Depuis ma cage, j'entend mon maitre qui discute avec d'autres hommes. Ils sont apparemment au moins trois. Ca rigole, ça parle fort, et les bruits de fourchettes et de verres qui trinquent me font penser que mon maitre fait une soirée.
Je ne m'étais pas douté que mon maître recevait car dans l'apres midi il n'avait rien fait pour me faire comprendre qu'il avait des hotes.
Lors des soirées de mon maître, si je suis autorisé à être présent, bien souvent dans l'apres midi qui précéde, mon maître me douche et me rase. Et si je doit participer de façon active (ou plutot passive) il me fait aussi un netoyage en profondeur.
Je crois connnaitre tous les amis et toute la famille de mon maitre. Ce qui fait que c'est rare que je sois enfermé. Tous ont toujours une caresse ou une petite tape sur la tête pour me faire comprendre que je participe aussi et qu'ils comprennent ma situation de chien .
Aujourd'hui rien!
Je patiente dans cette chambre noir au fond de ma cage en attendant leur bon vouloir. Aurai je des restes de leur repas?
Et ca continu, musique et chants. Quelqu'un à sorti une guitare. D'autres amis arrivent. Les verres s'entrechoquent toujours plus. Et moi je suis seul.
Je ne sais pas combien ils sont maintenant. ni depuis combien de temps ils font tous la fete juste à coté de moi. Ce dont je suis sur à présent c'est que je ne suis pas invité. Mon maître me laissera seul toute la nuit.
J'ai envie de pleurer, je me sens triste et abandonné. De petits couinements sortent de ma bouche pour me soulager de ma solitude.
Je me met a 4 pates devant la porte, la queue liée au plug que je porte continuellement, bien en l'air pour pouvoir montrer ma joie si quelqu'un venait à ouvrir la porte, en remuant mon posterieur.
j'attendrais longtemps avant que le sommeil ne vienne me prendre. Non personne ne vint me saluer.
je me dis alors que c'était une sale soirée, et que demain matin il ne faudra pas laisser voir que j'ai été malheureux ce soir.
c'est aussi ça la dure vie d'un clebard.
Il ouvre la portière et reprend ma chaine, m'emmenant vers l'immeuble. J'entends des jappements de chiens venant de l'intérieur, et dès qu'il ouvre la porte je comprends la nature de l'endroit. Un chenil !
Il me tire vers l'intérieur, et m'amène vers une cage dans laquelle se trouvent un énorme coussin et un gros bol en acier brossé plein d'eau. Il en ouvre la porte et m'enlève la chaine qu'il accroche à un clou.
— Entre.
Je suis comme assommé. C'est sans vraiment penser que j’obéis et j’entre dans la cage et me couche, tant bien que mal, sur le coussin qui s'y trouve. Une fois trouvé une façon confortable de m'y installer, je regarde Henri alors qu'il ferme la cage avec un lourd "clang".
Je n'étais pas un jouet, mais un animal de compagnie.
Quand je me réveille, le jour s'était levé et était visible à travers une fenêtre haute que je pouvais apercevoir. J'ai voulu m'asseoir dans la cage, mais elle n'est assez haute que pour me tenir debout à quatre pattes. La cage est adossée sur un mur, et je partage les côtés avec ceux de mes deux nouveaux voisins: un berger allemand couché qui me regarde sans bouger et ce qui semble être un labrador noir qui ronfle.
J’essaie de prendre le bol d'eau avec mes mains pour y boire, mais il était fixé au sol. De toute évidence, je dois m'habituer à boire de la sorte. J'ai dû passer une bonne minute à me refuser à m'abaisser de la sorte avant de décider que mourir de soif n'est pas une solution à quoi que ce soit. L'eau est fraîche, probablement grâce au bol en inox, et a un goût légèrement citronnée qui la rend bonne et désaltérante.
Après avoir bu, je replie mes jambes et mes bras sous moi pour être plus confortable, et je me mets à observer les alentours. Rien de bien extraordinaire, le mur sur lequel est adossé ma cage est longé de cages soient vides, soient contenant d'autres chiens. Le mur d'en face est couvert d'un nombre d'armoires fermées et d'une table sur laquelle je peux entrapercevoir une poche de nourriture pour chien. Accroché au haut des cages, il y a des laisses, chaînes et autres machins du genre qui sont parfaitement normaux dans un chenil.
