mon maître avait le savoir et qui m'annoncait que j'avais su lui donner du plaisir, mon Maître m'éjectait de son lit.
A genoux sur le sol, je suivais des yeux sa bite encore luisante de son jet qui doucement se retrecissait. En se mettant assis sur le lit et en ecartant les jambes je savais que j'avais en charge de le nettoyer. Je me rapprochais à 4 pattes pour me positionner, gueule ouverte et langue pendante, entre ses cuisses, à l'affut du moindre geste qui m'aurait signifié son accord pour que je lui prodigue ce nettoyage bucal.
Sa bite, qui n'avait plus rien de d'exitée et qui pendait molement entre ses jambes ressorti de ma bouche propre et net. D'un geste brusque il me repoussa pour lui dégager son passage . Là dans sa chambre a coucher je me suis allonger sur le tapis devant son lit.
A son retour d'une douche qui lui avait permis de finir de se détendre , mon maitre me relevait la tête et m'enroulait une chaîne autour du cou. Il la cadenassait, fixant l'autre bout de cette laisse indestructible à un pied du lit.
Ensuite il se recouchait avec la certitude de passer une excellente nuit, me laissant gisant sur le sol de la pièce, un chien épuisé qu'il savait malgré tout totalement dévoué.
Effectivement, à peine dix secondes après cette affirmation, Henri cogna à la porte et entra. Il jeta un regard interrogateur à mon maître qui lui répondit simplement: — Pat en premier. Je te ferai signe pour Sam. Henri sorti et entra de nouveau quelque secondes plus tard tenant en laisse le beau gars de l'autre cage, qui souriait largement. Mon maître se leva et alla à leur rencontre, et serra Pat dans ses bras.
— Allô mon beau Pat ! J'ai un nouvel ami pour toi !
C'est drôle. J'ai ressenti un élan de jalousie à voir le garçon serrer un autre dans ses bras. Il détacha Pat de sa laisse, et Henri ressorti nous laissant seuls.
Pat s'approcha de moi et alla droit vers mon cul et s'y enfonça le nez. J'ai été un peu surpris -- il joue vraiment le jeu, lui. J'emboitai le pas et allai voir sa rosette de près. Son cul était presque aussi beau que celui de mon maître, et c'était excitant d'agir en ne tenant compte que des instincts. Mon -- notre maître nous regardait avec un regard amusé, nous laissant aller.
— Il est à toi, Pat. Vas-y.
Je n'ai pas trop compris ce qu'il voulait dire, mais Pat a réagi sans hésitation. Son nez a été remplacé par sa langue, et celle-ci fit preuve d'une agilité que je n'avais jamais ressentie. Il salivait abondamment et léchait ma rosette à m'en rendre fou, puis enfonçait sa langue et la ressortait avec frénésie. Je m'étais posé sur les coudes, le cul bien haut, et écartais mes jambes pour lui donner meilleur accès.
Sans avertissement, il sauta simplement sur mon dos
et enfonça sa queue dans mon trou d'un seul coup. Je ne m'y attendais pas, mais je n'ai pu avoir d'autre réaction que de me pousser le cul contre lui, l'enfoncer plus creux. Sa salive était un excellent lubrifiant, et le plug que j'ai porté m'avait bien préparé à sa queue.
Pat me pistonnait maintenant avec vigueur, sans retenue et j'en voulais encore plus. Je haletais, gémissais, je ne pensais pas. Notre maître s'est agenouillé devant moi, sa queue raide devant mon nez. Elle était superbe, longue d'une vingtaine de centimètres, ni trop épaisse ni trop longue, et toute droite.
— Suce, Rex.
Il ne m'en fallait pas plus. J'espérais qu'il me donnerait cette commande. J'engloutis sa queue avec appétit et l'enfonçait dans ma bouche, fermant les yeux, bougeant au rythme de Pat qui me fourrait sans retenue. Le goût de sa queue était incroyable.
Mon maître me prit par la tête pour retenir mon rythme alors que Pat explosait dans mon cul.
J'étais déçu, mon cul en redemandait. La queue dans ma bouche, que je ne pouvais maintenant sucer que tout doucement, ne m'avait pas encore nourri. Sans relâcher ma tête, mon maître appela:
— Henri, amène Sam!
J'entendis la porte ouvrir, et le bruit d'une chaîne. Mon maître relâcha une main de ma tête pour donner une petite tape sur mon dos.
— Sam ! Vas-y ! Pat ! Suce. Doucement.
J'ai profité de l'occasion pour jeter un rapide regard au nouvel arrivé et j'ai failli m'étrangler sur la queue de mon maître. Sam, c'était un autre voisin de chenil, le berger allemand. Sans se faire prier, il se rendit à mon cul et se mit à le lécher lui aussi. Je fus saisi d'un mouvement de panique, mais mon maître avait recommencé à baiser ma bouche de sa queue, et Pat se glissa sous moi et engloutit ma queue dans sa bouche chaude.
J'avais déjà oublié ma panique. J'étais au paradis, une langue léchant habilement mon cul, une bouche experte me poussait au bord de l'extase sans me laisser y entrer, et la superbe queue de mon maître entrant et sortant de ma bouche. Je ne me suis presque pas apperçu que Sam avait maintenant grimpé sur mon dos, et frappait mes fesses de sa queue.
J'avais peur qu'il me fourre à son tour, mais je n'ai pas été capable de m'empêcher de lever encore plus mon cul et de m'écarter les fesses autant que je le pouvais. J'avais besoin de me faire prendre, de confirmer définitivement mon statut, de me baiser. Le sexe était la seule chose qui existait.
Soudainement, Sam trouva son but et s'enfonça à la garde. J'étais fou de passion. Sam n'attendit pas, il avait ce qu'il voulait, mon cul. UN cul. Il me sauta comme une bête, comme la bête que j'étais. Son pieu était énorme, mais ne pouvait me suffire. Je sentais une énorme boule me pénétrer et gonfler en moi, poussant contre ma prostate avec chaque coup violent que le chien donnait pour me sauter, me monter.
Je sentais la queue de mon maître se raidir dans ma bouche, et la queue de Sam me remplir, réarranger mes entrailles, me combler.
Quand j'ai senti Sam donner un dernier grand coup et sa queue faire des spasmes régulièrement, sa semence chaude me remplir et déborder de mon cul et couler entre mes fesses, j'ai explosé dans la bouche à Pat, hurlant presque malgré la queue de mon maître, qui avait elle-même commencé à déverser ses flots dans ma bouche sans que je m'en rende compte.
Finalement, Sam cessa de bouger, serrant toujours mes flancs de ses pattes. Pat se retira de sous moi, et mon maître se retira également. Je me suis simplement effondré, visage sur le sol, cul bien haut toujours empalé sur la queue de Sam. Mon maître me serra dans ses bras.
— Bon chien, Rex. Bon chien.
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