C'est dur à expliquer, mais je me sens pas particulièrement prisonnier ou même simplement mal d'être dans une cage comme ici. J'ai comme un sentiment de liberté, même, que je m'explique mal.
Soudainement, la porte du chenil s'ouvre et j'y vois un grand blond ne portant qu'un tablier et une paire de bottes. Il entre avec une laisse à laquelle est attaché un superbe gars, lui aussi à quatre pattes comme moi. Ils passent devant ma cage sans un mot, mais le gars en laisse me fait un clin d'œil et un sourire en coin en passant.
Le grand blond au tablier ouvre la porte d'une cage un peu plus loin que la mienne et y fait entrer l'autre, puis la referme derrière lui. Puis, il revient dans ma direction pour s'affairer à la table en face de ma cage. Pendant qu'il me fait dos de la sorte, j'en profite pour le regarder comme il faut, en m'attardant à son beau petit cul laissé complètement à découvert par son très sommaire habillement, et à la forme de ses couilles que je ne peux qu'entrevoir dans l'ombre derrière ses cuisses. Je remarque alors, à ma grande surprise, que lui aussi porte un collier comme le mien, auquel est attaché un anneau.
Il se retourne enfin vers moi, tenant un pichet d'eau et un autre bol d'acier. Il dépose le bol sur le dessus de la cage et ouvre celle-ci, remplit mon bol d'eau et dépose l'autre bol à côté. Il contient des œufs brouillés et des morceaux de bacon. Au moins, je n'ai pas été mis sur un régime de chien. Le blond referme la cage, et redépose le pichet sur la table.
Je regarde le bol placé devant moi avec un air songeur. J'ai l'impression que je pourrais bien le prendre, mais je n'arrive pas à deviner ce que j'y gagnerais. Avec un soupir et un haussement d'épaule, je m'y dirige pour en dévorer le contenu avec appétit. Le bol est assez grand pour que je puisse bien en rejoindre le fond sans avoir à faire d'acrobaties, et les œufs sont vraiment bons.
Pendant ce temps, j'observe le blond au tablier, qui ouvre la cage de mon voisin berger allemand, lui retire un bol vide comme le mien, et lui attache sa laisse. Celui-ci de toute évidence bien content de ce qui arrive, sort de sa cage et court au-devant du blond vers la porte de sortie. Un instant plus tard, ils sont partis tous les deux.
Ça fait un bon dix minutes que je suis seul devant mon bol maintenant vide quand la porte s'ouvre de nouveau. Mais plutôt que le grand blond en tablier, c'est un homme en complet qui s'y découpe. Je le reconnais alors qu'il fait un pas vers l'intérieur: c'est Henri. Il se dirige vers ma cage et s'arrête devant elle.
— Bien dormi et mangé ? Bien. Viens, on va faire un tour.
Il décroche ma chaîne et ouvre ma porte. Ne le voyant pas faire de mouvement vers moi, je fais quelque pas pour sortir de la cage. Il attache la chaîne à mon collier et me gratte doucement le crâne.
— Bon chien.
Le compliment me tord les tripes. Je sens que je devrais m'insurger, riposter à l'insulte, mais en même temps je me sens étrangement fier d'y avoir eu droit.
Il ouvre la porte et je découvre derrière elle une rue bordée de petits commerces, sur laquelle se promènent un bon nombre de gens. Un petit café avec une terrasse où sont installés quelques clients, et j'entends maintenant de la musique. Quelques voitures sont stationnées le long de la chaussée. Une scène qui aurait été complètement banale, ennuyante même, si ce n'est que j'y suis mené en laisse, à quatre pattes, complètement à poil !
Alors que nous déambulons le long du trottoir, les gens m'observent avec intérêt, certains prennent même le temps de se pencher pour me gratter la tête. Je suis cramoisi de gêne, mais toute cette attention me fait néanmoins bander dur comme fer. Après deux intersections de parade, mon instructeur s'arrête à une voiture dont il ouvre la portière arrière.
— Entre.
Je grimpe tant bien que mal; ce n'est pas évident avec ce machin qui me restreint. Mon instructeur monte derrière moi et referme la portière.
— Tu as été gentil. Tu mérites une récompense avant que je t'amène chez toi.
La voiture est une grosse américaine, et la banquette est large et longue. Je suis affairé à tenter de me contorsionner pour m'y assoir, et il me roule simplement sur le dos sans que je puisse y faire grand-chose. Il s'agenouille entre mes genoux tenus haut par le machin à mes jambes et commence à déboutonner sa chemise en me regardant droit dans les yeux.
Une fois sa chemise ouverte, il déboutonne et ouvre sa braguette et en sort sa queue qui, je pouvais le voir au prix d'un effort à relever ma tête, est bien bandée. Pas très longue, 15cm à peu près elle est quand même d'une largeur impressionnante. Il retire le truc qui bouchait mon cul, ce qui me permet de le voir et de confirmer mon impression; c'est effectivement un plug en latex noir, de diamètre grandissant graduellement, puis redevenant plus petit plus rapidement. Après une courte distance plus ou moins droite, il y avait un renflement qui l'empêchait de glisser complètement à l'intérieur.
Sans avertissement, il soulève mon cul de la banquette, le tire vers lui et l'enfonce d'un coup sur son pieu. Je serre les dents, m'attendant à la douleur d'un déchirement qui n'est pas venu. Le plug avait été efficace : mon cul était déjà bien dilaté et ouvert. Mon instructeur commence presque immédiatement à pousser avec vigueur son bassin, me soulevant de la banquette et me laissant retomber sur ses cuisses, sa queue donnant à chaque fois un coup sur ma prostate.
Je gémis de plaisir à cette vigoureuse stimulation, les yeux fermés. Je sens quelques gouttes de précum glisser le long de ma queue qui est tellement dure que j'en ai mal. J'ouvre les yeux quand je sens mon instructeur se repositionner sans arrêter ses mouvements de bassin, pour le voir se pencher pour atteindre ma queue de sa bouche. Malgré sa longueur (près de 20 cm), il ne réussit qu'à mettre une partie de mon gland entre ses lèvres.
Puis il reprend ses mouvements avec une vigueur renouvelée. À chaque poussée, ma queue glisse presque à moitié dans sa bouche, sa langue chaude et douce la stimulant. Puis, je retombe sur sa queue, celle-ci donnant un coup sur ma prostate. Il lui faut à peine une trentaine de secondes pour que mes gémissements se transforment en hurlements et que je sente ma queue se tendre encore plus, sur le point d'exploser.
Mon instructeur prend encore plus de robustesse à ce point, et tremble perceptiblement sous mes fesses. Un, deux, trois autres coups qu'il pousse tant que j'en ressors complètement sa queue pour retomber dessus, et il pousse lui-même un profond gémissement assourdi par ma queue qui explose maintenant dans sa bouche. Mon foutre tombe sur moi, dans sa bouche, sur son visage alors qu'il continue ses poussées, le rythme complètement brisé.
Finalement, il cesse ses poussées, haletant. Nous restons deux minutes comme ça, à reprendre notre souffle. Il ressort sa queue avec un "plop" audible, et va chercher quelque chose dans le fond de la voiture.
D'un geste plutôt doux, il me réinsère le plug qui me sembla plus gros malgré sa large queue après cet exercice, puis il se reboutonna.
Sans un mot, mon instructeur descend de la voiture et y regrimpe à l'avant. Il démarre. Nous nous éloignons du village, et nous arrivions maintenant à un impressionnant domaine de campagne.
Il fait le tour de l'énorme manoir qui s'y trouve et stationne près d'une dépendance située à l'arrière.
L'intrephone qui résonnait avec son long et strident bruit me fis sortir de la torpeure dans laquelle je suis depuis le début de la soirée devant la télévision à regarder une série américaine, FBI de je ne sais où, déja vu ou resemblant à telement d'aurtre série. Bref de mon fauteuille où j'étais presque endormi, je me precipite vers cet interphone dont l'utilisateur exterieur ne detache pas le doigt et provoquant un bruit continu dans mon appartement.
Qui cela pouvait il bien être ?
"C'est moi ouvre" m'ordonnait mon visiteur.
Je ne reconnais pas la voix grave et sensuelle. Mais j'ouvri tout de même pour faire au moins cesser la sonnerie de l'interphone. Un amant, un ami, qu'importe. la porte de mon appartememnt comme ma petite porte arrière leurs sont ouvert et ils le savent tous . C'est peut être quelqu'un qui a juste envie de se vider les couilles?
Sur le pas de la porte j'attend mon visiteur que j'entend monter les escaliers rapidement.
Surprise! C'est Pierre...
Voila plus d'un mois depuis sa premiere visite que je n'avais pas eu de nouvelles. Cette première visite s'étant faite d'une façon étrange, je n'avais pas oser le relancer. Mon corps et mon ame l'auraient pourtant bien voulu tant il emmanait de lui une force, une virilité et un sex appeal. Il était magnifique et j'avais été véxé de ne pas avoir eu de relations sexuelles avec lui. Il s'était contenté de me caresser le corps, de me doigter furtivemement le cul puis était parti sans presque un mot.
Mais le voila a nouveau devant moi. Je n'ai pas le temps de le saluer qu'il est déja entrer dans mon appartement et va directememnt s'installer dans mon canapé. Avant meme de me regarder, il coupe la télévision et enleve ses chaussures pour étaler ses jambes sur la table basse devant lui.
Je reste interloqué et cela commence a m'ennerver.
Que fais tu là? lui demandais je.
Son regard croisa alors le mien. Est ce de la surprise ou du dédain que je lis dans ses yeux? J'eu l'impression qu'il était étonné que je puisse lui poser une question.
Apres peut être un temps d'attente de plusieurs secondes, qui me parrurent une étarnité, il me regarda à nouveau et m'ordonna, sans répondre à ma question, de me mettre à poil.
Aurai-je enfin ma baise avec cet étalon? Pensais je.
Je ne voulais pas faire le garcon facile! je commancais donc a vouloir lui resister en lui disant qu'il ne pouvait pas arriver comme ca chez moi et faire ce qu'il voulait. Mais j'avais a peine commencer à formuler mon refus d'obeir qu'il s'était, d'un bon, redressé du canapé, et avait empoigné mon T-shirt pour me souveler, et mon visage face qu sien, m'avait hurler un "A poils" qui ne permetai aucune possibilité de refus.
Sur mes jambes tramblantes, me souvenant de la claque que j'avais recu lors de notre premiere rencontre, je me mis nu rapidement en n'oubliant pas d'enlever mon slip. La derniere fois il avait du me l'arracher et n'avait pas été heureux d'avoir a le faire.
Nu comme un vers, devant cet homme qui a repris sa place dans mon canapé, je restai immobile, ne sachant que faire.
Au bout de quelques instants interminables, il me demanda de m'approcher de lui et de me mettre à genoux au sol et entre ses jambes.
Je sentis toute la force qu'il y avait dans ses membres quand il se redressa, m'encadrant de ses genoux le haut du corps et m'embrassant avec fougue et désir sur la bouche.
En quelques secondes j'étais au paradis. Ma bite s'en souvient encore de la magnifique erection que cela m'a procurer. C'était le début d'une grande passion.
Il me caressait les fesses, le corps la tête...Il me convrait de bisous. Tant d'attentions, j'avais l'impression d'être le centre du monde. De son monde. Le bonheur...
Apres plusieurs dixaines de minutes de calins, embrassage fougueux et caresses en tout genre, il me dit que nous serions mieux dans la chambre. Il se leva alors me laissant toujours à genoux sur le sol.
"Viens dans la chambre, mais reste à quatre pattes" me dit il d'une voix qui à nouveau se faisait autoritaire.
Sans me poser de questions je le suivai donc mais à genoux, oubliant la honte de cette position de soumission. Mais n'étais je pas deja son prisonnier?
Lentement dans la chambre il se dehabilla en prenant soin de plier ses vêtements sur une chaise et s'atala sur le lit. Tois petites tapes sur le duvet me fit comprendre où était ma place. je montais sur le it pour m'étaler le long de son corps qui comme sa silouette la laissait penser, était, tout bonnement magnifique.
Au lit, pour répondre aux caresses et bisous, que je recevais, je lui pratiquai une félaton toute en douceur, qu'il avait l'air d'appécier. Puis c'est alongé sur le ventre et le supportant alongé sur moi de tout son poids sur moi que je lui ai ouvert mes fesses pour le laisser me pénétré.
Il m'avait fait l'amour avec un grand A. Ce n'etait pas une baise. Je n'étais pas un morceau de viande, ou uniquement un trou à remplir, non c'etait du sexe comme je n'en n'avais jamais eu.
J'étais amoureux. Ce mec parfait physiquement, viril et autoritaire, allais me transformer en sa chose. et déjà j'aimai ça.
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